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 (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.

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MessageSujet: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyMar 22 Oct - 23:29


I'm asking you to get it on with me.

Le jour se levait sur Winnipeg et pourtant Aaron était déjà réveillé. A vrai dire, ça faisait déjà une bonne heure qu’il tournait dans son lit sans parvenir à trouver le sommeil, il ne pouvait pas s’empêcher de penser à cette soirée qui avait eu lieu deux jours plus tôt. Non, il n’avait pas organisé de fête, ni même bu comme un trou, il avait dîné avec une jeune femme qui contre toute attente, le laissa comme un con au pied de sa porte alors qu’il lui demandait un rendez-vous. Lui, Aaron McCauley, avait lâché un peu de sa fierté légendaire pour inviter une fille à sortir et cette dernière s’était permise de refuser. Il revoyait la scène encore et encore dans sa tête, cherchant un signe qui aurait pu lui faire rebrousser chemin mais non, il n’en voyait pas, il ne comprenait pas pourquoi Parker Saint-James lui avait mis un râteau. Il avait été charmant, il s’était ouvert à elle comme jamais, il lui avait donné bien plus qu’il n’avait jamais donné à n’importe quelle fille, il lui avait fait confiance. C’est un grand mot pour Aaron et pourtant, il n’avait pas hésité une seule seconde, alors quand la demoiselle l’a gentiment remballé, la surprise, la déception et la honte l’avait envahies. On ne lui avait jamais dit non, et l’échec était un mot qu’il refusait de voir associé à son nom. Alors il était parti, elle se battait avec ses clés devant chez elle et il avait filé, incapable d’affronter le regard de la jeune femme après qu’elle lui ait dit non. Pour une fois, il n’avait pas envie d’une fille, il voulait cette fille en particulier, et pas spécialement dans son lit, en tout cas, pas seulement, il avait aimé discuter avec elle, cette innocence et son côté responsable, il avait craqué. En rentrant chez lui ce soir-là, passablement irrité, il s’était promis de ne plus jamais lui parler ni même de remettre les pieds au Café Saint-James, mais pourtant, deux nuits s’étaient écoulées et il n’arrivait pas à penser à autre chose. Conscient de cette nouvelle faiblesse, il avait décidé de prendre le taureau par les cornes. Il se leva et se prépara à sortir. Aujourd’hui, c’était clair, c’était la dernière fois que Parker Saint-James l’empêchait de dormir.

Aaron prit le volant de son cabriolet et fila en centre-ville. On voyait bien que les vacances étaient terminées, Winnipeg avait un tout autre visage, les arbres prenaient une couleur orangée, le vent soufflait un peu plus fort, l’air se rafraichissait doucement. Ceci dit, il n’avait plus autant de mal à se garer et ça l’arrangeait bien. Il arrêta la voiture en face de la mairie, y aperçut par la fenêtre le gringalet de secrétaire faire les yeux doux au Maire, il lui souriait béatement, ce spectacle était absolument pathétique à ses yeux. Déjà devoir répondre aux ordres de quelqu’un paraissait invraisemblable pour le plus sauvage des McCauley, mais en plus y prendre plaisir, alors là, on atteignit le comble du paroxysme. Il continua son chemin et s’arrêta à l’endroit même où il avait relevé le menton de la jolie brune. Il leva la tête vers l’étage, voir s’il y apercevait un peu de vie mais il n’y vit rien qui pourrait lui indiquer quoique ce soit. Il prit une profonde respiration et poussa la porte du Café. Feignant une éternelle bonne humeur, il alla directement saluer les propriétaires. « Madame et Monsieur Saint-James ! Comment allez-vous aujourd’hui ? » Il leur serra chaleureusement la main, touché par leur grande politesse et leur accueil des plus agréables. « Je passais simplement voir si tout se passait bien depuis les réparations, pas de soucis en particulier ? ». En vérité, le fonctionnement de la machine ne lui importait que très peu, non… Il voulait la voir, il tourna la tête un peu partout mais visiblement, elle n’était pas de service aujourd’hui. Après avoir écouté le récit plus ou moins passionnant –plutôt moins que plus d’ailleurs- du service de la bière, Aaron finit par poser la question qui lui chatouillait les lèvres. « Et euh… Parker est là ? ». Il baissa la tête instantanément, mal à l’aise. Peut-être leur avait-elle raconté le dîner, et si elle leur avait parlé de son invitation et de son refus, il devait vraiment passer pour un abruti.
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Parker Saint-James


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(Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. Tumblr_mzbr27GQWZ1toekg7o8_r1_250 ◗ CELEBRITE : LeightonSWEETMeester.
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◗ EMPLOI, ETUDES : Payée pour écouter les lamentations de la classe moyenne.
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-- Lorsque Aaron la serra fort contre lui, les choses devinrent soudainement réelles et ce fut comme si le monde était à présent fait de couleurs plus vives. Elle était avec lui.

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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyMer 23 Oct - 18:31

one day I 'll tell the story of us.
You miss her? Then book a ticket on the next flight get on a fucking plane and fly to her. Jump on a bus and ride five, six, eleven hours to see her beautiful face. Even if that means you’re broke for two months, or tired for a week. If she matters as much as you say, you’ll find a way..
Parker Saint-James se retourna dans son lit et enfonça sa tête dans son oreiller. Elle était dans un état pitoyable, cette intoxication alimentaire durait depuis maintenant deux jours et elle ne s'en remettait pas. La moindre pensée tournant autour de n'importe quelle nourriture lui retournait l'estomac, et elle avait mis plus de 24heure à dépasser le stade des allers-retours avec les toilettes. Toute sa famille s'inquiétait, sauf son père qui rigolait à chaque fois qu'il ouvrait la porte de la chambre et qu'il voyait son teint verdâtre. Parker aussi essayait d'en rire mais la vérité, c'est qu'elle était épuisée et qu'elle commençait à étouffer à l'intérieur de cette chambre qu'elle n'avait pas quitté depuis le soir où elle était allé manger dans ce foutu chinois avec Aaron McCauley. Aaron... Malgré son intox, Parker y pensait beaucoup. Énormement. Trop, même. Elle ne se reconnaissait pas, il lui avait vraiment laissé forte impression et elle ne parvenait pas à penser à autre chose que sa voix, son regard, sa bouche... C'était stupide mais elle n'arrivait pas à s'en remettre, elle n'arrivait pas à se convaincre que ce dîner était simplement un bon compromis. Elle se rappelait les sujets intimes qu'ils avaient abordés, elle se souvenait de son rire, elle se souvenait de son regard, de la chaleur qui dégageait de son corps lorsqu'ils marchaient côte à côte dans la rue puis elle se rémémorait tout ce qu'il avait dit sur ses relations avec les filles et elle réalisait une fois de plus qu'elle n'était définitivement pas faite pour lui. Elle ne pouvait rien envisager avec lui car elle savait qu'elle n'était pas son type de fille, qu'avec elle il s'ennuierait ferme. Et elle ne pouvait que le comprendre, elle n'était pas ce genre de fille délurée et fêtarde qu'il devait être habitué à fréquenter. Néanmoins le fait de savoir qu'elle ne lui correspondait pas ne l'aidait pas plus à l'oublier. Cependant, elle espérait qu'il n'était pas malade lui aussi, car elle, elle était complètement au fond du trou...

Elle était donc là. Allongée dans son lit, la tête dans son oreiller, en proie à des nausées insupportables dans un vieux sweat sous sa grosse couette. Elle pouvait entendre lointainement le brouhaha du café et bien que ça l'empêchait de dormir, ça ne la dérangeait pas plus que ça quand soudainement elle entendit distinctement la voix de ses parents et d'un homme se rapprocher. Parker sortit sa tête de l'oreiller, en alerte, et tourna vivement la tête vers la porte. Oh puis non ses parents allaient sûrement chercher du café dans la réserve avec un ami ou quoi. C'est alors qu'on frappa à la porte, Parker haussa les sourcils et s'écria. "Maxwell non j'espère que tu ne m'apportes pas encore des tartines parce que je vais vomir là, je rigole pas." La porte s'ouvrit alors complètement et elle le vit. Aaron. Dans sa petite chambre d'appoint au dessus du café. La petite chambre dans laquelle elle avait grandis, celle aux murs roses, celles où des jouets étaient encore étalés sur le sol car c'était là que sa petite soeur faisait la sieste. Aaron. Là. Alors qu'elle était malade. "C'est une blague ?!" s'écria t-elle. Elle cacha alors son visage de ses mains et se retourna dans le lit. "Non mais qu'est-ce que tu fais, là, je veux pas que tu me voies je suis malade..." fit-elle avec une moue boudeuse. Elle écarta deux doigt afin d'entre apercevoir Aaron. "Le chinois m'a pas réussi... Je suis malade comme un chien. Rigole pas." dit-elle en pouffant elle-même. Elle en voulait terriblement à ses parents de l'avoir laisser rentrer ici.

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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyJeu 24 Oct - 3:53


I'm asking you to get it on with me.

Sans même qu’il ait temps de reprendre ses esprits et un air désinvolte et désintéressé, le père de Parker invitait déjà Aaron à le suivre dans la partie privative du café, leur lieu de vie. Tout était en bazar et ça fit sourire le barman. Cette maison respirait la vie, il appréciait cette atmosphère qui émanait des lieux, il s’y sentait étrangement bien. Décidément, les Saint-James avaient l’art de mettre leurs invités à l’aise. Tout en avançant, Aaron contemplait les lieux, jusqu’à ce qu’ils arrivent devant une porte sur laquelle se trouvait six jolies lettres en bois, peintes en rose, indiquant le prénom de Parker. Il secoua la tête, amusé par tant d’enfantillage. Il n’avait jamais connu ça, ce genre de maison du bonheur où tout semble se rapporter à des souvenirs heureux.

Monsieur Saint-James frappa à la porte et un grognement se fit entendre, mais celui-ci ne stoppa en rien le père de Parker qui ouvrit alors la porte, laissant apparaitre la demoiselle emmitouflée dans ses couvertures, au milieu d’une chambre transportant Aaron au royaume des princesses et des Barbie. Elle vivait encore dans sa chambre de petite fille ? Vraiment ? Il ne put s’empêcher de sourire en remarquant tous les jouets sur le sol et les quelques peluches sous la fenêtre. Effectivement, on était loin de son monde à lui, de ces filles en sous-vêtements complètement alcoolisées qui coucheraient pour une dose. La petite voix de Parker résonna dans la pièce, et le moins qu’on puisse dire, c’est que la présence de son sauveur, ou plutôt celui de ses parents, ne l’enchantait pas. Elle tentait de se cacher comme une enfant, jusqu’à ce qu’elle lui avoue finalement ne pas avoir digéré le chinois. Le destin s’acharnait sur lui, non seulement sa seule invitation l’avait faite fuir, mais en plus si ce rendez-vous lui apportait une intoxication alimentaire, il était complètement foutu. Il s’approcha cependant du lit de la jeune femme et s’assit sur le lit, à côté d’elle, retirant le coussin sous lequel elle s’était cachée. Effectivement, elle était toute pâle et avait l’air épuisée, il lui adressa un sourire compatissant et lui dit en plaisantant « L’avantage c’est que tu souviendras toujours de notre premier rendez-vous. » Il lâcha la bombe comme s’il était évident qu’ils en auraient d’autres, pourtant la demoiselle avait refusé de le revoir deux jours plus tôt. « Si je m’occupe de toi, est-ce que j’aurais le droit à un autre rencard ? » prononça-t’il à mi-voix en s’approchant d’elle. Il lui caressa la joue tendrement avant de réaliser qu’il allait sûrement trop loin. Elle avait l’air tellement innocente dans ce lit, il s’était laissé aller à ses désirs, sans vraiment prendre conscience de son geste. Il s’installa dans le fauteuil près du lit et la taquina « Sympa ta chambre… C’est très… rose. ». Il avait envie de la faire rire, de faire passer le temps, surtout il avait envie d’être à ses côtés parce que c’est ce à quoi il pensait depuis des jours, il respirait à nouveau. Elle ne ressemblait pas à grand-chose dans son pyjama, en sueur et une cuvette sur sa table de chevet au cas où le besoin s’en ferait sentir, et pourtant, il la regardait tendrement.

Il savait très bien qu’il la mettait mal à l’aise, mais il espérait qu’elle ne lui demanderait pas de s’en aller, qu’ils puissent profiter de ce moment pour discuter un peu plus. Il n’avait jamais fait ça pour personne, déjà il n’avait jamais demandé à une fille de lui accorder un rendez-vous, ça se faisait tout seul, l’échec qui suivit encore moins, et se retrouver dans la chambre de cette même fille, la fierté sous le bras, encore moins. Si Monsieur Saint-James s’amusait à le raconter à ses clients, on ne le croirait sûrement même pas, la réputation d’Aaron le précédant. Pourtant, il était là, c’était contre-nature mais il était bon de penser qu’il était en train de changer… « Si tu veux que je m’en aille, je le ferai Parker, après tout, je ne sais pas ce que je fais ici, tu as refusé qu’on se revoit… ». Il jouait la carte de l’homme vexé maintenant, et c’est vrai il l’était, et il n’allait pas ramper à ses pieds pendant des mois. Il venait de faire un nouveau pas, mais ça serait le dernier, Aaron McCauley faisait un effort surhumain, il ne fallait pas trop en demander non plus.

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Parker Saint-James


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-- Lorsque Aaron la serra fort contre lui, les choses devinrent soudainement réelles et ce fut comme si le monde était à présent fait de couleurs plus vives. Elle était avec lui.

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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyJeu 24 Oct - 7:16

one day I 'll tell the story of us.
You miss her? Then book a ticket on the next flight get on a fucking plane and fly to her. Jump on a bus and ride five, six, eleven hours to see her beautiful face. Even if that means you’re broke for two months, or tired for a week. If she matters as much as you say, you’ll find a way..
C'était tout à fait le genre de de ses parents ça, laisser quelqu'un entrer dans sa chambre alors qu'elle était au fond du trou, c'était même un sport chez eux qu'ils pratiquaient avec chacune de leur fille. Parker pouvait encore entendre sa soeur de 12 ans Taylor hurler à la mort parce que ses parents avaient fait rentrer son équpe de foot chez eux alors qu'elle avait la grippe depuis 5 jours et par conséquent une mine affreuse. Pour eux, ce n'était pas grave, pour eux il n'y avait pas de quoi être gênée, et ça c'est parce que les parents Saint-James se connaissaient depuis toujours et pensaient qu'il ne fallait jamais se cacher sous des artifices. Facile à dire quand le mec que vous avez essayé de séduire maladroitement deux jours auparavant ne se trouve pas devant vous alors que vous êtes sur le point de rendre une énième fois le peu de chose que vous avez réussi à ingurgiter au petit-déjeuner. Aaron McCauley était donc là au grand malheur de Parker qui ne savait plus où se mettre. Néanmoins elle décida de finalement rire de la situation car... Que pouvait-elle faire d'autres ? Elle lui adressa un sourire alors qu'il venait s'asseoir près d'elle. Elle était attendrie, elle ne s'attendait vraiment pas à ce qu'il reste, n'importe qui en voyant ce désastreux spectacle aurait tourné les talons par peur de choper la nausée lui aussi, Parker l'aurait compris mais au lieu de ça le beau barman s'était installé à ces côtés et lui déclara en plaisantant qu'au moins elle se souviendrait de leur premier-rendez vous. Sans même réfléchir elle répondit en riant : "Hum, ça c'est sûr !"  Puis elle réalisa, il avait précisé le premier rendez-vous... Cela signifiait-il qu'il y en aurait d'autre ? Parker lui avait pourtant dis que ce n'était pas la fille qu'il espérait mais... Merde, elle était contente qu'il dise ça, étrangement contente de sa voir qu'elle n'avait pas tout gâcher sur le pas de la porte la dernière fois. Car bien qu'elle savait qu'elle avait raison, elle avait regretté chacun de ses mots. Soudainement, il se mit à caresser sa joue, Parker était stupéfaite. Elle le fixa quelques secondes puis, spontanément. Elle posa sa main sur la sienne. Premier contact.

C'est alors qu'il lui proposa une sorte de deal, s'il s'occupait d'elle, il pourrait peut-être avoir le droit à un autre rendez-vous. Parker le regardait en souriant. "Arrête Aaron, je sais même pas comment mes parents ont pu te laisser rentrer là, je suis dans un état pitoyable, tu devrais partir en courant ! ... Mais bon, j'avoue que je me suis ennuyée ferme ces deux derniers jours et peut-être qu'un peu de ta compagnie me ferait du bien." Elle laissait une porte ouverte. Mais elle restait prudente. Elle ne voulait pas brusquer les choses mais elle ne voulait pas non plus aller contre sa volonté, et sa volonté c'était que les choses marchent, ou du moins de tenter. Il fit alors un commentaire sur la pièce et Parker éclata de rire. "Non, non, ce n'est pas chambre ! Enfin je sais que ça en a l'air mais ça ne l'est plus depuis des années ! On a habité ici jusqu'à la naissance de Maxwell qui a 16 ans maintenant, après ça on a déménagé en banlieue dans une immense maison, assez grande pour accueillir cinq filles." Elle souriait en pensant à sa petite famille. ELle les aimait tellement fort, c'était vraiment son pilier, elle était capable de tout pour eux et elle savait que c'était réciproque, même si parfois les soeurs se disputaient, que les parents avaient l'impression que Dieu les avait puni avec cette portée parfois diabolique ils finissaient toujours dans les bras l'un de l'autre.

Parker prit la brosse qui était sur sa table de nuit et se redressa dans le lit pour se coiffer, elle se devait de se donner un peu de contenance tout de même, Aaron lui était plutôt bien habillé, il était parfumé et elle, complètement hideuse. Elle ne comptait pas se changer et faire la maligne, elle n'en était pas capable mais au moins éviter le côté tignasse ébouriffée. Il lui déclara alors que si elle le souhaitait, il pouvait partir puisque après tout elle lui avait fait part du fait qu'elle n'était pas faite pour lui. Parker posa sa brosse et soupira, elle plongea alors son regard dans celui d'Aaron. "Aaron, je suis désolée pour ce que je t'ai dis l'autre soir, honnêtement j'ai paniquée, j'ai regretté immédiatement tout ce que j'ai pu te dire mais... Comprends moi, c'est flippant. Je suis une fille d'ici tu sais, je ne connais pas les grandes villes, je suis étrangère aux boîtes de nuit, aux bars, tout ce que tu aimes, je le déteste, toutes les filles que tu fréquentes je les méprise... On est... Tellement différent. Et je pense que c'est pour ça que tu me fascines autant, que j'ai autant envie de te connaître mais d'un autre côté.. J'ai." ELle marqua une pause, elle n'avait pas envie qu'il parte en courant mais elle devait être sincère avec lui. "J'ai pas envie de tomber dans tes filets, m'attacher, puis prendre un numéro et faire la queue avec toutes les filles que t'as déjà malmené. Toute ma vie j'ai évité les gars comme toi, et c'était pas difficile parce qu'ils sont tous inintéressants. Puis t'as débarqué et t'as tout changé, mes opinions, mes clichés... T'as tout changé. Alors j'ai paniqué." Elle n'aurait pas pu être plus sincère, elle venait de lui faire part, de ses craintes, de ses peurs, et il serait complètement compréhensif qu'il la regarde de haut en bas et li lâche qu'elle était vraiment étrange, que rien ne s'était passé et qu'elle se faisait ses propres films. Parker n'avait pas l'habitude de se mettre à nue, de se réveler de la sorte, d'habitude c'était ces clients qui s'y collaient...

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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptySam 26 Oct - 22:54


I'm asking you to get it on with me.

Si on lui avait dit il y a encore une semaine qu’il serait dans la chambre d’une fille à essayer de prendre soin d’elle, il ne l’aurait pas cru à moins que le sujet de la conversation soit sa petite sœur Amber. Pourtant il était dans celle de Parker, assis près d’elle à s’imaginer un avenir avec elle. Quelle mouche avait piqué Aaron McCauley, Dieu seul le savait, mais bien qu’il le ferait un démenti immédiat si on lui posait la question, il était content d’être là. Il percevait cette opportunité comme une deuxième chance de vérifier une alchimie certaine. Contre toute attente, l’attitude de la jeune femme n’avait rien à voir avec celle qu’elle avait eu deux jours plus tôt une fois devant la porte du café. Elle avait l’air plus réceptive aux tentatives d’Aaron et surtout, elle lui rendait cette tendresse qu’il se découvrait lui-même. A croire que cette intoxication alimentaire lui avait permis d’ouvrir les yeux, et de perdre la tête, elle lui ouvrait doucement son cœur, elle lui parlait de ses doutes, de ses peurs par rapport à lui, et elle avait raison. Pourtant, bien que ses craintes soient fondées, il ne les percevait pas comme un frein parce que leur histoire allait être différente, elle allait exister. Au fur et à mesure de ses paroles, le cœur du barman se serra, son ventre se noua, elle lui parlait de ses sentiments et il était pétrifié. Depuis toujours, dès qu’une fille avait commencé à s’attacher à lui, à vouloir plus que du sexe, il prenait la fuite. « L’engagement, c’est pour les faibles » répétait-il à ses frères. Lorsque Jona et Sean avaient rompu, il avait dit et répété à son frangin qu’il aurait mieux fait de suivre son exemple, qu’il fallait simplement prendre du bon temps avant qu’elles t’attrapes dans leurs filets pour de bon et te brise le cœur. Il savait que les femmes avaient un pouvoir bien trop important sur la gente masculine, et il s’était toujours vanté de ne pas faire partie de ces canards qui rampaient pour un peu d’amour.

Les mots de Parker résonnaient dans sa tête, une partie de lui étaient prête à prendre ses jambes à son cou, à s’échapper tant qu’il en était encore temps. Il le pouvait encore, et pourtant son corps était incapable de bouger. Il restait assis près d’elle, les yeux humides. IL était presque sûr que son cœur allait bientôt sortir de sa poitrine tellement son rythme cardiaque avait accéléré. C’était elle qui prononçait les mots « panique » mais pourtant c’était lui qui ne savait plus quoi dire ni faire. Il finit par balbutier un « Je comprends. » qui n’était clairement pas ce que la jeune fille attendait, suivi par « Je ne peux rien te promettre Parker, je ne sais même pas ce que je suis en train de faire avec toi, c’est la première fois que je fais ça… Tout ça, nous, c’est aussi bizarre pour moi que pour toi d’accord, alors sois patiente et compréhensive s’il te plait. ». Il venait de parler d’eux comme un « nous », ça aussi c’était une première dans la bouche d’Aaron. Il aurait aimé lui dire qu’il n’allait jamais lui mentir ou la quitter, la rassurer, mais il ne pouvait pas, il ne savait même pas lui-même ce qu’il foutait dans cette chambre. Il lui attrapa la main, y déposa un baiser, puis la recouvrit de son autre main, caressant doucement sa peau, comme si elle lui appartenait. Il adressa un sourire à la jolie brune et quelque peu inquiet de ne pas avoir délivré la réponse qu’elle attendait, d’avoir à nouveau échoué dans sa tentative d’une futur rendez-vous, il prit un ton plus grave et lui demanda si ça allait. Bien sûr, sa question portait sur leur discussion plus que sur l’état physique de la demoiselle Saint-James. Il voulait surtout savoir comment elle prenait ce qu’il venait de lui dire et ce qu’elle envisageait pour la suite.
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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyLun 28 Oct - 9:01

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À présent, Parker était terrifée. Elle attendant qu'Aaron lui réponde, elle paraissait à calme mais à l'intérieur une véritable tornade se propageait. Elle trouvait la vie si étrange, il y a une semaine encore elle se levait chaque jour pour entamer sa routine : se réveiller, déjeuner avec sa famille, emmener ses soeurs à l'école pendant que ses parents ouvraient le café, puis se rendre à son cabinet, enchainer les consultations puis terminer par le service du soir au restaurant de ses parents. Et pendant chacun de ces moments, aucune pensée ne venait à la troubler... Alors qu'aujourd'hui, le seul fait d'ouvrir un placard lui faisait penser à Aaron tout simplement parce qu'elle pensait sans cesse à lui. Il était tellement particulier, tellement adorable, tellement charmeur. Elle avait l'impression que quelque chose de grand était sur le point de commencer mais elle n'osait pas se l'avouer par peur d'y laisser son coeur. Parker avait toujours eu une idée assez arrêtée sur les histoires d'amour : c'était souvent une perte de temps, ou une perte d'énergie à moins que ça soit le bon. La jeune femme avait vu ses amies enchaîner les déceptions, elle avait vu sa cousine Kayna rater un examen à cause de son petit copain, elle avait caresser les cheveux de Primerose jusqu'à ce qu'elle arrête de pleurer et s'endorme après avoir reçu un texto de rupture, bref elle avait l'impression d'avoir déjà vécu tout ça par procuration et d'en être déjà lasse. Elle savait aussi que les hommes de la ville n'était pas à son goût et que les bons étaient pour la plupart déjà pris. Puis, elle avait passé la porte du King's Head Pub et elle l'avait vu. Là. En train de taper la discute à cette nana, il avait posé son regard sur elle et quelque chose s'était passé, comme un déclic. Parker en était devenue agressive et désagréable. Comment ça un pauvre mec parvenait à la déstabiliser ? C'était inenvisageable.

Et pourtant... Ils étaient là. Si proches de l'autre, elle avait beau être malade, les nausées semblaient avoir disparues dès qu'il était entré dans la chambre, le temps s'était arrêté à partir du moment où il s'était assis sur son lit et qu'elle avait sentie son parfum. Il parla enfin. Lui disant qu'il comprenait mais qu'il ne pouvait rien lui promettre car il ne savait pas lui-même ce qu'il faisait avec elle. Parker la fixa d'un regard froid. "Très rassurant, Aaron." Elle était sur le point de le virer de sa chambre lorsqu'il prit sa main et y déposa un baiser. Raté de battement de coeur. Triple looping. Mini-feu d'artifice. Merde. pensa t-elle. Pour la première fois de sa vie, elle avait réellement envie d'embrasser quelqu'un. Mais... Ce n'était tellement pas ce qu'elle voulait ! Que leur histoire commence là dans cette chambre, alors qu'elle était dans un état lamentable, non ça ne devait sûrement pas commencer comme ça, Parker voulait que ça compte. Si il devait se passer quelque chose bien évidemment... Elle prit son inspiration et déclara. "Je vais l'être. Je vais être patiente et compréhensive, Aaron, mais je te demande juste de ne pas me faire regretter de te faire entrer dans ma vie. Car entrer dans ma vie, ça veut dire que nous allons compter. D'amitié, ou d'amour, finalement on en sait rien, mais si tu dois vraiment rentrer d'une manière quasi-quotidienne je veux que tu saches que tu dois faire preuve de..." Elle se rendit compte alors qu'elle était en train de lui parler comme si il eût été un client et qu'elle lui donnait les clefs de la réussite de son coeur. Elle se raidit alors légèrement puis se reprit : "Tu dois être toi-même. Et laisser à la porte le mec dont tu m'as parlé au restaurant, celui qui se tape des filles à droite, à gauche, celui qui pense que l'engagement c'est pour les nuls. Tu me comprends ?"

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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyDim 10 Nov - 1:25


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Alors qu’il était assis près de Parker, les mains jointes posées sur les draps du grand lit de la demoiselle, il entendait tout ce qu’il avait toujours refusé qu’on lui dise, toutes ces directives qu’elle lui imposait pour une hypothétique relation dont ni lui ni elle n’était sûr de vouloir, ou du moins il n’était pas certain d’être prêt à faire tant de sacrifices, à mettre de côté ses habitudes et ce qui faisaient de lui ce qu’il était. Elle lui parlait de vie rangée, de ne plus être celui qu’il était, et ses mots résonnaient encore et encore dans sa tête, il ne comprenait pas. Plus elle continuait, plus il se questionnait sur leur relation, sur l’éventuel avenir d’un duo si inattendus. Après tout, pourquoi voudrait-elle de lui si dès le début elle exigeait de lui qu’il change complètement tout ce qui le définissait. Il secouait la tête, toujours en pleine réflexion, et quand elle eut fini, il se leva soudainement et se positionna en face d’elle. « Je ne peux pas Parker, je ne peux pas être quelqu’un d’autre. Pourquoi moi dans ce cas ? Pourquoi vouloir de MOI si ce que tu attends est en fait le contraire de ce que je suis ? Ça n’a pas de sens, tout ça, nous, c’était une erreur, je ferais mieux de m’en aller. » Il leva les yeux d’un air désolé vers la jolie brune au visage angélique, puis tourna les talons, évita d’écraser les quelques jouets jonchant le sol en partant et passa la porte de son ancienne chambre.

En descendant les marches, il tomba nez à nez avec Monsieur Saint-James, très surpris de voir Aaron débouler dans les escaliers à toute vitesse. Une fois à la hauteur du père de la jeune fille, il lui fit un signe de tête et continua son chemin. Chaque pas qu’il faisait l’éloignait un peu plus de celle qui hantait ses pensées mais pourtant, il était persuadé que ce n’était pas le moment de faire des promesses. Il avait sa fierté, et il n’allait pas faire tomber le masque et laisser tout ce qu’il avait érigé pour se protéger après un seul rendez-vous à la suite duquel elle avait refusé de le revoir. Non, c’était trop tôt, trop rapide, trop demandé. Il n’osait pas imaginer la tête que devait faire Parker dans son lit devant la fuite de celui à qui elle venait d’offrir une place dans sa vie. Il avait besoin d’air, de réfléchir à tout ça avant de s’engager et de ne pas pouvoir tenir parole. Il se sentait complètement étouffé par l’afflux d’émotions diverses qui envahissaient son corps tout entier : la peur, l’excitation, le regret, l’envie, la passion, le doute. A chaque fois qu’il optait pour l’option A, l’option B prenait plus de place dans sa tête. Retourner sur ses pas et l’embrasser… Rentrer chez lui et oublier… Retourner sur ses pas… L’oublier… Retourner sur ses p… Les yeux fermés, il fit demi-tour. Lorsqu’il passa à nouveau la porte du Café, il adressa un nouveau signe de tête à Monsieur Saint-James qui lui sourit en retour, sûrement conscient de ce qui était en train de naître sous ses yeux, monta quatre à quatre les escaliers et arriva complètement essoufflé à la porte de la chambre de Parker, toujours ouverte. Elle avait le visage dans son mouchoir en papier et la voix d’Aaron lui fit relever la tête.

« Lève-toi. » lui ordonna-t’ il. Il voyait qu’elle allait répliquer mais il insista encore plus fermement « Lève-toi. » Encore toute fragile, elle s’exécuta et lorsqu’elle fut devant lui, il posa ses mains sur ses petites joues toutes chaudes, planta son regard bleu azur dans ses petits yeux noisettes tout brillants : « Tu me demandes de ne plus être celui que je suis, et auprès de toi, je ne veux plus être ce type non plus. Je veux être assez bien pour que tu donnes ta confiance, je veux être assez bien pour ne pas te décevoir,  je veux être assez bien pour rester dans ta vie, je veux simplement être assez bien pour me regarder dans une glace et me dire que je mérite une fille comme toi Parker. Et ça me fait peur. J’ai peur qu’un jour tu te réveilles et que tu te dises que tu n’as rien à faire avec un type comme moi, on est si différents, et pourtant c’est là, maintenant que j’ai l’impression d’exister pour la première fois… » Ses paumes entouraient toujours le visage de la demoiselle, et lentement il approche son propre visage du sien, posant délicatement ses lèvres sur les siennes, scellant la première déclaration d’amour de sa vie par un baiser qu’il espérait qu’elle lui rendrait.
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-- Lorsque Aaron la serra fort contre lui, les choses devinrent soudainement réelles et ce fut comme si le monde était à présent fait de couleurs plus vives. Elle était avec lui.

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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyLun 11 Nov - 13:16

one day I 'll tell the story of us.
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À peine avait-elle terminée de parler que Parker regrettait déjà chacun de ses mots, elle savait qu'elle avait été directive et à en voir la mine d'Aaron se décomposer elle était définitivement allée trop loin, la jeune femme ne savait plus où se mettre et avait le sentiment clair d'avoir commis une erreur en lui ouvrant son coeur de la sorte. Après tout que partageaient-ils ? Un restaurant chinois ? La jeune femme continua de soutenir son regard alors qu'elle se sentait complètement stupide. Quelque chose semblait avoir vrillé dans le cerveau du barman et Parker savait qu'elle était sur le point d'en faire les frais, elle eut à peine le temps de déglutir qu'elle le vit se lever brusquement et lui balancer qu'elle était complètement contradictoire dans ce qu'elle lui demandait. Parker se redressa dans son lit et le regarda en arquant un sourcil. Elle ouvrit la bouche pour protester mais la porte claquait déjà, elle l'entendit dévaler les escaliers à toute allure et son coeur se serra. "Bien joué espèce d'idiote..." murmura t-elle. Elle était sur le point de pleurer, elle se sentait stupide et humiliée, tout ça n'était que dans sa tête, cette histoire n'avait démarré que dans son imagination, ce mec se foutait complètement d'elle comme tous les autres et leur histoire n'avait pas lieu d'être voilà tout. Que s'était-elle imaginée ? Que le womanizer de Winnipeg allait s'attacher à elle en une soirée et finir par l'embrasser alors qu'elle était là, malade à en crever, en pyjama au fond de son lit ? Elle avait vraiment regardé beaucoup trop de films, lorsqu'elle raconterait ça à ses amies, elles éclateraient toutes de rire et l'enverraient voir un psy dans la ville voisine c'était sûr. Parker ravala ses larmes et tendit la main vers sa brosse, elle allait se donner un peu de contenance, elle allait faire diverger son attention pour ne pas penser au fiasco total qui venait de se dérouler dans cette chambre. Elle passa la brosse dans ses cheveux, le regard dans le vide. Elle avait vraiment misé sur lui, ses beaux yeux, sa voix, son rire, il avait quelque chose en plus, quelque chose qu'elle avait sû capter et qui avait immédiatement gagné son coeur malgré ses réticences.

Mais ce n'était visiblement pas réciproque. Sentant son nez la picoter à nouveau, elle porta un mouchoir à son visage lorsque soudainement la porte de la chambre claqua contre le mur. Nouveau raté de battement de coeur. Parker leva les yeux vers celui qu'elle croyait partie pour toujours. Aaron se tenait là devant elle, essoufflé, déterminé, une flamme dansait dans son regard, une flamme que Parker n'avait jamais vu dans aucun autre, la jeune femme eut un bref mouvement de recul alors qu'il s'approchait d'elle, pas certaine de ce qu'il comptait obtenir. C'est alors qu'il lui ordonna de se lever, Parker s'apprêtait à lui demander de reculer lorsqu'il lui ordonna une nouvelle fois de sortir de son lit. Pas rassurée, la jolie brune obtempéra et se retrouva face au jeune homme. Leurs regards ne cherchaient pas d'échappatoire, non, les yeux dans les yeux Parker sentait son coeur s'accélérer alors qu'il lui vidait son sac. Un sourire de plus en plus grand s'étira sur ses lèves alors qu'il lui déclarait vouloir devenir quelqu'un de meilleur pour elle, qu'il voulait la mériter. Tout ce qu'elle avait toujours rêvé d'entendre, il lui servait sur un plateau, Parker sentait une ivresse propre au bonheur l'envahir et ce fut le coup de théâtre lorsqu'il plaqua ses lèvres sur les siennes. À ce moment précis, Parker oublia le sweat dégueulasse dans lequel elle comatait, elle oublia la fièvre, sa famille qui travaillait en bas, ses peurs, ses angoisses, son passé fade et sans couleur. Elle oubliait tout et vivait à travers Aaron. Elle lui rendit ainsi son baiser, passant ses bras autour de son cou pour l'obliger à le prolonger. Ils finirent front contre front. "Tu es déjà assez bien Aaron, ne te sous-estime pas. Je ne veux pas te changer, je veux juste que tu sois toi-même, je veux connaître ton passé, tes habitudes, ce qui te fait rire, ce qui te contrarie, comment tu aimes ton café, quel est ton film préféré. Le nombre de conquêtes que tu as eu ne m'intéresse pas, toutes les conneries que tu as pu faire par égoïsme ou machisme je m'en fous, je veux juste toi. Je te veux juste toi." lâcha t-elle en le serrant contre lui. "Tes défauts, tes qualités, je veux le package complet de tes rêves et de tes peurs." Elle serra nerveusement son cou puis reprit : "Crois moi, je suis autant terrorisée que toi Aaron. Ce que tu vis est autant inédit pour toi que pour moi. Mais ça va aller, n'est-ce pas ? Puisque c'est toi, et que c'est moi." La jolie brune savourait ce moment, le début d'une histoire. Elle ignorait encore si elle finirait le coeur brisée ou si elle pouvait se permettre de prendre le risque mais elle savait qu'il était trop tard. Elle s'était déjà abandonnée, elle ne s'appartenait plus.


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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyMar 19 Nov - 3:53


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Un baiser… Le goût de ses lèvres contre les siennes, la douceur de sa peau alors qu’il lui caresse la joue avec son pouce, qu’il passe sa main dans son cou avant de remonter sa nuque, de s’engouffrer dans sa chevelure brune et de rester coincé dans un nœud qu’elle avait sûrement oublié de démêler. Il sourit mais ne dit rien, il n’avait pas envie de gâcher ce moment, cet instant magique que chacun des deux n’oublierait jamais, celui qui marquait pour eux le début d’une aventure pleine de passion et d’incertitudes, le chemin accidenté de l’amour. Au milieu de tous ces jouets éparpillés sur le sol de la chambre de Parker, deux grands enfants venaient de se risquer à enfin être des adultes et de lancer corps et âme dans une relation à laquelle personne ne croirait. Aaron, l’un des plus grands séducteurs de la ville au palmarès digne de celui des plus grands sportifs de l’histoire, en couple avec la jeune fille de bonne famille, la prude et innocente Parker Saint-James. Il n’osait pas imaginer ce que les gens allaient bien pouvoir dire dès que la nouvelle sortirait de ces quelques mètres carré. Il devait savourer l’instant présent, avant que la vie ne les rattrape, avant que tout le monde essaye de leur prouver qu’ils ont tort, avant de devoir se battre pour montrer à tous qu’ils y croient, avant de devoir affronter le regard suspicieux des autres. Evidemment que tout le monde allait dire à la jeune fille de se méfier, tout le monde connaissait sa réputation, le moindre de ses faits et gestes allaient être étudié et décortiqué, rapporté à sa moitié avant même qu’il ait le temps de dire ouf. Embrasser Parker, ça voulait dire renoncer à tout ça et devenir ce mec irréprochable qu’il espérait devenir pour elle, qu’il avait envie d’être pour la première fois dans sa vie. En se lançant dans cette relation, il venait de signer un contrat avec lui-même, un contrat de bonne conduite, il venait d’épouser le sentier de la rédemption, celui du droit chemin, et il n’avait pas le droit à l’erreur.

Il en avait tenues des femmes dans ses bras, dans ses draps, il les avait touchées, embrassées, il avait admiré leurs courbes, leurs formes généreuses, et pourtant, c’est en tenant Parker dans ses bras, vêtus de ce gros sweat bien trop large pour elle, ses cernes qui lui tombaient jusqu’aux narines dans la maison de ses parents et une cuvette à vomi derrière lui qu’il se sentait bien. Il s’était senti bien auprès des autres, cette sensation de bien-être après une partie de jambes en l’air rondement menée, mais là, c’était tout autre chose, il était… heureux. Front contre front, il vint caresser le petit nez de sa douce du bout du sien… « Toi et moi hein… » Il répétait ses mots comme pour bien les assimiler… Elle et lui, eux, associés dans un même groupe de mots, un ensemble, un tout, un couple. Aaron se sentait comme un gamin, il n’avait jamais vraiment eu de relation sérieuse, quelques flirts, quelques histoires passagères mais il savait bien qu’aujourd’hui, c’était autre chose qui s’offrait à lui, quelque chose de fort qu’il n’avait jamais connu avant, qu’il ne s’était jamais laissé découvrir. Il serra fort sa toute fraîche petite amie dans ses bras, elle était à lui, rien qu’à lui, et ça faisait sacrément du bien. Son cœur se relâchait, il soufflait, soulagé d’avoir franchi ce pas. Il sentait le souffle chaud de la brune dans son cou, les yeux fermés, il lui caressait la tête, il avait envie de crier au monde « Enfin ! », c’était comme s’il était en train de vivre le moment qu’il attendait depuis toujours, alors que ça lui était tombé dessus sans qu’il ne s’y attende. Finalement, en haut de ce petit café dans lequel il n’aurait jamais mis les pieds en temps normal, il découvrait la vie, la vraie, celle qui vaut la peine d’être vécue, celle pour laquelle il est bon de se lever chaque jour. Oui, il se sentait tout simplement vivant. Il relâcha son étreinte et recula d’un pas, replaça une mèche de Parker derrière l’oreille de cette dernière du bout des doigts, lui attrapa la main et plaça ses doigts entre les siens. « Waou… Je suis soulagé. » Devant le regard attendri de la demoiselle, il ne put s’empêcher de continuer « Oui, c’est vrai, en t’embrassant, j’ai pris un risque, je ne savais pas à quoi m’attendre, j’étais tellement angoissé, je veux dire… T’aurais pu… T’aurais pu… me vomir dans la gorge. » Un sourire jusqu’aux oreilles, il avait eu besoin de détendre l’atmosphère, de rendre naturelle une situation un peu spéciale pour les deux tourtereaux. Oui, il se souviendrait de cette date, il la marquerait d’une pierre blanche, mais il voulait surtout pouvoir en vivre d’autres rapidement. « Maintenant que je suis ton homme, si je t’ordonne d’aller te recoucher, tu vas m’obéir ? » dit-il en la poussant vers son lit. « Hop hop hop, pas de discussion. Si tu te rétablis vite, tu seras récompensée. » Ajouta-t-il d’un air coquin en jouant des sourcils. Le chantage, c’est moche, mais ça peut être efficace parait-il.
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MessageSujet: Re: (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me.   (Ronron & Parkinette) I'm asking you to get it on with me. EmptyMar 3 Déc - 14:16

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Parker ne pouvait s'empêcher de penser à la réaction de son entourage lorsqu'ils apprendraient qu'elle sortait avec le barman qui les avait sauvé le jour de la finale de baseball. Ils seraient sans doute ravis, c'était la première fois qu'ils la verraient avec quelqu'un. À 24 ans, Parker n'avait jamais ramené personne à ses parents et jamais elle n'aurait imaginé que l'homme avec qui elle finirait par sortir serait quelqu'un comme... Aaron McCauley. Elle avait peur de l'avenir, certes, mais elle avait aussi cet excellent pressentiment. Un pressentiment qui lui ordonnait d'arrêter de s'en faire et de vivre les choses comme elles arrivaient. La jeune femme avait désormais hâte d'aller mieux pour passer du temps avec lui, pour se faire jolie pour lui, elle était quelque part ultra-gênée que leur histoire ait commencé d'une manière si cocasse mais en même temps c'était tout ce qui en faisait sa beauté. Néanmoins, elle n'était pas non plus naïve, elle savait que cette histoire ne serait pas de tout repos. Elle savait que les gens allaient tenter de les convaincre qu'un "eux" n'avait pas lieux d'être car ils étaient trop différents, les habitants de Winnipeg avaient pendant longtemps voulu voir Parker & Tyler Lockwood se marier. Ce genre de schéma les rassurait, la psychologue de la ville qui se mariait avec le médecin, tout deux issus de bonne famille et meilleurs amis depuis toujours, c'était une histoire digne d'un conte de fée. C'était moins original que le bad boy qui finissait par connaître la vraie signification du bonheur auprès d'une fille aussi prude & sérieuse que Parker. Mais la jolie brune se fichait déjà de l'avis des autres, elle ne voulait pas laisser les mauvaises ondes entâcher son bonheur, elle voulait vivre cette histoire comme n'importe quelle femme de son âge et peu importe si ils dérogeaient au schéma classique. Elle ne voulait pas réaliser qu'elle lançait un défi de taille à Aaron : le défi d'être réglo, de rendre des comptes, de lui rester fidèle. Non elle ne voulait pas commencer à réfléchir à tout ça sinon elle risquait de prendre les jambes à son cou et de se sauver d'ici. Cependant, si Aaron allait voir sa vie changer, Parker serait toutefois tôt ou tard confronté à la réalité de leurs différences. Lui qui était habitué à coucher à droite à gauche, à exaucer chacun de ses désirs, s'embarquait dans une aventure singulière avec une fille aux valeurs qu'elle considérait omniprésentes dans sa vie. Oui, finalement, c'était à se demander si les deux jeunes gens étaient bien conscients de ce qui venait de naître dans cette chambre en cette belle après-midi.

Lorsque Aaron la serra fort contre lui, les choses devinrent soudainement réelles et ce fut comme si le monde était à présent fait de couleurs plus vives. Elle était avec lui. Ils étaient en couple. Lorsque les gens lui demanderaient comment se porte sa vie amoureuse, elle prononcerait son nom, quand elle prévoirait ses prochaines vacances elle devra s'arranger pour leur accorder du temps, quand il y aura des repas de famille, elle devra demander à sa mère de rajouter une assiette.. C'était tellement étrange. De savoir qu'elle avait maintenant sa personne à elle, quelq'un avec qui elle allait partager sa vie. Elle qui n'avait jamais laissé personne contrôler son emploi du temps elle se sentait maintenant prête à tout donner, à s'abandonner quitte à s'y perdre. C'était donc ça l'amour ? Foncer dans un mur et être tout excitée à propos de ce désastre programmé. Parker passa son bras autour du cou d'Aaron et déposa un rapide baiser dans son cou alors qu'il lui chuchotait qu'à présent c'était lui et elle. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire. Il lui attrapa la main et lui déclara qu'il était soulagée parce qu'après tout elle aurait pu lui vomir dans la bouche, Parker éclata de rire et lui envoya une petite tape sur le torse. "Aaron c'est pas drôle je suis vraiment malade alors que toi t'as strictement rien, faut que tu passes chez les Wang et que tu leurs dises de vérifier la date limite de leurs produits parce que je suis en train d'y laisser ma vie !" Elle aimait son humour, sa spontanénité, elle le sentait plus à l'aise, plus naturel et ça lui faisait chaud au coeur. Elle ne voulait pas qu'il tente d'être quelqu'un d'autre pour elle, elle voulait le véritable Aaron celui qu'elle voyait lorsqu'il parlait de sa famille, de sa petite soeur. Elle voulait le meilleur de lui, sans pour autant rejeter le pire. Puis il lui demanda de rejoindre son lit, que maintenant qu'il était son homme il avait le droit de lui donner des ordres, Parker ne pouvait s'empêcher de rire et émit une petite résistance avant definalement rejoindre son lit douillet. "Non j'ai juste envie de sortir j'en peux plus, puis j'ai pleins de choses à faire en plus. C'est bientôt mon anniversaire et faut que j'empêche ma mère de m'organiser une énorme fête. Je vais avoir 25 ans ça m'angoisse j'ai aucune envie que 50 personnes soient là pour me féliciter !" Sur ce, elle se glissa tout de même sous la couette, étant donné que visiblement Aaron n'était pas prêt à la laisser lui tenir tête. "Puis j'ai pas envie que tu partes, je crois qu'il fait beau en plus dehors." Elle se cala dans le lit, et posa la tête sur l'oreiller. En faite, elle se sentait crevée, complètement crevée... Le fait de s'allonger lui donna comme un coup de barre et elle était carrément prête à s'endormir à nouveau. "Tu sais.. Je suis vraiment contente que tu sois venu." Elle sentait sa respiration se ralentir, ses yeux se fermèrent tout seul. "Tu le prends pas mal hein si je m'en dors... On va se voir bientôt, n'est-ce pas ?" Elle tendit la main pour prendre la sienne et l'attira vers lui pour l'embrasser à nouveau. Un baiser rapide, mais doux. "Aaron c'est le début de quelque chose de bien." Et sur ces mots qu'elle s'endormie.

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