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 Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)

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MessageSujet: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyMer 3 Juil - 15:23

QUAND J’ÉTAIS SUR LA ROUTE...
Enfin un jour de repos après une semaine vraiment éprouvante, entre les horaires au bar et la grosse fête qui avait été organisée dans leur maison, Aaron n'avait pas franchement eu le temps de souffler. Il ne s'en plaignait pas, il aimait vivre la vie à 2000 à l'heure, profiter de chaque instant, s'amuser et ne rien regretter, mais il est vrai que son corps commençait à lui dire de ralentir un peu. Du coup, aujourd'hui, il allait partir se promener, tout seul, histoire de se vider la tête. L'ambiance à la maison était toujours tendue entre lui et Sean suite à l'arrivée de Jona, et la jalousie injustifiée de son frère commençait à peser énormément sur les épaules de l'aîné des deux. Alors pour se détendre, Aaron avait pris rendez-vous au spa de l'hôtel Gentle. Se faire tripoter, il ne pouvait rêver mieux aujourd'hui.

Il attrapa ses affaires et se mit au volant de son bolide, musique à tue-tête, il se sentait libre. Libre d'aller où il voulait, libre de faire ce qu'il lui semblait, libre d'agir comme il l'entendait, libre de ne penser qu'à lui. Il attrapa un joint qu'il avait laissé dans son sac et chercha un briquet dans sa poche. En relevant la tête, il l'aperçut cette jeune fille à quelques mètres en train de traverser la route, écouteurs sur les oreilles. Elle ne regardait même pas la route, non, elle avançait tête baissée en chantonnant, ses longs cheveux bruns volant lègèrement avec le vent. Il appuya alors à toute vitesse sur la pédale de freins et ferma les yeux de peur d'assister au pire des drames. La voiture s'arrêta finalement à quelques centimètres de la jeune fille, paniquée.  C'est là qu'il la reconnut.

"Putain Penny, j'aurais pu t'écraser, regarde un peu devant toi !!!"
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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyMer 3 Juil - 18:24


aaron & penny
J’étais censée être en repos aujourd’hui, j’avais pris une bonne journée pour être installé tranquillement dans mon canapé et dormir ou entrain de faire le point sur ces derniers mois. Malheureusement pour moi, ce n’était pas ça le programme de la journée, un de mes auteurs voulaient absolument me voir pour renégocier quelque chose et ça ne pouvait pas attendre. Il me donnait rendez-vous en début d’après-midi. Et j’étais présente bien sûr.  Normalement, j’étais censée me changer les idées, faire le point avec moi-même. Je m’étais surchargée de travail depuis des mois et depuis que je vis avec ma petite sœur, je n’ai pas vraiment de moment toute seule, où je peux vraiment me poser. En même temps, ces derniers mois, ce n’est pas ce que je voulais, être seule avec moi-même, ça me faisait bien trop peur. Je dois être présente pour ma petite soeur, elle est tellement mal avec toute cette histoire de mensonge et d’adoption. J’étais autant overbooké pour éviter de tomber dans le cercle vicieux de la fête, comme avant bien que de temps en temps j’aime bien être fêtarde mais aussi pour ne pas penser à mon histoire passé. Mon auteur s’énervait de temps en temps, j’essayais de garder mon sourire commercial. Après une bonne heure de discussion assez intense, il avait le sourire aux lèvres. Super, j’avais gagné. Je pouvais enfin repartir chez moi. Je payais pour nos cafés et on se dit au revoir en se serrant la main et tous les deux confiants, notre collaboration ne pouvait que mieux se passer. Je fais le chemin en sens inverse, je mets à nouveau mes écouteurs dans mes oreilles, la musique, c’est indispensable pour moi. Je marchais en faisant attention à ne pas me prendre quelqu’un. Je mimais certaines paroles de la chanson que j’écoutais et je venais pour regagner mon domicile. Je relevais la tête instant pour regarder si je pouvais traverser sur le passage prévu à cet effet, je pensais avoir le temps alors je m’engageais, tête baissée quand j’entendis un gros bruit de frein. Je relevais instinctivement la tête et je me reculais aussitôt tout en fermant les yeux. Mon sang n’a fait qu’un tour, j’ai tellement eu peur, j’enlève mes écouteurs et pendant quelques secondes, je suis incapable de réagir, je ne peux même plus bouger. Le conducteur et moi, on est vraiment face à face et je reconnais Aaron. Non, c’est pas possible. Ce n’est vraiment pas une bonne journée. « Putain Penny, j'aurais pu t'écraser, regarde un peu devant toi !!! » non mais sérieusement, c’était de ma faute. Je sentais que ça m’énervait déjà. Je le regardais avec un œil mauvais voir même noir. Je croisais les bras, restant toujours dans son passage en disant un peu énervé. « C’est toi qui devrait regarder où tu roules, pauvre type ! » j’avais bien envie de mettre un coup de pied dans sa voiture par la mauvaiseté mais je ne sais pas laquelle des deux auraient le plus mal. Je continuais de le regarder en ajoutant « T’es complètement malade Aaron ! Vraiment ! » oui, j’en rajoutais un peu mais en même temps, il m’a fait une belle frayeur et comme on ne peut pas dire qu’on est particulièrement amis..

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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyMer 3 Juil - 20:57

QUAND J’ÉTAIS SUR LA ROUTE...
Il était à la fois sous le choc de ce qui aurait pu se produire et amusé par la colère dans laquelle s'était mise le belle Penny. Après l'avoir traité de "malade" comme une furie devant son capot, elle restait plantée là sur la route. Aaron esquissa un petit sourire amusé et relâcha l'embrayage une seconde pour faire avancer la voiture de quelques centimètres... de quoi faire rager encore plus la jeune femme. Il prenait goût à mettre les femmes en colère, à les rendre folle de rage, il trouvait ça plutôt sexy d'ailleurs une femme en colère. Et en général, ça ne manquait pas, quelque soit la manière qu'il choisissait pour les énerver. Il faut dire qu'elles étaient faciles à irriter, il fallait bien l'admettre.

Il enfonçait encore plus le couteau dans la plaie en la provocant :
"Arrête chérie de faire semblant, tout le monde le sait que tu craques pour moi." Il avait pris un air sérieux qui aurait berné n'importe qui. C'était toujours tout l'un ou tout l'autre avec lui, soit les filles craquaient pour sa nonchalance et son côté provoc', soit elles le détestaient. En ce qui concernait Penny, malheureusement, la balance avait l'air de pencher du mauvais côté. Son regard noir en disait long sur les sentiments qu'elle éprouvait à l'égard de l'aîné des McCauley.

Une fois qu'elle s'était écartée de la voie et avait regagné le trottoir, il avança la voiture à sa hauteur et continua son petit jeu tout à fait malsain mais si plaisant pour lui :
"Allez Pennie, viens, monte, on va aller se rouler un joint quelque part puis on fera l'amour dans les bois." Il riait désormais, bien entendu, il plaisantait et il savait déjà pour sûr que la demoiselle refuserait avec véhémence sa proposition. Il insista d'une voix douce et d'un ton plein de pitié... "Allez... S'il te plait, fais moi confiance, on va passer une bonne après-midi, rien d'illégal pour une fois... Monte !".

Il n'était pas bien sûr d'avoir été très convaincant, mais après tout, un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal pour la journée, il avait dit "repos et relaxation", alors une après-midi au spa, qui la refuserait ? Elle avait bien besoin de se détendre elle aussi visiblement vu l'état de nerfs dans lequel il l'avait mise après tout. Il enleva le sac qu'il avait posé sur le siège passager et le jeta à l'arrière sous le regard de la brune à qui il fit signe de s'installer maintenant qu'il avait libéré l'espace pour qu'elle s'asseye.
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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyMer 3 Juil - 22:34


aaron & penny

J'étais encore très énervé, ce n'était pas le moment de me chercher. Aaron avait failli m'écraser, à vrai dire, je n'arrivais pas à voir si ça lui faisait quelque chose, j'avais envie de démolir sa caisse avant de m'en aller, cela aurait été mon cadeau avant de partir. Il avait vraiment le don de m'énerver, rien que sa présence m'énervait un peu. Il me rappelait tout ce que j'avais vécu et mon ancienne meilleure amie en quelques sortes, mais il fallait que j'avoue que cette ville ne me manquait pas du tout, enfin quelquefois, j'adore ma stabilité et ma tranquillité. « Arrête chérie de faire semblant, tout le monde le sait que tu craques pour moi. » je levais les yeux au ciel. Il croyait vraiment que c'était le bon moment pour plaisanter, j'ai quand même failli finir sous ces roues. Des excuses, non, ce n'est pas possible ? Je n'ai pas pu retenir un petit rire nerveux. Moi ? Craquer pour lui est-ce qu'il m'a seulement bien regardé. Je le regardais avec des yeux totalement innocent, les yeux qu'ont les filles naïves et qui seraient capables d'avaler n'importe quoi. « Oh vraiment ?! Si c'est aussi bien d'être avec toi, je veux bien être ta copine ! Alors, c'est quand, que tu m'invites au restaurant ou que tu me montres le plafond de ta chambre ? » De l'ironie dans ma voix, forcément. Je le regardais avec un petit sourire provocant avant d'ajouter presque aussitôt « Ton égo va s'en remettre voyons, je ne serais pas la première à te dire non ! » je continuais de lever les yeux en finissant de traverser la rue, c'est ce que je voulais faire à la base. Ce n'est pas possible, je voulais que cette journée se finisse et très vite, je ne sais pas si mes nerfs allaient tenir. J'allais remettre mes écouteurs quand la voiture -qui allait m'écraser- roulait à mes pas, je soupirais longuement en regardant le chauffeur.Il voulait aussi m'écraser sur le trottoir maintenant ? Je continuais de marcher en espérant qu'il me laisserait tranquille mais à la place il m'invitait à aller fumer un joint et d'aller faire l'amour dans les bois. Je le regardais à nouveau en levant les yeux. Pourquoi il s'acharnait comme ça ? Je décidais de prendre ça à nouveau avec l'ironie. « C'est vraiment un bon programme ! Allez, emmène-moi dans le bois ! » je m'approchais légèrement de la route en faisant bien attention à mes pieds bien entendu. C'était pratique quand même d'aller voir les deux. « Mais avant qu'on y aille roule moi dessus avec ta voiture ! » un petit sourire angélique et je battais des cils, je crois que la réponse était claire. Je ne sais pas vraiment ce qu'il cherchait. Ça me donnait envie de lui coller une et je ne sais pas, aujourd'hui, je n'étais pas vraiment d'humeur. Je ne sais pas s'il allait me laisser tranquille après ça. Il revient ensuite à la charge en me proposant un après-midi. Là, je dois avouer que ça me dépassait un peu. « Ca y est, tu n'es plus dans un comportement primitif ? Qu'est-ce que tu me proposes ? » Demandais-je en le regardant qu'il débarrassait le siège passager et j'étais hésitante, ma curiosité me poussait à y aller mais d'un autre côté, je le détestais, pourquoi je passerais un après-midi avec quelqu'un que je n'aime pas sérieusement. Enfin, je ne le déteste pas vraiment, c'était vraiment une mauvaise image que j'avais de lui et puis je n'avais pas grand-chose à faire. Je soupirais à nouveau et ouvrit la portière pour m'asseoir à côté de lui. Je me retournais vers lui en disant « Je te préviens si tu comptes me kidnapper et me mettre des menottes dans ton appartement, dans ta caravane enfin peut importe où tu vas, ma petite sœur appellera la police ! » je m'attachais ensuite tout en regardant la route ensuite.

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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptySam 13 Juil - 21:42

QUAND J’ÉTAIS SUR LA ROUTE...
Après l'avoir remis à sa place, Penny avait finalement accepté de monter dans la voiture sans vraiment savoir ce qu'Aaron avait en tête. C'était intéressant de voir l'effet que pouvait produire Aaron. On pourrait presque dire que les gens adoraient le détester. C'était comme un jeu pour lui, il s'amusait de ça en permanence quitte à jouer avec le feu.

"Et bien, j'ai failli attendre", la taquina-t'il avant de faire gronder le moteur et de démarrer en trombe pour effrayer la jeune femme. Il esquissait un petit sourire sournois avant finalement de conduire plus tranquillement, la main droite sur le volant et la gauche passée à l'extérieure de la voiture, dans le vide... le coude posé sur la fenêtre grande ouverte.

Il faisait un temps magnifique et les deux jeunes gens avançaient au fil des rues de Winnipeg, cheveux aux vents. Certains habitants les regardaient passer et ne cachèrent pas leur surprise en voyant ces deux-là ensemble, tel un petit couple qui partait en weekend. Il fallait environ vingt minutes pour se rendre jusqu'au spa et le McCauley se ferait un plaisir de cacher à sa passagère leur destination. Il avait envie de la faire stresser un peu jusqu'au dernier moment. "Ouvre la boite à gants s'il te plait." Il savait que ce qu'elle y trouverait ne lui plairait pas du tout et il avait envie de l'entendre râler. A l'intérieur, des dizaines de préservatifs, aromatisés, lubrifiés, il y en avait pour tous les goûts. Il en gardait toujours dans la voiture, ça pouvait être utile, avec son boulot au bar, il rencontrait pas mal de filles et c'était essentiel d'être équipé. "Je ne savais pas ce que t'aimais alors j'ai pris un peu de tout. Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux cette aprem." dit-il en riant.

Bien entendu, il n'était pas question de ça mais il voulait lui donner raison de le craindre. S'il lui annonçait maintenant qu'ils allaient aller se détendre dans un spa, elle gagnait. Plus de stress, plus d'adrénaline, et ça, c'était hors de question. Etre seule avec un McCauley, c'était vivre dangeuresement et même si la jolie brune ne l'avouerait pas, c'était l'amour du risque qui l'avait conduite dans cette voiture.
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Dernière édition par Aaron C. McCauley le Mer 17 Juil - 18:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyLun 15 Juil - 22:48


aaron & penny

Des fois, je me détestais, je savais qu'être curieuse courrait réellement à ma perte. J'étais dans la voiture d'Aaron et j'attendais qu'il démarre, sagement tout en croisant les bras, j'appréhendais quand même la suite du programme, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre avec lui. Je le détestais, enfin, sa manière d'être, mais ça m'attire quand même, j'aimais jouer avec le danger avant et cela a failli courir à ma perte. Quand il me dit qu'il avait failli attendre, mon premier réflexe a été de le regarder avec un oeil noir puis j'ai levé simplement les yeux au ciel. « Et encore, tu as de la chance, j'aurais pu être plus lente que ça ! » Le moteur grondait et à ce moment, je ne savais pas m'attendre. Il démarra en trombe, je fus un peu déstabilisée, oui, j'ai eu un peu peur, je ne m'y attendais pas, il était complètement malade. Lui, ça le faisait sourire, il était amusé par le fait est qu'il vient de me faire une belle frayeur. Je le regardais en soupirant « T'es un grand malade, tu le sais ça ? » il devait le savoir, je n'arrêtais pas de lui dire. Il ralentit ensuite pour mon plus grand bonheur, tout ce que je voulais, c'est qu'il se concentre sur la route. Je me concentrais ensuite sur la route, posant mon coude également sur la portière, je me concentrais sur la route. J'essayais de me détendre, mais pour être franche, je n'y arrivais pas, je ne sais pas du tout ce qu'Aaron me réservait et ça me rendait un peu nerveuse. J'avais accepté sur un coup de tête, pour lui montrer que je n'avais absolument pas peur de lui. Je voulais aussi me faire une idée précise, même si pour l'instant, je voulais lui sauter au cou. Il me faisait trop penser à ce que j'étais avant et comment était mon ex quelque part, même si Aaron me traitait largement mieux que lui, même s'il ne cherche vraiment qu'à me faire sortir de mes gonds et le pire, c'est que ça marche à merveille. Il avait ce don pour me faire monter en flèche. Il me demandait ensuite d'ouvrir la boite à gants. Je le regardais un instant, bon s'il le voulait, j'allais être bête et docile, j'ouvris la boite a gant et je trouvais des préservatifs, pas mal de préservatifs différents, je le regardais en arquant un sourcil. Qu'est-ce qu'il cherchait ? « Et ça devrait m'étonner ? » Je ne doutais pas qu'il passe de conquêtes en conquêtes. Il m'énervait déjà et il devait déjà bien le sentir. J'étais encore plus méfiante après ses paroles, non mais sérieusement, pourquoi j'ai accepté cette petite virée en voiture. Je croisais à nouveau les bras en disant « Tu crois vraiment que tu peux m'avoir comme ça ? Tu m'insultes vraiment là.. » je lève les yeux et je regarde ensuite par la vitre quelques instants, j'avoue que là, ça me faisait un peu flipper, mais plutôt mourir que de lui dire, je ne voulais pas être ce genre de fille, peureuse. J'ajoutais quelques instants après ma première phrase. « Si tu penses vraiment qu'on va s'envoyer en l'air, fais-moi descendre maintenant ! Gare-toi là ! » J'attendais ensuite sa réaction, il était hors de questions. Je ne cédais pas aussi facilement, malheureusement pour le beau barman.

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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyJeu 18 Juil - 9:01

QUAND J’ÉTAIS SUR LA ROUTE...
Comme prévu, Penny s'énervait à l'idée qu'Aaron veuille coucher avec elle, ce qui ravissait le beau blond qui réussissait parfaitement son coup. Bien entendu qu'il ne serait pas contre cte idée si elle en demandait mais c'était surtout de la voir s'agacer qui le satisfaisait. Bon, quand même, le fait qu'elle préférait sortir de la voiture plutôt que de coucher avec lui ne lui faisait pas plaisir, orgueilleux comme il était. C'est vrai, d'habitude, les filles se battaient pour venir à l'arrière de sa caisse faire des folies. Du coup, il pila, ce qui surpris sa passagère. Ils avaient maintenant quitté la ville et on ne voyait que des champs à perte de vue.

"Si je suis si repoussant et insupportable pour toi Penny, pourquoi es-tu montée dans cette putain de voiture ?! Tu veux descendre, vas-y. Je pensais que tu étais quelqu'un de suffisamment réfléchie pour faire la part des choses et ne pas coller d'étiquettes trop vite aux gens mais j'ai du me tromper sur ton compte, alors je t'en prie, sors."

La jeune fille l'avait piqué au vif et avait touché un point sensible, elle avait fait sortir le lion qui était en lui. C'était ça le problème d'Aaron, il était quelque peu lunatique, il jouait avec le feu et quand il se brûlait, ça le rendait fou. Il avait cherché à pousser à bout Penny, et maintenant, il ne supportait pas le revers de la médaille. Il avait tout fait pour qu'elle pense de lui ce que tout le monde disait, pour qu'elle ne voit de lui que ce côté fêtard, pervers et manipulateur, mais pourtant il la blâmait maintenant pour ça.

La voiture était toujours à l'arrêt sur le bas-côté, et Aaron ne la regardait même plus, il avait tourné la tête vers la route, les yeux dans le vide. Sa colère était maintenant retombée et il se sentait débile de s'être ridiculisé de cette façon, mais il n'allait certainement pas s'excuser, à ça non. Elle l'insultait, il n'allait pas en plus ramper devant elle. Jamais il ne s'écraserait devant une fille, c'était clair. Il espérait qu'elle dirait quelque chose pour que les deux jeunes gens puissent oublier cet instant et reprendre la route, qu'elle mettrait un terme à ce malaise et que plus jamais ils n'en reparleraient. Aaron n'aimait pas qu'on voit ses faiblesses, il voulait qu'on ne voit de lui que ce qui l'arrangeait, qu'on le redoute, Il reprit le dessus et enchaîna d'un ton sec :

"Bon, ça y est, ta crise est passée ? Parce qu'on va finir par être en retard au final." Il savait qu'elle n'allait pas apprécier qu'il rejette la faute sur elle, mais il le faisait quand même pour reprendre le contrôle, pour avoir toutes les cartes en mains.
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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyDim 21 Juil - 14:23


aaron & penny

J’avais eu un petit coup de sang, je voulais descendre de cette voiture, je ne sais pas pour qui il me prenait, mais il avait dû se tromper de personne. Ce n’était pas une bonne idée, je venais de jouer avec le feu, je venais de me bruler. Je montrais une grande assurance et une grande détermination à lui dire non, je croisais les bras et je croyais vraiment qu’il allait me ramener en route, mais non à la place il se mit à piler soudainement. C’était vraiment bizarre, je le regardais surprise, je ne m’attendais pas du tout à ça, c’est vrai. Il commençait à s’énerver lui aussi et là, c’était le comble du comble, c’était de ma faute en plus. Il avait tout fait pour me pousser à bout et là, c’était moi qui prenais tout. Je soupirais doucement pendant son petit discours. Je sentais mon sang ne faire qu’un tour et je sais que je pouvais descendre si ça continuait, ça ne me dérangeait pas de marcher quelques kilomètres à pied. Aucun souci, par les nerfs, j’en étais capable. Je le regardais quand même avec un œil noir. « J’y crois pas, c’est de ma faute ? C’est toi depuis tout à l’heure qui me montre seulement cette facette-là et maintenant que je me refuse à toi, ton égo est blessé et tu m’engueules, c’est moi qui ne suis pas assez réfléchie ? Remets-toi un peu en question, ça ne te ferait pas de mal ! » J'étais ce genre de fille discrète, mais quand on me cherchait, on me trouvait rapidement, je n'avais pas ma langue dans ma poche et je m'emportais facilement. Il ne fallait pas me faire chauffer. De longues minutes de silence et la voiture était toujours à l'arrêt, je ne savais pas quoi faire, descendre ou continuer. Je ne le regardais pas, je regardais par la fenêtre côté passager, les champs c'était vraiment cool et je redescendais très vite en pression. Enfaites, c'était un peu de ma faute, je n'aurais pas dû accepter dès le départ, je ne sais pas trop ce qu'il m'a pris, mais je n'allais pas lui dire, c'est lui qui s'arrangeait pour m'énerver, me faire sortir de mes gonds et c'était à moi de m'excuser, m'a-t-il seulement bien vu ? Je ne voulais plus parler, au risque d'aggraver encore plus la situation. A ce moment-là, je voulais rentrer chez moi. C'était tendu entre nous, ce n'était pas la peine d'en rajouter. Je posais ensuite mon coude sur la portière en attendant qu'il redémarre, le visage fermé. Aaron me demandait si ma crise était finie et qu'on allait être en retard, franchement, il est très drôle comme mec, il rejetait tout sur moi, bah tiens, je ne suis pas la seule à être monté sur mes grands chevaux. Je ne le regardais pas et dit ensuite avec un ton relativement froid. « Genre, c’est que ma faute ? C’est la meilleure de l’année celle-là ! Va-y roule ! » Des fois, je ferais mieux de me le fermer, mais je n’y arrive pas, surtout quand on me donne une mauvaise impression. La fin de ma phrase me frappait ensuite, mais on allait où ? Il se réengageait ensuite et moi, je le regardais en disant avec un ton un peu plus neutre que précédemment « Mais on va où ? » Il voulait encore de moi alors qu’on venait de se disputer, je ne le comprenais vraiment pas, voulait-il que je change d’avis sur lui ? Je ne sais pas.

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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyDim 28 Juil - 20:48

QUAND J’ÉTAIS SUR LA ROUTE...
Il continuait à rouler comme si de rien était, il s'était enfin ressaisi et avait monté le volume de la radio qui passait la chanson du moment... "Impossible" de James Arthur. Aaron n'était pas quelqu'un de très fleur bleue et encore moins chansons d'amour à deux balles mais il faut avouer que celle-ci lui donnait quelques frissons... Il en venait même à fredonner sans s'en rendre compte sous le regard surpris de Penny. Ils n'allaient plus trop tarder à arriver sur les lieux de la surprise et il ne pouvait s'empêcher d'esquisser un petit sourire. L'idée d'une Penny seulement vêtue d'une serviette l'enchantait plutôt, et surtout il espérait qu'elle serait tout de même rassurée et contente du programme qu'il leur avait concocté. Il avait grandement besoin de se détendre et vu la vitesse à laquelle la demoiselle s'énervait, c'était clairement son cas également.

A proximité de l'hôtel, Aaron ralentit et s'arrêta au niveau du service des voituriers. Il se doutait que l'endroit effraierait sa passagère, qu'elle s'imaginerait le pire et qu'elle refuserait même sûrement d'entrer mais il comptait bien user de sa force de persuasion pour qu'elle lui laisse une chance. "N'aies pas peur, promis je ne nous ai pas réservé de chambre... Avance, fais moi confiance." Ces mots-là, il était sûr qu'elle ne les avalerait pas et que la confiance n'était pas de mise entre eux mais pourtant, c'était mal connaitre le McCauley. Autant il faisait tout un tas de connerie, autant il respectait toujours sa parole. Spécialement des promesses. Mais après tout, Penny et lui ne se connaissaient pas vraiment, ou plutôt ils savaient de l'autre les points à attaquer pour l'énerver, ils savaient ce qui les énervaient chez l'autre mais ne s'étaient jamais vraiment chercher d'atômes crochus. En avaient-ils réellement au final ?

A peine dans le hall de l'hôtel, l'entrée du spa se dressait sur la droite. Sobre, élégant et classe, cet hôtel offraient de nombreux services auxquels Aaron se livreraient bien, que ce soit le salon de massage, le spa, la salle de sports... Il attrapa Penny par la main et la tint fermement pour pas qu'elle ne s'échappe, et la conduisit doucement vers le lieu du rendez-vous. La jeune femme à l'entrée vérifia le nom du jeune homme et les laisse entrer. "Tu vois, il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. On va se détendre un peu, je pense que ça te fera du bien, et à moi aussi. Enfin, si tu veux que ce soit moi qui te masse, y'a aucun soucis." ajouta-t'il en riant. "J'ai des doigts de fée parait-il, elles en raffolent toutes." termina-t'il avec un clin d'oeil.
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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyLun 2 Sep - 21:17


aaron & penny

On roulait mais ce n’était pas dans la joie ni la bonne humeur. C’est mon côté aventureuse qui m’avait poussé à monter dans cette voiture et bon dieu, je le maudissais à ce moment précis, cette dispute n’aurait pas eu lieu et je ne serais pas énervée. Quelle idée sérieusement. J’avais les bras toujours croisés en signe de protection et je ne lui adressais pas un regard. Dans le coin de l’œil, je vis sa main montait le son sur Impossible de James Arthur, chanson que j’adorais. Elle me faisait penser un peu à mon ex, alors forcément, je ne l’écoutais pas souvent mais la voix de James prenait le pas sur tout le reste et c’était plutôt un plaisir de l’écouter. Je lançais un regard furtif à Aaron et je vis qu’il frissonnait sans doute dû à la chanson, sans que je ne le veuille mes yeux s’arrondirent tel une soucoupe, je ne pensais pas ça de lui, il était vraiment plein de surprise. Il n’avait pas répondit à ma question, je ne le comprenais vraiment pas. Pourquoi il se la jouait mystérieux ? Il avait le don de m’énerver comme il avait le don de me surprendre, au final, j’étais un peu bizarre, on ne monte pas avec quelqu’un qu’on n’apprécie pas. Je n’avais même pas de raisons pour pouvoir au-delà de ce qu’il montrait, je ne sais même pas ce que je cherchais à voir en lui. Je sais que cette dispute était en partie de ma faute, je m’emporte facilement et à chaque fois il a les atouts pour me provoquer. On arrivait près de l’hôtel et je sentis que ça remontait à nouveau en moi. Je ne disais rien pourtant, je ne voulais pas parler tellement j’étais énervé. Au pire s’il avait réservé une chambre, je le planterais là, tout simplement. Les voituriers ouvraient notre porte, je n’affichais pas une mine ravie tandis qu’ils avaient le grand sourire. Aaron se mit à parler pour la première fois en m’assurant qu’il n’avait pas réservé de chambre et que je ne devais pas avoir peur. Une réplique cinglante voulait sortir mais j’allais m’abstenir pour une fois, éviter de remettre de l’huile sur le feu, c’était pas mal aussi. De toute façon, j’étais là alors autant avancer. J’avais toujours les bras croisés et je le suivais sans dire un mot, voir s’il avait une parole. Lorsqu’on entrait dans l’hôtel, j’ai eu un regard comme si j’allais m’enfuir, Aaron l’a tout de suite vu et il m’a pris la main, il me serrait fort et je ne pouvais pas partir, pourquoi il tenait vraiment à ce que je reste. Il me conduisit ensuite au spa de l’hôtel, j’étais étonné et un peu bête à ce moment-là, je dois l’avouer. Mon visage se détendait un peu, j'étais un peu moins crispé et je ne savais pas du tout quoi dire. Une jeune femme vint nous accueillir, puis elle nous laissa entrer une fois qu’elle avait vérifié le registre. Ça me faisait bizarre d’être là avec Aaron. Il avait plutôt bien commencé sa phrase, c’est vrai, je lui devais des excuses mais la fin me fit lever les yeux en l’air tout simplement. Sérieusement ? « Je vais me passer de tes doigts de fée, garde les pour tes prochaines conquêtes ! » ce n’était pas trop cinglant, ça allait, je croisais mes mains entre elle en disant ensuite tout en le regardant dans les yeux « Mais je dois m’excuser, t’avais raison, je n’avais pas de raisons d’avoir peur et je ne vais pas te laisser payer pour moi, tu me diras combien je te dois à la fin, je ne veux pas abuser de toi ! » je lui fis un léger sourire, le premier de la journée, on nous donna les serviettes et on allait ensuite se changer, forcément, Aaron dut m’attendre un petit peu, je rassemblais mes affaires dans une de mes mains tout en tenant ma serviette pour ne pas qu’elle glisse, c’était un peu ce que j’appréhendais le plus. « Alors, c’est quoi le programme de ton après-midi détente ? »

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MessageSujet: Re: Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson)   Quand j'étais sur la route toute la sainte journée (ft Penny Wilson) EmptyLun 9 Sep - 16:05

QUAND J’ÉTAIS SUR LA ROUTE...
Finalement, l'après-midi allait peut-être enfin pouvoir prendre une tournure plus positive, Penny s'était calmée, bien qu'elle continuait de vouloir jouer la fille qui ne voulait avoir de compte à rendre à personne. Lorsqu'elle insista pour le rembourser, Aaron ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. Bien sûr, il était un vrai goujat qui prenait les femmes pour des objets mais pas au point de leur réclamer de l'argent. La constance de Penny à insister lui prouvait qu'elle n'était pas indifférente à sa personne, sinon elle n'aurait pas cette tendance à vouloir montrer qu'elle est indépendante, elle s'en ficherait.

Aaron fila se préparer pour la première partie de cette journée au spa... Il enroula la serviette autour de sa taille et attendit la brune quelques minutes. Il avait hâte de s'allonger et de fermer les yeux, de profiter du savoir-faire et des mains agiles des masseuses pour se relaxer et décompresser. Une fois sortie, les deux ompères avancèrent vers les tables de massages de ce coin privatif qu'Aaron avait réservé et la jeune femme l'interrogea sur la suite des festivités. "Tu verras bien, profite !" dit-il en s'allongeant. Il était à présent échoué tel une baleine sur la plage, amorphe, immbile, une masse qu'on ne pourrait jamais déplacé, il se sentait lourd et prêt à sombrer dans un univers parallèle, celui du bien être et de la légèreté, de la sérénité. Il tourna la tête vers Penny et lui sourit timidement. Ils étaient là tous les deux, à moitié nus, mais pourtant comme deux inconnus dans un même espace clos. La situation aurait pu être génante pour certains mais Aaron n'avait pas franchement d'à priori, des filles nues il en avait vu un paquet, et Penny n'en faisait pas partie, mais de toute façon, il n'était pas question de ça aujourd'hui, il avait envie de simplicité entre deux personnes qui apprennent à se connaitre.

"Ca va aller ?" lui lança-t'il avant de fermer les yeux. Le massage venait de commencer et il sentait les mains de la spécialiste sur son dos. Après un bon moment, elle lui demanda de se retourner et de s'allonger sur le ventre. Mauvaise idée, du moins, ce n'était pas vraiment le moment idéal s'il ne voulait pas s'infliger une honte monumentale devant Penny. La serviette ne cacherait pas le mouvement. "Euh, non non, on va attendre un peu si vous voulez bien...". Les deux masseuses éclatèrent de rire et il entendit l'une d'elle glisser à la brune que son petit ami était excité. "Je ne suis pas son petit ami' s'exclama-t'il outré qu'on lui inflige une telle humiliation, "et merci, maintenant clairement je n'ai plus rien à cacher." Il s'allongea sur le dos et les filles rièrent de plus belle. "Allez-y, moquez-vous, c'est la nature, je ne peux rien y faire. Vous voyez, c'est pour ça, c'est tellement plus facile d'être une femme, vous n'êtes pas confrontées à ce genre de problèmes techniques !" Il plaisantait désormais et riait à son tour. Après tout, voilà qui allait complètement détendre l'atmosphère désormais.
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