Sujet: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Ven 1 Nov - 19:23
emma bridget davenport
Je m'appelle Emma Bridget Davenport et j'ai 4 ans et demi, puisqu'en effet je suis né(e) le 30 mai 2009 à Winnipeg, Canada. Ma situation sociale est actuellement moyenne et j'habite à Snowflake Lane depuis 2009; j'y suis écolière en deuxième année de maternelle et j'habite avec ma maman Pearl Davenport. Niveau amour, je suis actuellement célibataire et d'ailleurs, je suis trop petite pour y penser. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un personnage coinventé avec Pearl et c'est Kristina Cutie Pimenova qui me prête son joli minois.
Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Ven 1 Nov - 19:23
tell me your secrets
02 novembre 2013 « Emma, prends une grande inspiration, ce n’est rien. Tout va bien. Regarde, c’est fini. Respire. » La petite fille s’exécuta en entendant ce que lui disait sa psychologue, prenant une grande inspiration comme on lui avait appris. C’était difficile, souvent très difficile. Respirer, ce n’était pas si évident que ça, surtout pas quand on faisait une crise d’angoisse. À cet instant précis, Emma en faisait une, installée dans son lit d’hôpital, celui-là même qu’elle voyait plusieurs fois par semaine et qu’elle détestait autant qu’elle en était effrayée. « Ça va mieux ? » La petite fille acquiesça doucement, peu certaine du bien fondé de cette réponse. Ça allait relativement mieux, mais elle se sentait encore oppressée. Elle était encore à l’hôpital, ça ne pourrait pas "aller" tant qu’elle n’en serait pas sortie. « Raconte-moi. Dis-moi. De quoi tu as peur ? Comment ça se passe, en dehors de l’hôpital ? » Emma leva les yeux au ciel, plissant son petit nez alors que ses paupières se fermaient légèrement pour protéger son iris des néons aveuglants. « Moi je voudrais un waf-waf. »
15 septembre 2013 « Allez princesse, on va y aller ! » Assise sur son lit, la petite Davenport soupira lourdement. Elle s'était cachée sous ses couvertures dans l'espoir que sa mère oublie son existence, au moins pour aujourd'hui. Parce qu'aujourd'hui, c'était mercredi. « Mais maman, il y a trop de mercredis dans la semaine. » marmonna la blondinette dans sa barbe, presque de manière inaudible. C'était sincère: les mercredis et les samedis arrivaient beaucoup plus vite que les autres jours de la semaine. Les enfants adoraient ces jours, synonymes de vacances hebdomadaires. Pas Emma. Emma, elle, elle préférait l'école. À l'école, elle était normale. « Ça va être long aujourd’hui maman ? » « Comme d’habitude ma chérie, plus ou moins. Mais tu sais ce qu’on va faire après ? » Sa mère faisait tout pour rendre ça plus facile. Mais jamais ça ne serait vraiment normal. En attendant, Emma entendait au son de sa voix que ça serait fascinant. Ses yeux pétillaient d'une lumière enfantine qui avaient quelque chose de désolant quand on savait ce qu'il lui arrivait. « On va aller acheter un waf-waf ? » Pearl eut l'air contrariée, presque déçue en voyant l'excitation de sa fille -qui disparut aussitôt. Non, définitivement, le waf-waf, ce n'était pas pour aujourd'hui. « Non ma puce, ce n’est pas possible ! Mais on va aller manger un bon goûter chez mamie et papi, ça te dis ? » Les glaces chez papy et mamie, c'était drôlement chouette. Mais pas aussi chouette que de pouvoir avoir des animaux. Elle ne pourrait pas avoir un chien -pas tout de suite, en tout cas. Peut-être lorsqu'elle serait plus grande. On le lui disait souvent. ça irait mieux plus tard. Elle ne comprenait pas vraiment. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle était obligée d'aller à l'hôpital deux à trois fois par semaine pour qu'on "rajoute des choses anti-maladie dans son corps". Et ce n'était pas agréable.
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« ça me fait peur l'hôpital. Un jour, un monsieur il a dit à ma maman que je devrais y aller plein de fois dans la vie, et depuis c'est vrai. »
« ...lymphocytes dénudés. » Ces mots durent raisonner dans la tête de Pearl Davenport. Une mère jeune, trop jeune, trop paumée, trop seule, à qui l'on disait que sa fille était trop malade. Elle avait dû être terrorisée, alors que Emma, elle, dormait paisiblement dans son landau à côté d'elle. Plusieurs fois, la brunette avait dû se ruer chez le médecin -et parfois aux urgences- pour soigner le plus rapidement possible ce qui avait commencé par être un rhume des plus anodins. Elle avait bien trop souvent été paniquée en conduisant avec sa fille attachée dans le porte-bébé à ses côtés, bien trop angoissée en entendant les pleurs de souffrance d'un nourrisson de quelques mois seulement dont elle se rendait compte qu'elle ne pouvait malheureusement pas guérir tous les maux par simple amour, si inconditionnel fut-il. L'avantage de la sorte de sentence que prononçait désormais le médecin, c'était qu'ils savaient ce qu'elle avait. Ils savaient aussi qu'elle pourrait avoir une vie relativement normale, quoi que des contraintes hospitalières se poseraient rapidement à elle. N'ayant pas fait d'études de médecine, la jeune mère était totalement perdue à ce que lui disait le docteur en face d'elle. Il essaya de rendre le tout plus accessible au commun des mortels: il s'agissait d'une déficience immunitaire malheureusement assez commune, mais heureusement facilement traitable. Il suffit, si l'on peut dire, de subir des injections d'immunoglobuline de sorte que les lymphocytes puissent être renforcés et ainsi défendre le corps contre des maladies basiques. Sans ces injections, les immunodéficients pourraient avoir de graves problèmes à cause d'une infection bénigne. Emma pourra être greffée. Elle est seulement trop petite pour supporter une opération encore relativement lourde: il lui faudra attendre encore quelques années pour envisager de ne plus aller dans cet hôpital qui est devenu comme sa deuxième maison.
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lundi 04 novembre 2013
06h55 Une voix douce et bienveillante extirpa la petite fille de son sommeil. Lentement, elle se sentait revenir à elle, laissant ses paupières frémir au contact de la réalité. Elle entrouvrit les yeux avec difficulté, battant des cils à plusieurs reprises avant de ne pouvoir s'acclimater à la pourtant très sobre lumière qui émanait du couloir qui longeait sa chambre d'enfant. « C'est l'heure, ma puce. » La pénombre d'une aube en retard laissait encore le petit appartement dans lequel vivaient Pearl et sa fille soumis à la lueur des ampoules éclairées çà et là. Pour aider Emma à émerger, sa mère passa sa main sur son front tendrement, la voyant alors bailler en faisant se froncer son petit nez. « Aujourd'hui tu pourras mettre ton nouveau manteau pour aller à l'école! » Un petit sourire étira les lèvres fines de Emma, dont les yeux encore endormis peinaient à s'ouvrir plus qu'à moitié. Elle acquiesça pour faire savoir qu'elle avait bien reçu l'information, puis frotta ses yeux à l'aide de ses mains pour ensuite se redresser, s'asseyant sur son matelas en guise d'étape intermédiaire dans la perspective de commencer sa journée. « Il y a l'hôpital aujourd'hui? » Ce n'était pas l'un des jours prédéfinis pour le traitement, seulement selon les saisons, température et virus en cours, il arrivait à peu près une fois par mois qu'un troisième jour s'ajoute aux autres pour l'injection. À la question de sa fille, Pearl acquiesça rapidement, d'un air compatissant. ça l'embêtait autant que Emma, si ce n'était plus, et chaque fois qu'elle devait le lui annoncer, elle se sentait comme coupable. Techniquement elle n'y était strictement pour rien, et au contraire elle aurait tout fait pour lui éviter ce mal. Seulement elle n'y pouvait rien. Et elle ne pouvait pas non plus s'empêcher de s'en vouloir de n'y rien pouvoir. En constatant qu'elle devrait encore une fois passer la soirée hors de sa maison, Emma sentit sa lèvre trembloter, comme elle le faisait à chaque fois qu'elle s'apprêtait à pleurer. Non, non, pas ce soir! « Mais non maman! Aujourd'hui j'ai le piano! » Son ton avait quelque chose de désespéré, à la manière d'une revendication qui pouvait amener à la négociation. Et si elle allait à l'hôpital le lendemain, plutôt? Elle adorait le piano; elle avait supplié sa maman de l'inscrire en septembre. Elle aurait voulu faire du poney, également, mais ça ce n'était pas possible en raison du nombre de microbes qui traînaient dans les ranch. Alors elle se focalisait sur la musique, qu'elle trouvait par ailleurs vraiment intéressante. C'était sa petite fierté, son petit rayon de soleil de la semaine. Elle ne voulait pas abandonner les marteaux d'ivoires pour une seringue en plastique. « Je sais, je sais mon ange! Mais il y a un piano dans la salle de repos des adultes, et je me suis arrangée avec l'hôpital et ta prof pour que tu puisses avoir ta leçon là-bas, ne t'inquiète pas. » Rassurée, la blondinette releva le regard vers sa mère. Ses yeux clairs pétillaient à nouveau d'une certaine lumière: avec le son d'un piano, l'hôpital semblerait bien moins froid.
10h15 « Même que moi une fois je suis tombé tellement fort que je suis allé chez les pompiers et après dans un hôpital! » Le petit groupe d'enfants admiratifs qui s'était formé autour de l'orateur improvisé leva les yeux vers celui-ci presque frénétiquement. Seule Emma eut l'air abattue, presque boudeuse alors qu'elle regardait le petit garçon qui se vantait de ses blessures d'un air de chevalier qui prouvait, au fond, qu'il ne savait pas ce que c'était qu'un hôpital. « Waaaah, et tu as eu des piqûres? » « Oui, mille! et j'ai même pas eu mal! » Il ne faisait rien de bien méchant, au fond. Il exagérait juste la réalité, comme le faisaient souvent des enfants qui, du haut de leurs quelques centimètres, voyaient le monde en trop grand, en surestimaient les proportions. Il était juste allé chez l'infirmière de l'école pour qu'elle lui donne un pansement avec des dinosaures... mais pour lui, c'était digne de la quête la plus honorable du monde. Beaucoup renchérirent, à ces dires: on entendit Gabriella affirmer qu'elle s'tait un jour ouvert la main (comprendre qu'elle se l'était légèrement rappée en tombant par terre), on eut même droit au "pansère" -il voulait dire cancer- de Jonathan, qui à la vérité n'avait aucune idée ce ce que ce mot pouvait vouloir dire. Tout ce qu'il savait, c'était que ça avait l'air grave, et qu'ils étaient en plein concours de "gravitude". Avec un "pansère", il ne pouvait que gagner. Emma, elle les aurait battus à plate couture. Emma, elle pouvait leur montrer la trace de piqûre sur son bras. Emma, elle pouvait leur dire que ce soir encore, elle irait à l'hôpital. Cet hôpital où les docteurs connaissaient son prénom, où l'infirmière savait quel était son livre d'image préféré dans la salle de jeux des enfants -où Emma elle-même savait différencier la salle de jeux de la salle d'attente. Elle ne dit rien. Ou plus exactement, rien qui allait dans ce sens. Parce que lorsque les quelques enfants se furent tous exprimés, le premier arqua un sourcil en la regardant. « Et toi Emma? Tu as déjà eu un pansement avec des dinosaures? » Semblant sortir de ses songes, la petite fille pensa un instant à partir en courant pleurer dans les jupes de la maîtresse. Au lieu de ça, elle laissa son esprit rêveur reprendre le dessus. « Non, jamais. J'ai jamais vu un docteur de toute ma vie parce que j'ai des supers pouvoirs comme dans les dessins animés. » Ils la regardèrent, intrigués. Finalement, ils n'auraient peut-être pas dû s'inventer toutes ces misères: avoir des super-pouvoirs, c'était vachement chouettes, ils auraient dû y penser plus tôt. Maintenant ils ne pouvaient pas revenir en arrière; même s'ils n'avaient que quatre ans, ils comprenaient qu'il en allait de leur crédibilité. « Un jour un arc-en-ciel il s'est posé juste où je passais, et il m'a donné des pouvoirs et un bébé licorne, et je peux jamais aller à l'hôpital et je peux jamais être triste et je peux soigner les gens quand ils se font des bobos. » Décidément, c'était drôlement mieux que d'avoir des tonnes d'expériences peu souhaitables avec des piqûres et autres mésaventures. Elle elle était non seulement une warrior, mais en plus elle avait une licorne.
16h38 Emma était assise sur le petit banc posé à l'entrée de l'école, rebaptisé par les enfants "le banc des parents" en raison du fait que c'était dans ce coin-là qu'ils attendaient tous les jours qu'on vienne les chercher. En l'occurrence, il ne restait plus que quelques enfants et la maîtresse qui attendait patiemment que quelqu'un vienne les chercher. À côté de la petite fille se trouvait Théo, un camarade de classe avec qui elle avait l'habitude de discuter de temps en temps. « Ta maman est en retard? » « Non, c'est mon papa qui doit venir me chercher. Et toi? » Les yeux de Emma s'ouvrirent un peu plus grand, portés par un étonnement certain. Mince alors... elle, ce n'était jamais son papa qui venait la chercher. En même temps, ça semblait normal, puisqu'elle n'en avait pas. « C'est comment d'avoir un papa? » Théo sembla surpris par cette question. Il grimaça légèrement en tentant de comprendre où elle voulait en venir. « Ben c'est comme une maman... mais ça a la voix grave. » Emma acquiesça d'un air très convaincue, passionnée par cette réponse qui lui semblait très pertinente. « Mais tu n'as pas de papa? » Qu'est-ce que ça avait de surprenant? D'un air d'évidence ponctué d'un soupçon de honte, la petite fille secoua la tête de droite à gauche à deux reprises, ce qui rendit Théo un peu plus perplexe. « Mais c'est obligé que si, même que. C'est maman qui m'a dit que c'était obligé qu'on a tous un papa, et maman elle ne se trompe jamais. » Emma ne disait plus rien, étudiant ses propos avec une concentration toute particulière. À vrai dire, l'idée lui plaisait bien... elle s'était toujours dit qu'elle n'avait pas de père, point final, mais peut-être qu'il suffisait en fait de le réclamer au père noël? Ce devait être ça. Il devait attendre bien sagement dans sa boutique en Laponie... bon dieu! il devait être triste que Emma ne l'ait pas encore réclamé! ça faisait tellement longtemps qu'elle était vivante (honnêtement, à son sens, une petite éternité au moins), et elle n'avait jamais pensé à le commander. Elle espérait qu'il ne lui en tiendrait pas rigueur, elle n'avait aucune intention de lui briser le cœur, bien au contraire. Elle l'aimait déjà. Mais alors qu'elle prit une grande inspiration pour affirmer à son camarade qu'elle allait faire le nécessaire pour le rencontrer, la voix mi-lointaine de sa maman l'interrompit. Pearl avait été prise dans les bouchons et avait de fait quelques minutes de retard. En atteignant le petit banc, elle s'en excusa auprès de la maîtresse qui lui affirma que ce n'était rien, puis déposa un baiser sur la joue de sa fille en attrapant sa petite main dans la sienne. « Emma, tu n'as pas froid? Tu as les mains toutes froides! » La blondinette secoua vivement la tête. Elle n'avait pas le sentiment d'être frigorifiée, malgré la notable chute de température des derniers jours. Elle, elle ne voyait pas le problème: si elle n'avait pas vraiment froid, elle n'avait pas à s'encombrer d'un manteau supplémentaire, d'une écharpe ou autres artifices si pénibles à porter. Seulement sa mère était d'un autre avis; elle, elle savait que sa fille devait éviter le plus bénin des rhumes. Elle savait qu'un mal de tête pouvait se finir à l'hôpital. Elle savait que des gants étaient nécessaires à partir de fin octobre, même si ça ne plaisait pas vraiment à Emma. « Tu dis au revoir à ton copain? On va y aller, on boira un chocolat chaud à la maison! » Ravie à cette idée, la petite fille sauta du banc et fit un signe de la main à Théo, qui le lui rendit tout sourire. Emma enfila ses gants, puis partit en tenant fermement la main de sa maman. Après trois pas, son sourire s'atténua: elle ne pensait qu'au chocolat chaud, mais elle avait totalement oublié qu'après la pause goûter elle devrait aller à l'hôpital. Elle bouda quelques secondes dans son coin, puis songea que ça risquait de se voir, et que donc sa maman risquerait de s'en rappeler. Après tout, avec un peu de chance, elle avait peut-être oublié. Mieux vallait ne pas tenter le diable. Aussi la petite fille s'appliqua à amener sa maman sur un terrain de conversation qu'elle imaginait délicat, puisqu'elles n'en avaient jamais parlé, ce qui lui semblait être une parfaite idée pour occuper l'esprit de Pearl assez longtemps pour qu'elle oublie définitivement le rendez-vous. « Mamaaan, est-ce que à Noël j'aurai le droit de commander mon papa? Est-ce qu'il va rentrer dans le sac du papa noël? Est-ce que il sera trop lourd pour les rennes? Hein, dis maman? Il pourra quand même voler le traîneau? » Pearl ouvrit de grands yeux, se figeant malgré elle, comme si tous ses muscles avaient décidé de se contracter sous l'effet de surprise... et de gêne. À son tour d'essayer de changer les idées de Emma. Elle n'avait certainement pas envie de l'embêter avec des histoires d'adulte ou de briser ses rêves de commande pour noël... pourtant, il faudrait qu'elle comprenne qu'elle ne pouvait pas inscrire "mon papa" sur sa liste de cadeaux... elle le lui expliquerait dans un mois, si elle n'avait pas abandonné l'idée d'ici là. « Mets ton bonnet Emma, tu vas attraper froid... » ça lui ferait bien gagner trente secondes, non? Aussi la petite fille enfila avec peine le chapeau de laine, que sa maman finit par lui installer durablement sur la tête. ça grattait, en plus. « Oh, il faut qu'on se dépêche, on va être en retard pour l'hôpital sinon. » Emma eut une mine dépitée; eh mince, elle n'avait pas oublié. Peut-être même qu'elle le lui avait rappelé malgré elle. Si ça se trouve, son papa habitait à l'hôpital. Enfin bref. Elle ne devait plus en parler. Ou le soir, peut-être, lorsqu'elle aurait l'occasion de manger un plat spécialement préparé par sa maman. Elle avait hâte. C'était certainement son moment préféré de la journée.
Et sinon, moi c'est JUNE, j'ai en réalité 19 ans et j'ai connu le forum par moi-même. Ceci est mon énième compte. Mon petit mot de la fin? love, love me do, you know I love you .
Dernière édition par Emma B. Davenport le Jeu 7 Nov - 18:30, édité 11 fois
Invité
Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Ven 1 Nov - 19:28
QUE TOU ES MIGNONNE TOUA. rebienvenue, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec cette petite dame
Invité
Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Ven 1 Nov - 19:43
Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Dim 3 Nov - 22:14
Elle est vraiment trop trop chou cette petite (quelle bouille d'ange ) Rebienvenue chez toi mon Mimi d'amour ! Ta fiche est magnifique ("Elle était non seulement une warrior, mais en plus elle avait une licorne." les licornes roxxent tout ouesh !! même que c'est l'emblème de ma ville et tout !) Gros poutouuuuuux d'amour
Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Jeu 7 Nov - 18:44
Oh My Gad j'adoooooooooooooooooooore
félicitations, ta fiche est validée!
Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO, ou même DEMANDER UN LIEN AVEC UN SCENARIO déjà existant. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre évènement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. En revanche, si tu es curieux, n'hésite pas à lire LA RUBRIQUE DE TARA, notre chère journaliste locale se fera un plaisir te tenir au courant. Une dernière chose, viens poster ton FORMSPRING et poser des questions à tout va pour encore plus de fun! Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Nous te conseillons vivement, pour une intégration très efficace, de faire une DEMANDE DE TOPIC. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!
Invité
Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world. Dim 10 Nov - 14:17
Avec un peu de retard : rebienvenuuuuuuuue
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Sujet: Re: EMMA BRIDGET ► imagination encircles the world.
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rebienvenue, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec cette petite dame 
j'ai déjà hâte d'écrire ma fichette et de RPotter avec toi sous ce compte 
même que c'est l'emblème de ma ville et tout !) 
si ma maman passe par là et veut 