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 Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier !

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MessageSujet: Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier !   Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier ! EmptyVen 30 Aoû - 15:09

Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.

Je m'appelle Louka. Enfin, je crois. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas entendu mon prénom que je parviens encore à douter de son existence. Je ne sais même pas dire si cette hésitation est normal ou pas. Depuis quand suis-je étendu sur ce foutu lit ? 1 ans ? 2 ans ? J'ai l'impression que cela fait une éternité. Je suis là. Je veux dire, je n'entends absolument rien, je ne peux pas parler, ni bouger mais je suis là. Prisonnier de mon propre corps. Ouais je suis d'accord, c'est une situation.. très casse couille. Je suis même pas sur d'en avoir encore d'ailleurs. Je ne sais même pas ce que je fou là. Je suis peut-être une madeleine, sans jambes sans bras, juste un corps et une tête. Je dois avoir une gueule terrible. Du genre : faire peur aux enfants et donner des crises cardiaques aux mémés. Le pire dans tout ça, c'est que les jours se ressemblent tous. Il n'y a pas d'amélioration. Je navigue dans un espèce de brouillard merdique et je suis incapable d'en sortir. J'ai beau essayer de forcer le passage, la douane n'a pas l'air d'avoir très envie de me céder le passage. Fait chier. Je n'ai pas l'impression de dormir non plus. En faite, je suis une conscience. Une âme sans port d'attache. Sauf qu'une âme peut bouger dans tous les sens comme dans les films d'horreur. La mienne, reste planté dans son navire d'origine. Enfin navire, dans son épave d'origine plutôt. Je ne sais plus trop ce que je suis censé faire maintenant. Attendre ou me prendre une claque en pleine tronche à chaque fois que mes efforts ne mènent à rien ? Je ne suis pas du genre à abandonner mais cette fois, je lève le drapeau blanc. Ouais, je suis résigné à mon sort. Je ne suis pas un lâche mais il faut bien s'avouer vaincu de temps en temps. Louka n'existait plus, il ne restait que moi. Et je ne savais même pas ce que j'étais. Louka n'est qu'un inconnu dorénavant. J'ai oublié mon âge, mon nom de famille, ma profession, la sensation du soleil sur ma peau, de la fraicheur de la nuit dans mes draps, la joie, la douleur, la tristesse... Tout ceci ne signifie plus rien pour moi. Ce ne sont que des mots. J'ai oublié tout ce que j'étais autrefois. Je ne suis plus Louka. Je ne suis personne en réalité. Soudain un bruit strident me fit grincer des dents - si on imagine que j'ai encore des dents - qui me donna envie de me boucher les oreilles - MAIS T'A PAS D'OREILLES !!! - J'étais incapable de reconnaître le son. Et puis un pop retentit. Un pop comme quand on retire le bouchon d'une bouteille de champagne. Et je ressentis soudain le besoin d'ouvrir les yeux. Alors c'est ce que je fis. La forte lumière m'obligea à cligner des paupières plusieurs fois avant d'être capable de voir. Et lorsque ce fut le cas, je contemplais un plafond peu familier. En vérité, je ne savais franchement pas où j'étais. Mais pas du tout. Mon corps me fit soudain mal, très mal. Un gémissement de douleur m'échappa. J'ouvris la bouche pour parler mais ma gorge était sèche, trop sèche. Un son aiguë se fit entendre et je peinais à comprendre que je ne parvenais même pas à articuler un mot. Et je me rendis compte de ce que je venais de faire. Putain, j'étais enfin réveillé !


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MessageSujet: Re: Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier !   Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier ! EmptyDim 8 Sep - 15:05

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Et voilà je me retrouvais assise dans cette chambre d'hôpital sur le rebord de la fenêtre un flacon de vernis à ongle à la main. À vrai dire, je ne savais pas pourquoi je venais enfin si je le savais mais c'était tellement déprimant de se la jouer monologue. Mais bon c'est pas comme ci ça allait m'arrêter. Je soufflais sur mes ongles alors que j'avais jeté un œil à Louka, pas de changement, j'avais beau le vouloir plus que tout ça ne fonctionnait pas. En temps normal, j'aurais pu dessiné sur son visage avec un marker, lui faire prendre des positions totalement loufoques ou voir même lui mettre du vernis seulement voilà si c'était pour ne pas qu'il s'en rende compte je n'en voyais pas l'intérêt. _ Tu sais Louka, je pense vraiment venir un jour avec un pot de peinture. Franchement, comment on peut un jour venir se planter devant ces mûrs et choisir cette couleur. On dirait un mélange de vomi avec une pointe de moisissure... J'avais fait une moue avant de faire une grimace. _ Ah moins que ce soit vraiment de la moisissure. _ Enfin bref, je pensais laisser un mur blanc, c'est deux là je verrais bien un bleu azur et pour le dernier un jaune très pâle. J'avais accompagné les gestes à mes paroles digne d'une véritable hôtesse de l'air avant de finalement me relever en m'approchant du lit de Louka. Qui j'étais pour lui et qui il était pour moi ? C'était une bonne question, à vrai dire, c'était celui qui me connaissait le mieux en quelque sorte. Le frère que je n'avais jamais eu, le confident mais aussi l'emmerdeur de première et parfois même moralisateur. Ma main passait dans ses cheveux, je ne savais pas si il finirait par se réveiller mais je ne pouvais me résoudre à ne plus venir à son chevet. Mon sourire avait disparu comme à chaque fois que je m’apprêtais à le laisser pour la énième fois. C'était plus fort que moi j'avais besoin de lui et je voulais qu'il me revienne. _ Je dois y aller j'ai un rencard, c'est plutôt une bonne excuse pour te fausser compagnie. J'avais fait un léger sourire cependant alors que je m’apprêtais à déposer mes lèvres sur ma joue, un cri franc et clair avait franchi mes lèvres. _ Nom de dieu de bordel de... Je mettais redressée à la vitesse de l'éclair alors que Louka venait de bouger les paupières, j'avais plisser les yeux qu'il ne finisse par ouvrir les yeux. Ma main était venu se poser sur ma bouche avant que je n'essaie d'attraper la sonnette pour que quelqu'un radine ses fesses dans la seconde. J'avais failli tomber sur Louka en attrapant ce fichu bouton mais faut dire que mes mains tremblaient, je ne voulais pas qu'il ferme à nouveau les yeux. _ Tu ne fermes pas les yeux Louka, restes avec moi. J'avais posé ma main dans la sienne alors que je pestais légèrement contre les infirmières qui en mettaient du temps juste pour traverser un couloir. Bon sans doute que c'était de ma faute car au début j'appuyais sur ce fichu bouton dès que j'avais une simple question à leur poser. Un soupir de soulagement avait franchi mes lèvres, tout allait s'arranger à présent enfin fallait le dire vite. Ah enfin !!! J'avais simplement fait un signe de la main pour leur montrer le visage de Louka et plus particulièrement le fait qu'il est ouvert les yeux. J'avais froncé les sourcils en entendant un son sortir de sa bouche, j'espérais qu'il allait bien enfin dans la mesure du possible après un accident et des années de coma. On m'avait fait reculer puis sortir de la pièce, surement qu'ils avaient des examens à faire en réalité j'en savais rien. La communication n'était pas leur point fort et c'était très difficile à encaisser pour une pipelette comme moi. Je bouillonnais dans le couloir quand la porte s'ouvrit de nouveau, je pouvais aller le voir et je m'étais pas faite prier. _ Salut la belle au bois dormant... Un sourire sur mes lèvres, j'étais vraiment heureuse de le voir poser son regard sur moi.
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MessageSujet: Re: Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier !   Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier ! EmptyDim 8 Sep - 17:37

Le soleil s’est levé et la réalité s’est installée.

On dit que la mort fait mal. Mais revivre après des années de légumitivité fut bien plus dur que perdre connaissance. J'avais l'impression d'avoir était piétiné par un troupeau d'éléphants, roulé dessus par un semi-remorque lancé à 90 et découpé en petits morceaux par le plus grand psychopathe de tout les temps. Et tout ça en même temps. Je ne parvenais même pas à savoir qu'elle partie de mon corps me faisait le plus mal. Je n'étais qu'un gros bloc de courbatures et de brûlures. Frankestein le retour. Lorsque je parvins à garder les yeux ouverts plus de deux minutes, j'eus à peine le temps de voir des cheveux bruns-roux passer avant qu'un armadas de blouse blanche ne débarque autour de moi. On me posa des questions auxquels je fus incapable de répondre, on me balança une lumière agressive dans les yeux, on testa des réflexes que je ne possédais plus depuis longtemps. J'avais juste envie qu'on me foute la paix. Que tous ses visages inconnus disparaissent vite et bien. On me força a boire à l'aide d'une paille et je faillis m'étouffer. Putain, même ma glote était en grêve ! On retenta l'expérience et cette fois ci je fus capable d'avaler sans cracher le liquide sur le visage de l'infirmière. « Monsieur Macleod comment vous sentez-vous ? » me demanda une femme blonde entrain de vérifier mes constantes. Sur le moment, l'envie de lui balancer mon poing en pleine gueule se fit sentir. Non mais c'était quoi cette putain de question ?! Est-ce qu'elle m'avait bien regardé ? J'étais incapable de prononcer un son, incapable d'avaler sans baver, incapable de savoir ce que je foutais là, ni pourquoi et elle me demandait encore si j'allais bien ? Est-ce que j'avais franchement l'air d'aller bien ? Peut-être que j'étais devenu paranoïaque et que finalement je ne ressemblais pas à la petite fille de l'exorciste. Peut-être que j'avais juste piqué un petit somme de 10 minutes. « Je.. J'en sais trop rien.. » déclarais-je d'une voix d'outre tombe en balayant la pièce des yeux. J'avais la voix de Dark Vador, comme si j'avais fumer une cartouche complète de clopes en une soirée. Très sexy ! Pas de doute pensais-je en analysant la pièce dans laquelle je me trouvais. J'étais bel et bien à l'hôpital. Je croisais le regard d'un médecin. Il m'analysait de la tête au pied et curieusement il n'avait pas l'air ravie ravie de me voir. Je fronçais les sourcils puis j'arrêtais d'y réfléchir. Il ne faisait que son métier après tout. Qu'est-ce que j'aurais bien put faire pour l'énerver ? Je venais à peine de faire mon come-back. On ne peut pas énerver quelqu'un lorsqu'on est dans le coma pas vrai ? Parce que oui, je me doutais bien que j'étais là depuis un moment. Le simple fait que mes cheveux soient aussi long en était la preuve. Jamais je n'aurais put me laisser une touffe à la polnaref sans réagir. Ma tête fourmillait de milliers de questions. J'avais beau savoir que j'avais eut un trèèèès long sommeil, je ne savais franchement pas comment ceci avait put se produire. J'avais beau me triturer les méninges, une sorte de gros trou noir avait prit forme à la place de la dite information. « Comment vous appelez-vous ? » demanda le médecin bizarre en s'approchant lentement de moi. Il dut lire l'interrogation dans mes yeux car il reprit lentement, en détachant chaque mots. Comme si j'étais un débile quoi. « Ce sont des vérifications. Nous avons besoin de connaître votre état d'esprit. Nous avons besoin que vous répondiez aux questions. Soyez honnête et si vous ne vous souvenez pas, ne paniquez pas. L'amnésie est un symptôme très connu chez les personnes qui se réveillent après un long coma. D'autant plus lorsqu'ils ont soufflèrent de dommages tels que vous.» J'aquiescai mollement de la tête, essayant de remettre mes idées en place. « Je m'appelle Louka Gael Macleod. J'ai 27 ans. Je suis né en Irlande mais je ne me souviens plus dans quelle ville. J'ai une sœur qui s'appelle Pandora et qui habite Winnipeg. Je suis venu la rejoindre. J'étais.. avec.. quelqu'un il me semble mais je ne sais pas qui c'est. Je ne me souviens pas de son visage. Je sais que j'ai participé à une sorte de mariage, baptême, j'en sais trop rien. Je suis partie.. quelque part, c'est flou.. » murmurais-je en me massant les tempes. J'avais un mal de crâne carabiné. « une île, quelque chose dans ce goût là. Je suis dans un restaurant et puis.. et puis... » Et puis c'est la panne. Je ne savais plus. Je ne parvenais plus à continuer mon récit. Je faisais un blocage. Le médecin posa sa main sur mon épaule et me fit un sourire rassurant. « Ne vous inquiétez pas. Votre cerveau se protège de votre accident, des souvenirs désagréables, il vous empêche en quelque sorte de souffrir davantage. Vos souvenirs vont revenir au fur et a mesure. Soyez patient. A présent, reposez-vous. Nous repasserons dans quelque heures. » Et comme ça, d'un seul, tout le monde s'en alla. Alors je fermais les yeux. Je n'avais pas franchement envie de dormir. Selon moi, j'avais suffisamment prit de repos. Alors que je prenais mon temps, essayant de reprendre le fil de mon histoire et de me rappeler ce qui c'était passé, je sentis une présence dans la chambre. J'ouvris les yeux et croisais le regard d'une jeune fille au visage peu familier. « Salut la belle au bois dormant » déclara-t-elle d'une voix douce, un grand sourire ravie sur les lèvres. Elle semblait jeune, mais il était indéniable qu'elle était belle. J'essayais de retrouver son prénom, quelque chose la concernant. N'importe quoi.. Je fronçais les sourcils mais après quelque minutes d'intense réflexion rien ne vint. « Salut .. Euh.. On.. Est-ce que.. Est-ce qu'on se connaît ? »


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MessageSujet: Re: Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier !   Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier ! EmptyDim 8 Sep - 19:09

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Si j'avais eu des fusils à la place des yeux, ce médecin de malheur serait mort avant même d'avoir franchi le pas de la porte de la chambre de Louka. Il n'avait aucune honte à ce pointer devant lui sans même avoir le moindre remords sur ce qu'il lui avait fait. Enfin pour être plus précise pour ce qu'il avait fait à la femme de Louka. Un jour où je venais rendre visite à Louka, je les avais vu collé l'un à l'autre dans cette même chambre. Je dois avouer que j'avais vu rouge et que je l'avais traité de tous les noms d'oiseaux possible et inimaginable. Bien évidemment, Alienor m'avait prié de me calmer et il s'en était suivi une sorte de confidence ou d'explication à vrai dire j'étais tellement outrée que je n'avais pas suivi plus du quart de la conversation. Quelque part, les années étaient passées et elle avait fini par reprendre le cours de sa vie cependant moi je n'avais jamais baissé les bras. Cependant, je ne vivais pas avec lui, je l'aimais c'était vrai mais pas du même amour. Je mettais avancer pour rentrer à mon tour dans la chambre faisant au passage un léger croche pied au médecin. Quoi ? Je pouvais pas le voir avec son petit air " c'est moi que v'là " c'était pas de ma faute et puis j'étais pas obligé de l'apprécier après tout ce n'était pas moi qui partageait son lit. Je ne savais pas ce que j'allais bien pouvoir lui dire, la vérité ? Oui c'était la seule chose qui me restait à faire... Qui j'étais moi ? Alors il avait perdu la mémoire seulement je ne savais pas à quel point. Hum voyons une amie, sa meilleure amie... _ Je suis Primerose... Mon regard avait détourné au même moment sur sa table de chevet où était posé son alliance. J'avais ouvert de grands yeux tout ronds avant de faire une grimace_ Ta femme. NONNNNN !!!! Mais qu'est-ce qui m'avait pris sérieusement. Je n'étais pas sa femme et j'étais même loin de l'être. Je serrais le barreau du lit de toutes mes forces avec un peu de chance j'étais juste entrain de rêver et j'allais finir par me réveiller. Je venais tout juste de me pincer secrètement mais apparemment non c'était bien réel et ces mots avaient bien franchi mes lèvres. IDIOTE !! _ Euh enfin c'est un peu compliqué mais le principal c'est que tu sois revenu parmi nous. Je mettais rapproché de lui alors que je reprenais place sur une des chaises qui se trouvait non loin du lit. _ Je vais te poser une question bête mais tu te sens comment ? Je ne savais pas bien ce qu'il pouvait ressentir à ce moment précis et je n'avais pas eu le droit d'avoir un compte rendu du médecin. Cela m'aurait étonné en même temps. Je me maudissais mentalement en réfléchissant à un moyen de me sortir du guêpier dans lequel je mettais fourré. J'avais trouvé que ça me faire passer pour sa femme à vrai dire je n'avais pas eu le courage de lui avouer que sa femme s'était remis avec un autre homme et son médecin de surcroît. Galère !! Pourquoi ces choses là n'arrivaient qu'à moi à croire que je cherchais les ennuis, le pire serait qu'à cause de ça je perde Louka au final. Une moue contrariée était apparu malgré moi sur mon visage avant que je ne pose de nouveau mon regard sur lui. _ Tu m'as manqué. Un sourire s'était dessiné sur mes lèvres voilà la vérité vraie et j'étais vraiment contente de revoir ce regard se poser sur moi. _ Enfin trop de sentimentalité. Un rire s'était élevé dans la chambre avant que je me morde légèrement la lèvre inférieure. _ Tu vas bientôt pouvoir sortir de cet endroit et ça c'est une bonne nouvelle la meilleure de la journée assurément. J'avais posé ma main sur la sienne avant de lever légèrement les épaules, peut être que je parlais un peu trop mais ceux qui me connaissait en avait l'habitude seulement voilà Louka ne semblait pas se rappeler de moi. Quelque part, ça me brisait le coeur mais après tout c'était tout à fait logique avec autant de temps passé dans le coma. J'avais enlevé presqu'aussitôt ma main avant de la faire légèrement glisser sur mon jeans. _ Tu as besoin de quelque chose ?
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MessageSujet: Re: Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier !   Je peux vous dire que Johnny Hallyday au Stade de France, à côté c’est un Playmobil dans un évier ! EmptyJeu 24 Oct - 20:34

Je suis impardonnable. Pardon pardon pardon ! Je te fais ça le plus vite possible redheart
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