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 Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude

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MessageSujet: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyJeu 26 Sep - 16:14


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. ▬Autumn n’était pas une demoiselle qui croyait fort en l’amour et qui ne vivait que pour ça, oh non, elle savait se montrer indépendante, d’ailleurs cela se retrouvait bel et bien dans son métier, métier pour lequel elle avait eu un réel coup de cœur même si ses parents l’auraient plus vue dans qulque chose de plus calme, genre secrétaire ou bien alors bibliothécaire, seulement, elle s’était refusée de rester sur la facilité, et sur quelque chose de trop basic, non elle avait placé la barre haute et elle avait réussi, et haut la main, la preuve qu’avec de la volonté, on pouvait vraiment tout réussir. D’ailleurs, la blondinette était à son bureau, lorsqu’elle avait reçu un coup de téléphone d’un client plus qu’exigent, qui ne cessait de la harceler, alors qu’elle lui avait présenté un grand nombre de maisons, et s’il y en avait eu qui lui avait tapée dans l’œil, il était hors de question qu’elle dise oui, vu qu’il s’agissait de sa maison, qu’elle partageait avec son colocataire chéri. Et elle ne comptait pas du tout la lui laisser et encore moins l’accepter dans sa demeure. Elle était heureuse de sa maison, et avait mis longtemps avant de trouver ce petit bijou, et s’ils avaient vécu au départ à quatre, le fait de ne plus être qu’à deux, lui convenait tout à fait. Décrochant le combiné, Autumn essaya de ne pas perdre patience « Oui mr Feldram. Oui… oui, je sais très bien ce que vous voulez, mais la réponse est la même, elle n’est pas à vendre. Peu importe ce que vous pourrez offrir, vous avez les moyens pour une maison tout autre, alors non, il est hors de question que je vous vende la maison que j’habite. Je me tiens à votre entière disposition pour visiter d’autres maisons, surtout que j’en ai une qui devrait vous convenir, piscine, un peu comme celle que vous adorez. Très bien, je vous dis à bientôt. Au revoir, et bonne journée. » Raccrochant, elle ne put s’empêcher de pester « Non, ça veut dire non, abruti quoi…. ». Ce n’était pas du tout son genre d’agir de la sorte mais honnêtement elle en avait marre de se battre contre cet homme alors qu’elle lui expliquait par a+b que c’était impossible. Se levant de sa chaise, elle se posta à la fenêtre en réfléchissant et en regardant l’heure. Etant sa propre patronne, elle pouvait débaucher à l’heure qui lui plaisait et elle ne prenait pas ce luxe tous les jours. Mais là, la conversation l’avait fatiguée et éprouvée. Prenant ses affaires, elle se dépêcha de prévenir sa secrétaire et partit, direction chez elle, en s’arrêtant au passage prendre quelques petites courses au passage, entre tequila et cookies, autant dire que c’étaient deux choses diamétralement opposées, mais peu importait. Arrivant devant chez eux, elle se dépêcha de rentrer et à peine avait-elle ouvert la porte qu’elle avait fait part de sa présence « Jude, je suis rentrée…. ». Et comme elle n’avait pas obtenu de réponses, elle renchérit « chéri, planque ta maitresse, sinon je la fous dehors…. ». Certes, elle plaisantait avec lui, mais lui donner ce petit nom lui faisait quelque chose, parce que si elle se taisait, elle ressentait bel et bien quelque chose pour lui, même si elle se refusait bien de le lui avouer, peut-être par fierté. N’ayant pas de réponses, elle commençait à se poser des questions, et s’il était avec quelqu’un ? La jalousie s’emparait d’elle. Posant les courses achetées, elle se dépêcha de se rendre dans la chambre de Jude où la musique jouait et comme la porte était entrouverte, elle osa y jeter un coup d’œil et ne put que rire en poussant la porte. « Dans le cap ou pas cap de se ridiculiser en dansant, tu l’emportes haut la main…. ». Et voilà que leur jeu favori était relancé et c’était ce qu’il lui fallait, surtout après cet énième coup de téléphone professionnel. « en tout cas, bonsoir beau gosse. ».
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyJeu 26 Sep - 19:01


 
Autumn and Jude





Cap ou pas cap.  ▬ Jude était arrivé il y’a seulement 4 ans mais il se plaisait déjà dans cette petite ville. De nationalité Américaine, il avait réussi à obtenir un visa afin de pouvoir faire ses études et continuer à travailler au Canada. Plus rien ne le retenait aux Etats-Unis, sa famille ayant décidé de ne plus lui adresser la parole après avoir choisi une voix dont ils n’étaient pas fier. Cependant, le père de Jude avait toujours tenu à lui payer ses études. Jude avait simplement accepté en voyant l’insistance de ses parents et sa sœur qui en rajoutait toujours un peu plus mais secrètement il avait tout mis de côté pour utiliser l’argent que sa grand-mère lui avait légué à sa mort. Il préférait utiliser cet argent car sa grand-mère lui avait toujours dis de suivre son cœur et que s’il le souhaitait, il serait toujours le bienvenu en Irlande, malgré que son père ne soit pas du même avis. Il avait toujours refusé de fonder une famille en Irlande, il disait toujours qu’il était né aux Etats-Unis, certes pendant les vacances de ses parents, mais qu’il resterait donc Américain. Il avait alors rencontré une Américaine et avait trié à un trait sur son ancienne vie, ne donnant alors plus du tout de signes de vies à sa famille Irlandaise. Jude, au contraire, adorait passer ses vacances là-bas et profiter de ses grands-parents qui commençaient à se faire de plus en plus vieux. Ses parents ne voyaient pas d’un bon œil qu’il y passe toutes ses vacances mais préférait l’envoyer en Europe que de le laisser traîner dans leur patte. Libéré de tout ce stress, Jude vivait pleinement sa petite vie. Il avait une petite fortune mais n’était pas trop dépensier, il était assez économe tout en se faisait bien plaisir.  Une fois ses études terminées, le jeune homme avait tout de suite trouvé une place d’infirmier et secouriste à ses heures perdues. C’était un métier qui ressemblait plus à une vocation et il aimait être là pour les gens. Aujourd’hui était une journée assez calme pour la saison, aucuns petits bobos, pas même un chat. Seule une sortie avait été effectuée depuis la prise de son service ce matin à 4h. Il était venu remplacer un collègue au pied levé alors qu’il avait deux jours de repos devant lui. Mais sa bonne âme avait pris le dessus et il avait tout de suite accepté. Il eut la chance de pouvoir partir sur les coups de 15 heures. Personne en vue, son chef avait insisté pour qu’il prenne le repos qui lui était mérité. Il rattraperait sa journée mais pas dans la semaine. Il haussa les épaules, et accepta de ne pas la rattraper tout de suite. Il se fichait d’être payé en plus, une journée de repos était plus acceptable pour le jeune homme qui ne manquait de rien. « Hey Jude ! Je ne t’ai pas vu de la journée ! Ou étais-tu ? » Jude se retourna lorsqu’il vit Amber s’approcher de lui. C’était l’une de ses collègues qu’il n’appréciait pas vraiment. Une petite blonde, qui pensait qu’elle pouvait se mettre tous les hommes dans la poche, malheureusement, Jude n’était pas ce genre d’homme et son cœur semblait déjà être pris par une autre personne. « Amber ! Désolé, je suis pressé mais on essaie de trouver 5 minutes plus tard ! » Il se mit à dos à elle, prêt à partir et lui lança un en revoir de la main sans grand intérêt. Elle n’avait toujours pas compris que rien ne se passerait avec lui et qu’il n’était pas du tout intéressé par cette dernière. Il leva les yeux au ciel, fatigué que cette fille essaie de le draguer. Arrivé dans son humble demeure, le jeune homme plaça sa veste sur le porte manteau positionné dans le hall d’entrée avant de se rendre dans sa chambre. La fatigue s’était un peu emparée de lui et il décida de s’allonger un peu. Il s’empara de la petite boule de poil qui avait grimpé sur son lit et la positionna sur son ventre. Dès son arrivée, le jeune homme avait trouvé cette colocation. D’abord à quatre, ils s’étaient rapidement retrouvés à deux, seul lui et Autumn était restés et ils ne semblaient pas vouloir partir. Bien au contraire, il était ravi de continuer cette colocation avec la jeune femme et ils s’amusaient assez bien tous les deux. Bien évidemment, depuis il semblait qu’il était tombé sous le charme de la jeune femme mais jamais il ne se l’avouerait. Leur cap ou pas cap était devenu un rituel et rien ne pouvait les empêcher de jouer un peu les gamins. Après une petite heure de sieste, le jeune homme alluma sa chaine hifi et se mit à danser sur une musique assez spéciale. Ce n’était pas trop son genre mais pour se réveiller il avait décidé que la chanson ferait l’affaire. Heureusement que sa jolie colocataire n’était pas là pour le voir se défouler ! « Jude, je suis rentrée…. » il n’entendit pas cette voix familière rentrer et continuait alors de danser. « chéri, planque ta maitresse, sinon je la fous dehors…. » bien que ce ne soit pas son type de musique, le jeune homme trouvait réellement cette musique entrainante. « Dans le cap ou pas cap de se ridiculiser en dansant, tu l’emportes haut la main…. » Dans un élan, il se stoppa net et vit la jeune femme se fiche de lui. Il rigola à son tour. Il n’avait pas honte et la tête haute il répondit à cet affront « Un point de plus sur le tableau alors ! Je te prends au mot ! » Il prit son stylo et rajouta un point sur le tableau qu’il avait instauré pour voir lequel des deux aurait le plus de point à la fin du mois et finirait pas inviter l’autre soit au restaurant, soit au cinéma, ou alors à un match de basket ou toutes autres activités sympathiques à faire en ville. « en tout cas, bonsoir beau gosse. » Il sourit à la jeune femme et  la gratifia d’un clin d’œil. Il adorait ce surnom. « Bonsoir beauté ! » il lui fit un bisous sur la joue. « Tu oses me relancer sur le cap ou pas cap ? » il se tourna vers le tableau et continua « Je veux bien, tu es un peu à la traine et ce n’est pas fairplay… alors Cap ou pas cap d'aller ouvrir au facteur en sous-vêtements demain matin ? » il fit un clin d’œil à la jeune femme. GAME ON !






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyJeu 26 Sep - 23:19


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. ▬ Autumn avait grandi dans cette ville, connaissait le moindre recoin ainsi qu’un grand nombre des habitants. Et si cela pouvait être un réel avantage, il n’en demeurait pas moins qu’elle avait du lutter contre les idées toutes faites à son propos, parce que tout le monde restait surement sur la petite fille et la jeune femme qu’elle avait été. Certes, elle demeurait toujours la même, toujours attachée à ses parents, mais elle avait su montrer à ceux qui l’avaient critiquée et jugée comme étant incapable d’évoluer. D’accord, elle avait quitté la ville momentanément pour suivre des cours, mais étant revenue, elle avait su monter sa propre agence en ayant une réputation qui avait su se créer. La jeune femme n’avait rien à faire des ragots, quand elle voyait toutes les pimbêches qui s’étaient moquée d’elle durant leur adolescence travaillaient dans des supermarchés, où elle se rendait de temps en temps, non pas pour leur montrer qu’elle avait connu une ascension fulgurante, mais elle ne leur prêtait pas attention, malgré les quelques courbettes qui lui étaient faites. La blonde les avait renvoyées sur les roses, parce qu’elle n’oublierait jamais, et puis elle avait d’autres choses qui lui trottaient en tête, tout comme par exemple le fait de faire tourner son agence. Celle-ci marchait très bien, mais il y avait aussi tout ce qui concernait la jeune femme de plus près et donc le domaine privé. Elle habitait depuis un bon moment déjà avec Jude, avec qui elle se sentait à l’aise mais avec lequel un jeu s’était installé entre eux deux, cap ou pas cap, et cela en devenait affolant. Certes, elle n’avait pas l’habitude d’avoir ce genre de choses avec un autre homme, et ni ses ex n’avaient eu le privilège de passer autant de temps à rire, à plaisanter et à faire tant de choses ensemble. Grr qu’est ce qu’elle détestait penser ainsi, surtout quand elle devait résoudre des soucis professionnels, surtout avec des personnes qui étaient de plus en plus exigeantes, et surtout très chiantes, soit dit en passant, même si elle se passait bien d’exprimer ses pensées à voix haute. Après tout, elle se devait de se montrer souriante, courtoise. Mais après un énième coup de fil, elle avait décidé de rentrer chez eux, dans la maison qu’ils partageaient. Etre à deux était très bien, mieux qu’à quatre. Ils étaient plus tranquilles, plus d’espaces et s’entendaient super bien au point où certains voisins arrivaient à se demander s’ils n’étaient pas un couple. Et ben non pourtant n’en déplaise à tout ceux là. Et après quelques courses rapides, elle avait franchi le seuil de leur maison, et si elle avait essayé de lui faire comprendre qu’elle était rentrée, rien ne laissait présager qu’il l’avait entendue. D’ailleurs, elle était en train de se demander s’il était là, pourtant sa voiture était dans l’allée, ce qui confirmait qu’il était là, à moins qu’un de ses collègues ne l’aient conduit. D’accord, il était infirmier, mais bon, il lui arrivait toutefois d’avoir des horaires qui entraient dans la normalité. Et à vrai dire, elle espérait qu’il soit à la maison parce qu’elle avait de rire, de se comporter comme une gamine, à rire, à le chercher et au pire, finir blottie contre lui devant un bon film, comme tout ami qui se respectait. Oui c’était le programme parfait et idéal. Mais elle l’avait retrouvé en train de danser ce qui était assez comique, et elle venait du coup de relancer leur jeu. « Un point de plus sur le tableau alors ! Je te prends au mot ! » . Bon sang, et voilà qu’elle venait de se faire prendre au piège et il gagnait un point, vu que Jude s’était empressé d’inscrire sur le tableau ce qu’elle venait de dire. Elle venait de lever les yeux au ciel, en murmurant « un jour, ma gentillesse me perdra, c’est certain… ». Et elle n’osa pas jeter un coup d’œil aux points qui s’alignaient, même si elle aurait du, vu l’enjeu de la chose. De toute manière, peu importait qui gagnerait ou qui perdrait, ils passeraient un moment agréable en la compagnie de l’autre, alors c’était vraiment que du positif. Et voilà qu’elle lui avait enfin dit bonsoir, d’une manière singulière, « Bonsoir beauté ! » , mais qui lui était propre. Et il avait su répondre de la même manière, en venant ajouter un baiser qui lui fit chaud au cœur. Et avant qu’elle n’ait eu le temps de rétorquer quoique ce soit, voilà qu’il enchérissait . « Tu oses me relancer sur le cap ou pas cap ? Je veux bien, tu es un peu à la traine et ce n’est pas fairplay… alors Cap ou pas cap d'aller ouvrir au facteur en sous-vêtements demain matin ? » . Et voilà, la soirée allait se résumer à ça, à un jeu entre eux deux. Ce n’était pas du tout pour lui déplaire, bien au contraire, vu que c’était toujours amusant, mais ce que lui avait lancé le brun la mettait quelque peu dans l’embarras, vu qu’elle avait une réputation et que le facteur faisait exprès de sonner pour la voir. Enfin, si Jude savait qu’il la draguait, il n’aurait peut-être pas ajouté ça, ce qui était dit était dit et il n’y avait pas de possible machine arrière. « Qui te dit que je ne le fais pas exprès, pour t’avoir rien que pour moi ? hum, alors, je te dis Cap sans nul doute, tenue qui va lui plaire et qui est tout à fait possible si je passe la nuit dans des bras musclés qui me font rêver et me font voyager au-delà des cimes de l’univers… ». Oui, elle poussait le bouchon un peu loin, mais c’était trop tentant. S’approchant de lui, elle vint lui glisser à l’oreille « j’aurais été bien garce si e te lançais le cap ou pas cap d’être cet homme, alors je vais me contenter de cap ou pas cap de passer la soirée torse nu, en plaçant le mot mouflette au moins 5 fois ? ». Complètement stupide, mais ce mot lui trottait en tête, et c’était le surnom qu’elle avait donné à son client bien pénible, autant dire qu’elle risquait encore plus de rire…
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyVen 27 Sep - 16:58


 
Autumn and Jude





Cap ou pas cap.  ▬ Jude ne connaissait cette ville que depuis quatre ans mais s’y sentait dorénavant chez lui. Il aurait pu manquer New-York, les Etats-Unis, mais son nouveau pays était bel et bien le Canada pour lequel il s’était pris de passion. Il avait d’abord voulu y aller pour ses études mais s’était très vite rendu compte que ce pays serait sa terre d’accueil et qu’il aurait une toute autre vie ici. Il avait encore tant de choses à voir et à faire qu’il ne savait parfois pas par quoi commencer. Il avait tout de suite trouvé refuge dans une maison aussi grande que celle dans laquelle il passait ses vacances en Irlande ou celle située dans les Hampton et avait trouvé de nouveaux amis, une nouvelle famille. On ne pouvait bien évidemment pas remplacer sa vraie famille mais lorsque les deux autres colocataires avaient décidés de partir, laissant simplement Autumn et lui, il s’était rapproché de la jeune femme et n’avait vraiment plus envie de la quitter. C’était une très bonne amie avec qui il ne se passait jamais un moment où ils ne riaient pas tous les deux. Il était très satisfait de sa vie ici et depuis maintenant un an, il exerçait le métier qu’il avait toujours eu envie de faire. Cela pouvait paraître banal pour beaucoup de monde, lui qui avait toujours eu de l’argent, une situation aisée grâce à ses parents et qui aurait pu finir dans l’agence de son père, mais il avait préféré ne pas suivre ce chemin tout tracé pour faire ce qu’il avait envie. Resté prisonnier d’une vie qu’il ne voulait ne l’intéressait pas et il savait pertinemment que sa sœur s’en chargerait à sa place. Il aimait être sur le terrain, sauvé des vies, pouvoir aider des patients, c’était son quotidien et il n’avait pas une minute sans qu’il soit ravi de faire ce qu’il faisait. Il ne regrettait absolument rien et n’était d’ailleurs pas le genre d’homme à vivre avec de quelconques regrets. Sa grand-mère, lui avait toujours dis qu’il fallait avancer grâce aux erreurs que l’on commettait et qu’il ne fallait donc jamais regarder en arrière où une seule fois regretter son geste. Bien évidemment, lorsqu’il était plus jeune, il n’avait eu envie de croire les propos de sa grand-mère mais plus il avançait plus il se rendait compte qu’elle avait été un soutien important et que ses conseils ne seraient jamais inutiles. Il avait toujours aimait sa grand-mère, il avait essayé de passer chaque vacance en Irlande afin de passer le plus de temps possible avec ses grands-parents. Contrairement à son père, il n’avait jamais renié ses origines Irlandaises et il voulait les garder précieusement. Maintenant que ses parents étaient décédés, le jeune homme préférait rester au Canada. Une fois posé dans sa chambre, le jeune homme n’entendit pas sa belle colocataire rentrer. Il était bien trop occupé à danser afin de rester éveillé pour entendre la jeune femme se faufiler un peu plus à l’étage. Ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait rentrer avant la jeune femme et pouvoir faire des choses en secret, comme aujourd’hui danser, mais il semblerait que la jeune femme arrivait toujours au bon moment puisqu’il avait été pris la main dans le sac. « un jour, ma gentillesse me perdra, c’est certain… » il leva les yeux au ciel avant de mettre le point sur le tableau. Ce mois-ci c’était le jeune homme qui menait le jeu et il en était très fier. « Gentillesse ? » il fit mine de ne pas comprendre avant de rajouter « Qui a osé te dire que tu étais gentille ? » il fit un clin d’œil à la jeune femme. Il adorait la titiller et lorsqu’elle était chez eux, il ne pouvait qu’apprécier sa compagnie. Beaucoup pensait qu’ils étaient ensembles, mais les apparences pouvaient être trompeuses, au plus grand dam du jeune homme qui était sous le charme de plus en plus. A peine rentrée, que le jeu recommençait de plus bel. Jude regrettait un peu de lui avoir lancé ce défi car il n’avait pas franchement envie que la jeune femme se pavane en sous-vêtements devant le facteur. Il n’avait pas eu la chance de pouvoir l’admirer dans cette tenue alors pourquoi le facteur. Il regrettait déjà son défi mais c’était le jeu ! Il relativisa dans la mesure où si elle acceptait le défi, il la verrait lui aussi en sous-vêtements. Parfait deal ! Il attendait avec impatience la réponse de la jeune femme, ne sachant pas pour le coup si elle allait accepter ou pas, car il n’avait pas choisi le plus facile pour cette fois. « Qui te dit que je ne le fais pas exprès, pour t’avoir rien que pour moi ? hum, alors, je te dis Cap sans nul doute, tenue qui va lui plaire et qui est tout à fait possible si je passe la nuit dans des bras musclés qui me font rêver et me font voyager au-delà des cimes de l’univers… » Il devait admettre qu’il était vraiment surpris de voir que la jeune femme accepte le défi mais très ravi qu’elle le fasse. Ce n’était pas tous les jours qu’il pourrait la voir dans cette tenue et elle gagnerait même plus qu’un point. « Et bien, je suis surpris de voir que tu acceptes mais pour ce défi tu ne gagneras pas un point mais deux, car les sous-vêtements c’est osé ! J’ai hâte de savoir si tu te dégonfles ou pas ! » Il n’avait pas vraiment compris le reste de ses propos mais il sentait un peu la jalousie le prendre lorsqu’il pensa aux hommes qui avaient pu l’avoir dans ses bras et plus encore. « Moi qui pensait être l’homme parfait, qui pouvait te faire rêver rien qu’avec mes beaux yeux ! Mince ! » il fit un clin d’œil à la jeune femme mais leur jeu allait surement être de plus en plus dangereux. « j’aurais été bien garce si je te lançais le cap ou pas cap d’être cet homme, alors je vais me contenter de cap ou pas cap de passer la soirée torse nu, en plaçant le mot mouflette au moins 5 fois ? » Jude arqua un sourcil, ou avait-elle bien pu pêcher ce mot-là ? Il ne savait même pas ce que c’était ! « Dans la mesure où je n’ai encore jamais refusé de défi, je vais accepter mais attention ma petite mouflette, ne perd pas la tête en voyant mon beau corps d’apollon ! » et d’une fois ! Il retira ensuite son tee shirt et le plaça sur le canapé. Il était bien décidé à lui faire perdre la tête. « La soirée va être intéressante je pense ! Alors beauté, un facile car j’ai vrament la flemme… cap ou pas cap de nous faire un bon dîner ? »






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyDim 29 Sep - 15:40


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. ▬ Autumn, ou la directrice de l’agence immobilière, qui, à 28 ans, avait su se faire un nom et une certaine réputation. Autant dire qu’à présent, plus rien n’était à refaire. Elle était passée de la jeune fille sage très proche de ses parents, à l’adolescente quelque peu rebelle qui avait voulu se faire tatouer. Bon, d’accord, c’était pour faire comme tout le monde, mais le symbole infini qu’elle avait voulu était significatif à ses parents, et c’était un moyen comme un autre de se dire qu’elle les aurait toujours avec elle, peu importait ce qui se passait ou se passerait. Etant fille unique, quelque chose de fort les reliait, une confiance et un amour indéfectible étaient présents, autant dire que cela ne cesserait pas du jour au lendemain, bien au contraire. Certes, elle n’avait pas pu le faire, mais il n’en demeurait pas moins que, malgré son départ en raison du métier qu’elle exerçait, elle était revenue et rien n’avait changé. Tout était resté à l’identique, et à défaut de revenir dans le cocon familial, elle s’était trouvée un nouveau nid, dans lequel elle se sentait à l’aise, même si elle n’y vivait pas seule. C’était une toute nouvelle expérience qui se présentait à elle, et ce n’était pas pour lui déplaire, vu que cela lui avait permis de rencontrer Jude, jeune homme tout à fait charmant mais avec lequel s’était instaurée une relation platonique, uniquement basée sur un jeu, celui du cap ou pas cap. Cela semblait leur convenir, et ils s’entendaient à merveilles, alors que demander de plus ? Rien, sinon cela serait surement trop, la blonde ne le savait que bien. Ses parents avaient longtemps essayé de lui tirer les vers du nez quant à ce qu’elle pouvait ressentir, mais en vain. La jeune femme n’avait pas envie de tout gâcher et tout revenir mettre en cause pour des choses sans intérêt qui se résumerait à une tempête et un véritable embarras, et certains gestes prendraient alors un tout autre sens, comme le fait d’être dans les bras l’un de l’autre en regardant la télé. Bref, tout ça pour dire qu’il était hors de question qu’elle n’avait pas envie de changer leur train-train habituel qui marchait à la perfection. Et voilà qu’après une journée de travail terminée plus tôt qu’à l’habitude, la blondinette était rentrée chez eux, et n’avait pu qu’avoir la surprise de découvrir son colocataire en train de danser dans sa propre chambre. Il était vrai que le brun était sur son territoire, mais bon, elle avait été taquine, une fois de plus, et le mot magique avait franchi la barrière de ses lèvres, celui qui résumait qu’ils allaient passer une nouvelle soirée à se chercher et à faire travailler leurs esprits afin de trouver des défis toujours plus fous afin de marquer des points. Et bien évidemment, c’était Jude qui empochait les premiers. Autumn était décidément trop gentille, chose sur laquelle le brun avait un avis tout à fait contraire. Gentillesse ? Qui a osé te dire que tu étais gentille ? . Croisant les bras, telle une enfant que l’on venait de gronder, elle lui lança un regard furibond C’est sur que ce n’est pas toi, mr Grincheux. Je me demande si je ne devrais pas accepter la proposition de mon client, au moins avec lui, j’aurais peut-être droit à des fleurs tous les jours et non pas des vannes en permanence. . Elle avait bien évidemment éclaté de rire en voyant sa tête. Elle ne se permettrait jamais de mettre fin à cette cohabitation alors que cela leur allait tout à fait, mais bon, à force de trop la chercher, il la trouvait, et elle avait des armes redoutables quand elle s’y mettait, il venait d’en avoir la preuve. Sauf qu’elle n’avait en rien prévu le défi suivant de l’infirmier, ce qui la laissa quelque peu pantois sans toutefois renoncer, au contraire, elle était prête à le faire, vu que c’était carrément osé. Visiblement, il fut plus que surpris de la réponse qu’elle lui avait donnée. Et bien, je suis surpris de voir que tu acceptes mais pour ce défi tu ne gagneras pas un point mais deux, car les sous-vêtements c’est osé ! J’ai hâte de savoir si tu te dégonfles ou pas ! Moi qui pensait être l’homme parfait, qui pouvait te faire rêver rien qu’avec mes beaux yeux ! Mince ! . Autumn sourit, décidément il était trop mignon quand il se comportait de la sorte, et elle vint lui caresser le bras pour tenter de le rassurer. Tu croyais vraiment que j’allais dire non ? en temps normal, je l’aurais fait, et je te préviens que si mes clients ont vent de cette histoire, je te fais manger ce tableau tout entier. Et merci de me mettre deux points, tu vas en rester baba, c’est moi qui te le dis. Jude, il me faut plus que tes beaux yeux, même s’il me font fondre quand même.. Suite à ces mots, elle se mordit la lèvre, en se rendant compte de la confession qu’elle venait de faire, ce n’était pas bon, pas bon du tout, d’ailleurs. Pour se rattraper, elle était venue l’embrasser tendrement sur la joue, avant de lui lancer un cap ou pas cap complètement fou. Mais à vrai dire, le mot mouflette était venu à son esprit, sans qu’elle n’en connaisse la véritable raison, et cela serait bien évidemment amusant de le voir galérer à le placer. Et à sa tête, elle avait su qu’elle avait fait un bon coup, au moins leur soirée n’allait pas être monotone. Dans la mesure où je n’ai encore jamais refusé de défi, je vais accepter mais attention ma petite mouflette, ne perd pas la tête en voyant mon beau corps d’apollon ! . Essayant de ne pas poser ses yeux sur son torse, elle perdit au bout de même pas dix secondes. Jude avait vraiment un corps parfait, c’était un fait irréfutable, et il fallait être dingue pour dire le contraire. Passant une main dans ses cheveux détachés, elle lui adressa un clin d’œil, en essayant de montrer que cela ne faisait rien et tenta par la même occasion de contrôler les battements de son cœur, qui s’étaient accélérés d’un coup. Bien évidemment, j’ai la tête d’une mouflette ? tu n’as pas peur de finir dehors dans cette tenue ? ce qui, je suis persuadée, va plaire à notre très chère voisine qui guette ton retour derrière sa fenêtre chaque soir. Il faudrait peut-être que tu fasses quelque chose avec elle, j’en ai marre de la voir me lancer des regards furibonds à chaque fois que je la croise. Et ne t’en fais pas pour ma tête, elle se porte très bien et restera à sa place, malgré ta tenue quelque peu parfaite.. La blonde se rendait compte qu’elle aurait très bien pu utiliser un autre qualificatif, mais ce qui était dit était dit, et elle ne pouvait pas revenir dessus. Il fallait décidément qu’elle apprenne à tenir sa langue. La soirée va être intéressante je pense ! Alors beauté, un facile car j’ai vraiment la flemme… cap ou pas cap de nous faire un bon dîner ? . Elle éclata de rire, il n’avait rien précisé du tout, et en un pas, elle attrapa le téléphone et d’un air taquin, murmura italien, japonais ? Je nous prépare un bon repas, vu que tu n’as pas précisé. Mais pour toi, je veux bien me mettre aux fourneaux, mais bien parce que c’est toi. Hum, et toi, capable ou pas capable de nous chercher une bonne bouteille de vin ?. Se dirigeant vers la cuisine, elle sut ce qu’elle allait leur préparer : des pâtes avec du poulet au curry. Plat simple mais dont ils raffolaient tous les deux. Le surveillant du coin de l’œil, elle commençait à se demander si le voir torse nu toute la soirée n’allait pas lui faire dire ou faire faire des bêtises…
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyDim 29 Sep - 22:31


 
Autumn and Jude





Cap ou pas cap.  ▬ Jude s’était trouvé un nouveau chez soi, un petit cocon depuis qu’il était arrivé chez Autumn et il ne voulait quitter cette maison pour rien au monde. Il avait trouvé le bon équilibre en arrivant dans cette demeure et en se tissant d’amitié avec la belle blonde. Il admirait le travail de la jeune femme, il la trouvait remarquable et savait qu’elle arriverait à tenir son agence comme il se devait. C’était une femme intelligente avec une force de caractère incroyable et pour ça, elle avait donc les atouts nécessaires pour être un très bon agent immobilier. Il s’était tout de suite lié d’amitié avec la jeune femme, voyant qu’ils avaient de nombreux points communs et qu’ils s’amusaient toujours très bien ensembles. Un soir, le jeune homme avait lancé à un défi à la jeune femme et le jeu du cap ou pas cap était donc resté comme si de rien n’était dans leur quotidien. Ils essayaient toujours de titiller l’autre avec des défis toujours plus fous les uns que les autres. Il avait trouvé en Autumn, une femme sur laquelle il pouvait compter, une amie, une confidente et cela lui changeait de sa famille qui avait préféré le laisser partir sans essayer de le retenir. Son père lui avait toujours dis qu’il serait un très bon PDG dans son entreprise mais Jude n’avait pas eu envie de suivre ce chemin-là. Il avait toujours essayé de plaire à son père, mais c’est sa sœur qui avait réussi à capturer le cœur de son père. C’était un petit peu le vilain petit canard de la famille, celui qui voulait en savoir plus sur ses origines Irlandaises, celui qui voulait toujours faire le contraire de ce que voulait son père. Mais il s’en fichait et bien qu’il fût blessé pendant un temps, aujourd’hui il préférait vivre sa nouvelle vie Canadienne. Il avait suivi le chemin qu’il voulait suivre sans se soucier de l’avis de ses parents et de sa sœur. Aujourd’hui sa vie n’était plus aux Etats-Unis mais bel et bien ici, dans cette petite ville et avec Autumn et le reste de ses amis. Son métier était tout ce qu’il avait et il était fier de travailler en tant que secouriste et infirmier. C’était une vocation qui avait déplu à ses parents mais qui lui plaisait à lui. Une fois la journée terminée, le jeune homme tenta d’esquiver une nouvelle fois Amber, l’interne qui lui courait après. Il ne savait pas ce qu’elle pouvait lui trouver, il refusait toujours ses avances mais elle n’avait pas l’air de comprendre et voulait encore et toujours essayer une approche. Il ne voyait pas en elle une petite amie potentielle et ne la voyait pas non plus comme une amie. C’était une sorte de bimbo qui devait coucher avec tout ce qui bouge, tout le contraire de ce qui plaisait à Jude. La femme qui lui plaisait était une toute autre personne. Certes, une blonde, mais une personne intelligente, avec qui il ne s’ennuyait jamais. Une personne comme Autumn qui semblait être le style de femme qu’appréciait le jeune secouriste. Il voyait en Autumn la petite amie idéale, ils s’entendaient bien, ne se disputaient jamais, elle était toujours pleine de vie et avait la joie de vivre tout le temps. Même lorsqu’elle était malade, et qu’il essayait de prendre un peu soin d’elle, elle avait toujours le sens de l’humour. C’était la femme idéale finalement. Une fois dans sa chambre, le jeune homme se posa sur son lit avant de mettre la musique à fond et d’être surpris par sa colocataire. C’est sur que ce n’est pas toi, mr Grincheux. Je me demande si je ne devrais pas accepter la proposition de mon client, au moins avec lui, j’aurais peut-être droit à des fleurs tous les jours et non pas des vannes en permanence. Il leva les yeux au ciel, il n’était pas grincheux, non mais. Il arqua un sourcil ne comprenant pas trop à quoi elle pouvait faire allusion. Mais en grand curieux qu’il était, il n’allait pas en rester là. « D’abord, je ne suis pas grincheux, mademoiselle contrôle freak ! Et de quelle proposition parles-tu ? Hum avec des fleurs tous les jours, tu t’ennuierais je te le garantie, et je te manquerai » Au fond de lui il était un peu jaloux, il ne comprenait pas cette histoire mais il ne voyait pas de ça d’un très bon œil. Il fit une petite moue un peu déçu mais se montra de nouveau joyeux très rapidement. Elle venait alors d’éclater de rire et le jeune homme comprit qu’elle s’était une nouvelle fois payé sa tête ! « Encore une fois, je me suis fait avoir comme un bleu !! Tu me le payeras Autumn, ne t’inquiètes pas ! » Il lui fit un clin d’œil. Les défis étaient de nouveau remis sur le tapis et Jude était prêt à jouer un petit peu avec la jeune femme. Il prenait toujours un grand plaisir à la mettre au défi et à essayer de la déstabiliser au maximum. Il était joueur, et elle aussi, et chacun y mettait toujours du sien pour mettre la barre le plus haut possible. Tu croyais vraiment que j’allais dire non ? en temps normal, je l’aurais fait, et je te préviens que si mes clients ont vent de cette histoire, je te fais manger ce tableau tout entier. Et merci de me mettre deux points, tu vas en rester baba, c’est moi qui te le dis. Jude, il me faut plus que tes beaux yeux, même s’il me font fondre quand même… Il haussa les épaules, il savait très bien qu’elle aurait relevé le défi mais il est vrai qu’il avait tout de même eu quelque doutes sachant qu’elle devait y aller en sous-vêtements. Elle ne devait de toute manière pas avoir de complexes car la jeune femme était vraiment bien faite et qu’elle en ferait pâlir de jalousie leur voisine espionne. J’ai eu quelques doutes effectivement, mais avec ton corps, tu ne risquais pas de décliner l’invitation à te montrer en petite tenue devant le facteur ! Et j’en profiterai aussi par la même occasion tiens ! » Il fit un clin d’œil à la jeune femme avant de continuer « Promis je ne dirais rien, croix de bois, croix de fer si je mens je vais en enfer ! » Il éclata de rire, il n’avait pas sorti cette phrase depuis qu’il était petit mais la jeune femme lui avait tout de même tendu une perche. « Mes yeux te remercies » il fit un clin d’œil à la jeune femme sachant très bien où elle voulait en venir. Ils se cherchaient, leur relation devenait de plus en plus ambiguë mais Jude n’avait pas envie de se séparer d’elle. Il aimait bien cette maison et prenait un malin plaisir à aimer la présence de la jeune femme. Elle était essentielle pour lui mais il se gardait bien de le lui dire. Voilà qu’il avait accepté un nouveau défi et qu’il devait placer le mot mouflette 5 fois au cours de la soirée. Après avoir placé de mot étrange une fois, il ne lui restait plus que 4 fois à le dire. Il était à présent torse nu et faisait profiter la jeune femme de la vue de sa carrure d’apollon. Il allait se jouer un peu d’elle et essayait de la titiller au maximum. Jude eut un petit sourire en coin en voyant que la jeune femme n’avait pu résisté à poser son regard sur son torse. Elle n’avait pas tenue 30à secondes, qu’il avait vu qu’elle le reluquait déjà. Pari gagné d’avance. Bien évidemment, j’ai la tête d’une mouflette ? tu n’as pas peur de finir dehors dans cette tenue ? ce qui, je suis persuadée, va plaire à notre très chère voisine qui guette ton retour derrière sa fenêtre chaque soir. Il faudrait peut-être que tu fasses quelque chose avec elle, j’en ai marre de la voir me lancer des regards furibonds à chaque fois que je la croise. Et ne t’en fais pas pour ma tête, elle se porte très bien et restera à sa place, malgré ta tenue quelque peu parfaite… Il haussa les épaules en écoutant les propos de la jeune femme. Il ne pouvait pas rester sérieux à cause du mot mouflette et ne savait toujours pas où elle avait pioché ce mot assez étrange pour le coup. « En sachant que je ne sais pas ce que ce mot signifie, je le place tout de même dans ma phrase, tu m’as dit de dire Mouflette 5 fois dans la soirée, je l’ai déjà fait deux fois, que veux-tu de plus ? Dehors ? Tu oserais me mettre dehors alors que je suis torse nu et que je pourrais bien prendre froid ? Tu ne serais pas vilaine à ce point quand même ? » il fit une petite moue assez triste pour la faire culpabiliser un petit peu. « La voisine ? Tu m’apprends quelque chose ! Je savais qu’elle souvent à la fenêtre mais je pensais simplement que c’était une commère, et puis elle n’est pas très jolie de toute manière, elle a tout à envier de ta jolie frimousse ! Et puis tu sais, on peut toujours la rendre vraiment jalouse en se montrant collés serrés devant sa fenêtre si tu veux, moi ça ne me dérangerais absolument pas ! » Il prit un air faussement innocent. Il fut tout de même surpris mais touché de voir que la jeune femme tenait à lui, elle avait à moitié révélé quelque petite chose sans y faire attention. italien, japonais ? Je nous prépare un bon repas, vu que tu n’as pas précisé. Mais pour toi, je veux bien me mettre aux fourneaux, mais bien parce que c’est toi. Hum, et toi, capable ou pas capable de nous chercher une bonne bouteille de vin ? Pari accepté, mais devait-il aller le chercher en ville ou dans la cave ? Il préféra prendre la seconde option, il ne se voyait pas aller n ville torse nu. « Surprend moi moi ma belle ! Je sais que tu es une assez bonne cuisinière, tu t’en sortiras très bien. Défi relevé » Ni une ni deux, il partit à la cave leur récupérer une bonne bouteille de vin pour bien commencé la soirée. En revenant, il déboucha la bouteille et se servit à lui et à elle un verre de vin. « Madame est servie ! » il sourit en lui posant le verre à côté d’elle. « J’espère que t’as journée s’est bien passée, car ta soirée ne va pas être de tout repos ma belle ! » Il lui tira la langue et s’éclipsa 5 minutes. Il revint ensuite avec le tableau et le déposa sur la table de la cuisine. « Tu es toujours un peu à la traine, alors je te proposes de gagner 3 points en acceptant ce nouveau défi… » il réfléchit un instant, cherchant un truc assez percutant, mais il voulut mettre un peu de piment « Cap ou pas cap de dormir avec moi ce soir ? »






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyLun 30 Sep - 18:36


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. « D’abord, je ne suis pas grincheux, mademoiselle contrôle freak ! Et de quelle proposition parles-tu ? Hum avec des fleurs tous les jours, tu t’ennuierais je te le garantie, et je te manquerai » . Voilà ce à quoi Autumn était confrontée perpétuellement. Jude ne baissait jamais sa garde, préférant en rajouter à chaque fois, c’était un jeu, mais c’était le leur, et c’était ce qui faisait qu’elle se sentait bien en sa compagnie et que la colocation se passait si bien. Se mordillant la lèvre, elle lui lança un regard de défi Si tu es grincheux, Jude, un vieux rouspéteur, et tu n’as même pas atteint la quarantaine, donc je ne peux que craindre le pire pour l’avenir. J’ai toujours le même client, qui veut acheter notre maison, et je suis sure qu’il me prendrait bien avec. Et si tu m’offrais des fleurs de temps en temps, peut-être que j’arrêterai de faire ce genre d’allusions devant toi, et oui, tu me manquerais trop, tu as pris une grande place dans ma vie. Arrête de faire la moue, s’il te plait. . La blonde ne supportait pas du tout de le voir faire la tête et n’avait pu que rire, lui montrant qu’elle plaisantait, et il finit par se rendre compte de ce qu’elle avait fait. «Encore une fois, je me suis fait avoir comme un bleu !! Tu me le payeras Autumn, ne t’inquiètes pas !» . Autumn avait capté son petit clin d’œil, mais elle ne put s’empêcher de faire la moue, parce que c’était bien trop tentant, et qu’il ne pourrait pas lui faire quoique ce soit, pas avec le regard qu’elle lui lançait à cet instant précis. Non, pas possible Jude. Si je fais ça, c’est que je t’adore trop mon bisounours. Qu’est ce que tu veux me faire ? s’il te plait, et je ferai ce que tu veux. . La jeune femme se voulait tendre avec lui, elle l’adorait trop pour qu’ils se fassent la guerre, à vrai dire, ils préféraient amplement s’adonner à leur petit jeu, ça en était un rituel. Et voilà qu’elle avait accepté le défi complètement fou qu’il lui avait lancé. Elle avait accepté parce qu’elle n’était pas du genre à dire non, mais elle savait que sa réputation pourrait en pâtir. Et d’ailleurs, elle n’avait pu que lui faire quelques petites confessions, mais il ne semblait pas vraiment en faire cas par sa réponse J’ai eu quelques doutes effectivement, mais avec ton corps, tu ne risquais pas de décliner l’invitation à te montrer en petite tenue devant le facteur ! Et j’en profiterai aussi par la même occasion tiens ! Promis je ne dirais rien, croix de bois, croix de fer si je mens je vais en enfer ! Mes yeux te remercies , et en même temps, cela la rassurait. Elle n’avait pas envie de connaitre des désillusions sentimentales, surtout avec Jude, et elle se refusait de le perdre. Continuant de le dévisager, elle se mit à rire, et ne put que lui prendre la main avant de se reprendre et de passer une main dans ses cheveux. .Excuse moi, mais mon fantasme secret n’est pas de me retrouver en petite tenue devant le facteur. Il y aurait un autre homme qui le mériterait davantage, mais bon, il n’a pas l’air de vouloir, et je ne n’ai pas spécialement envie de me lancer. Y a intérêt, merci mon Jude adoré. Et de rien.. . Et sans aucune raison, elle était venue l’embrasser tendrement sur la joue, parce que malgré tout, elle avait besoin de ce contact, et ça ne changerait surement jamais. Toutefois, elle se rendait compte qu’elle avait avoué qu’elle avait limite envie d’être avec un homme, et si elle avait eu la présence d’esprit de ne pas dévoiler son identité. Mais elle n’avait pas envie qu’il soit jaloux ou qu’il lui pose des questions, elle n’était pas prête. Alors elle préférait se concentrer à nouveau sur leur petit jeu, et il était vrai qu’elle avait été petite joueuse mais c’était du fun à l’état pur, ce dont ils avaient besoin. En sachant que je ne sais pas ce que ce mot signifie, je le place tout de même dans ma phrase, tu m’as dit de dire Mouflette 5 fois dans la soirée, je l’ai déjà fait deux fois, que veux-tu de plus ? Dehors ? Tu oserais me mettre dehors alors que je suis torse nu et que je pourrais bien prendre froid ? Tu ne serais pas vilaine à ce point quand même ? La voisine ? Tu m’apprends quelque chose ! Je savais qu’elle souvent à la fenêtre mais je pensais simplement que c’était une commère, et puis elle n’est pas très jolie de toute manière, elle a tout à envier de ta jolie frimousse ! Et puis tu sais, on peut toujours la rendre vraiment jalouse en se montrant collés serrés devant sa fenêtre si tu veux, moi ça ne me dérangerais absolument pas ! . Elle lui tira la langue gentiment, mais il était trop mignon à placer ce mot méconnu, mais elle qui connaissait sa définition avait un peu de mal à être insultée de mouflette, non mais elle était mignonne et loin de ressembler à ces bêbêtes là. Mais sa petite moue l’avait attendrie, et elle n’avait pu que lui sourire, et même s’il usait de sa petite moue innocente, elle n’était pas dupe, pas dupe du tout. T’es mignon tout plein, mais tu devras aller chercher dans le dictionnaire ma puce. Je veux que tu arrêtes de me le dire, parce que tu risques de ne plus m’entendre te dire le moindre mot gentil de la soirée si ça continue. Oui, je pourrais te mettre dehors, et la voisine serait aux premières loges, donc autant dire qu’elle ne va plus se sentir. Pardon de ma vulgarité. Woo c’est un compliment ? Merci mon Jude chéri. Hum, et dans ce cas là, demain si tu ne me retrouves pas, tu peux appeler les flics, parce qu’elle m’aurait tuée et enterrée. Mais on verra si on en a l’occasion . Se retrouver tout contre lui était un rêve inavouable, mais elle n’avait pas spécialement envie que ce ne soit que pour rendre jalouse la voisine, mais bon, elle n’allait pas exprimer son point de vue à voix haute. Et voilà qu’elle avait pris le combiné du téléphone, pour commander, mais à vrai dire, elle ne voulait pas d’une quelconque aide extérieure. Surprend moi moi ma belle ! Je sais que tu es une assez bonne cuisinière, tu t’en sortiras très bien. Défi relevé . Elle n’avait pas mis longtemps et s’était mise à cuisiner, au point où quand Jude était revenu avec la bouteille, elle avait déjà commencé à préparer une petite sauce. Entendant Madame est servie ! J’espère que t’as journée s’est bien passée, car ta soirée ne va pas être de tout repos ma belle ! . Prenant le verre, elle but une gorgée, et ne put que répliquer merci monsieur. Tu vois, elle s’est tellement bien passée que je rentre plus tôt à la maison. Surtout parce que ce triple abruti ne veut pas comprendre que notre maison n’est pas à vendre. Enfin, et toi alors ? Beaucoup de blessés ? . Et voilà que le brun était parti, la laissant à sa cuisine, et après avoir gouté à la sauce, elle se retourna et ne put que sourire en étant toutefois surprise et curieuse. Que venait-il faire avec ce tableau ? cela la titillait et pas qu’un peu. Tu es toujours un peu à la traine, alors je te proposes de gagner 3 points en acceptant ce nouveau défi… Cap ou pas cap de dormir avec moi ce soir ? . Elle croisa les bras, et détourna le regard brièvement. 3 points pour dormir avec toi ? Hum, dans quel sens dormir ? Dormir tout contre toi ? Pourquoi devrais-je te dire oui ou non ? Prouve-moi que je peux te faire confiance et qu’on ne se prendra pas la tête avec ça, si on dort dans le même lit. . Elle se sentait mal à l’aise, et se retourna sur sa casserole. J’ai besoin de ton avis, sur cette sauce.. S’approchant de lui, elle lui tendit la cuillère, et alors qu’il la goutait, elle remarqua qu’il en avait sur le bord des lèvres. Le dévisageant, elle se rapprocha un peu plus de lui, la proximité bien réduite Cap ou pas cap de me laisser faire ? . Leurs lèvres étaient vraiment très proches, et elle avait une idée de la manière dont lui enlever cette sauce, et ça correspondait un peu plus à ce qu’il lui avait lancé comme défi. En plus, la blonde était en train de se dire qu’elle avait envie de franchir ce cap, après tout, ça ne dépendait plus d’elle…
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyLun 30 Sep - 20:25


 
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Cap ou pas cap.  ▬ Si tu es grincheux, Jude, un vieux rouspéteur, et tu n’as même pas atteint la quarantaine, donc je ne peux que craindre le pire pour l’avenir. J’ai toujours le même client, qui veut acheter notre maison, et je suis sure qu’il me prendrait bien avec. Et si tu m’offrais des fleurs de temps en temps, peut-être que j’arrêterai de faire ce genre d’allusions devant toi, et oui, tu me manquerais trop, tu as pris une grande place dans ma vie. Arrête de faire la moue, s’il te plait. Il sourit à la jeune femme. Leur petit jeu n’allait pas prendre fin de sitôt. Ils avaient pris l’habitude de jouer à ce jeu assez dangereux et un jour ou l’autre ils franchiraient une toute nouvelle ligne, sans savoir ce qu’ils feraient ensuite. « Pas du tout, alors là pour le coup oui je rouspète car tu fabules ma chérie ! Et complètement ! Je peux déjà te dire que lorsque j’aurai la quarantaine, ce qui n’est pas demain la veille, je serai un homme toujours aussi beau et adorable, un homme encore plus parfait qu’aujourd’hui ! » il lui fit un clin d’œil, fier de ses propos. Il leva les yeux au ciel lorsqu’elle parla des fleurs « Je n’offre pas de fleurs beauté, j’offres mon amitié, mon amour, quelque chose qui ne se fane pas ! Les fleurs c’est sympa mais je peux apporter bien plus que ça… j’aime faire cette petite moue, et tu me manquerais aussi ma belle » il vint lui déposer un baiser sur le font. Ils pouvaient jouer mais parfois la sincérité prenait le dessus. Non, pas possible Jude. Si je fais ça, c’est que je t’adore trop mon bisounours. Qu’est ce que tu veux me faire ? s’il te plait, et je ferai ce que tu veux. Il leva les yeux au ciel. Elle passait par de nombreux surnoms pour le qualifier mais il ne savait pas comment les prendre. Elle passait souvent du coq à l’âne mais il l’adorait pour ça. Si elle changeait, ce ne serait plus la Autumn qu’il connaissait si bien et qu’il aimait tant. Ils se faisaient la guerre, mais c’était une guerre assez pacifique finalement. « Tu m’en vois ravi et touché alors mon petit rouleau de printemps. Ne me dis pas ce genre de chose ma belle, car je pourrais te prendre au mot fais attention » Oui il pourrait la prendre au mot lorsqu’elle lui disait qu’elle ferait ce qu’il voudrait. Mais il ne fallait tout de même pas qu’il se brûle les ailes en s’essayant à ce genre de petit jeu. Il aurait tout même eu envie de savoir si elle était capable de faire ce qu’il voudrait… Leur jeu était un petit rituel tous les jours, mais plus ils avançaient plus les liens qu’ils avaient se resserraient. Du moins, c’est ce que pensait Jude qui avait vraiment un faible pour la jeune femme. Il n’avait cependant pas envie de ruiner une amitié comme la leur même si, il ne verrait aucun inconvénient à aller un peu plus loin avec elle. Cependant, la présence de la jeune femme était bien trop importante pour le jeune homme qui n’avait plus vraiment d’attaches désormais et qui n’avait que la jeune femme comme équilibre. Excuse-moi, mais mon fantasme secret n’est pas de me retrouver en petite tenue devant le facteur. Il y aurait un autre homme qui le mériterait davantage, mais bon, il n’a pas l’air de vouloir, et je ne n’ai pas spécialement envie de me lancer. Y a intérêt, merci mon Jude adoré. Et de rien… Il eut un petit sourire en coin. Venait-elle de dire qu’elle avait finalement en vue un autre homme mais qu’elle n’avait pas envie de se lancer ? Il fut surpris de le savoir et il ne savait pas s’il devait être jaloux où s’il devait lui se lancer dans quelque chose de nouveau avec elle. « Pourtant tu vas surement faire le bonheur de ce dernier demain matin ! Et je serai derrière la fenêtre à regarder que tu rempli bien ton défi à la lettre ! Un autre homme ? Et j’entends bien ? Tu n’as pas envie de te lancer ? Toi et pourquoi donc ? Tu es belle, intelligente et tu es un sacré bout de femme, tout le monde voudrait d’une femme comme toi Autumn. » Il sourit à la jeune femme pensant qu’il avait peut-être été un peu trop sincère avec elle d’un coup. Il cligna plusieurs fois des yeux lorsqu’elle était venue déposer un baiser sur la joue du jeune homme. Il tenait vraiment à la jeune femme et leur petit jeu attisait vraiment de plus en plus la flamme entre eux. Du moins du côté de Jude en l’occurrence. Il lui tira la langue en retour. T’es mignon tout plein, mais tu devras aller chercher dans le dictionnaire ma puce. Je veux que tu arrêtes de me le dire, parce que tu risques de ne plus m’entendre te dire le moindre mot gentil de la soirée si ça continue. Oui, je pourrais te mettre dehors, et la voisine serait aux premières loges, donc autant dire qu’elle ne va plus se sentir. Pardon de ma vulgarité. Woo c’est un compliment ? Merci mon Jude chéri. Hum, et dans ce cas-là, demain si tu ne me retrouves pas, tu peux appeler les flics, parce qu’elle m’aurait tuée et enterrée. Mais on verra si on en a l’occasion. il alla récupérer le dictionnaire qu’il y’avait dans la bibliothèque du salon et regarda ce qu’était une mouflette. Il se prit alors un fou rire en voyant l’animal que c’était. Effectivement ce n’était pas du tout ce que représentait la jeune femme à ses yeux. C’était d’ailleurs le contraire de cette petite chose. « Ok effectivement, tu ne ressembles pas du tout à une mouflette, autant pour moi mais en même temps tu me donnes un mot très étrange ! Et ranges moi cette langue s’il te plait ! Je me fiche bien de la voisine, j’ai déjà assez de cette folle d’interne pour avoir en plus une voisine tarée ! Qui te dis qu’elle n’est pas attirée par toi, belle demoiselle ? Je veux dire, on ne sait jamais. Et puis tu ne pourrais pas me bouder, tu ne peux pas, ce n’est pas possible ma belle !» Il fit un clin d’œil à la jeune femme suivi d’un adorable sourire. « Qu’elle touche à un de tes cheveux et tu verras ce qu’elle va prendre ! Ce ne sera pas les flics qu’elle aura le droit, ce sera mon poing dans la figure ! » Il croisa les bras et prit une allure de conquérant ! On ne pouvait toucher à la jeune femme et le premier qui toucherait à elle aurait le droit à une entrevue avec le jeune homme. merci monsieur. Tu vois, elle s’est tellement bien passée que je rentre plus tôt à la maison. Surtout parce que ce triple abruti ne veut pas comprendre que notre maison n’est pas à vendre. Enfin, et toi alors ? Beaucoup de blessés ? Il lui fit un agréable sourire et porta son verre à ses lèvres afin de goûter au vin rouge qu’il avait récupérer à la cave. « Si tu veux je peux lui faire comprendre que tu ne veux absolument pas vendre la maison… Pas trop de blessés aujourd’hui, voilà pourquoi je suis à la maison de bonne heure ! Il n’y avait pas grand monde aujourd’hui à l’hôpital, j’étais infirmier et non secouriste aujourd’hui !» il lui fit un clin d’œil. Il prit alors son courage à deux mains et essaya de lui montrer qu’il avait envie de sa compagnie… d’un peu plus que sa compagnie ce soir. 3 points pour dormir avec toi ? Hum, dans quel sens dormir ? Dormir tout contre toi ? Pourquoi devrais-je te dire oui ou non ? Prouve-moi que je peux te faire confiance et qu’on ne se prendra pas la tête avec ça, si on dort dans le même lit Simplement dormir oui, il ne voulait pas aller plus loin, du moins pas encore, ils n’étaient surement pas prêt à franchir cette étape, mais il voulait s’endormir avec la jeune femme dans ses bras J’ai besoin de ton avis, sur cette sauce. Il haussa les épaules, il n’avait pas envie de goûter à la sauce « Simplement dormir avec moi… te savoir dans mes bras et tu gagneras trois points, ce n’est pas négligeable. » il se rapprocha de la jeune femme en même temps qu’elle s’approchait de lui pour qu’il goute à la sauce. Cap ou pas cap de me laisser faire ? il se mordit la lèvre et ne répondit, il préféra passer une main derrière le dos de la jeune femme pour la rapprocher et la coller contre lui. Il plaça son autre main sur la joue de la jeune femme et déposa ses lèvres sur celles de la jeune femme. Il l’embrassa doucement, mais de façon passionnée. Il en avait eu envie depuis longtemps. « Cap » lui avait-il murmuré alors qu’il avait interrompu leur baiser. « Cap ou pas cap de continuer ? »






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyMar 1 Oct - 17:13


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. Pas du tout, alors là pour le coup oui je rouspète car tu fabules ma chérie ! Et complètement ! Je peux déjà te dire que lorsque j’aurai la quarantaine, ce qui n’est pas demain la veille, je serai un homme toujours aussi beau et adorable, un homme encore plus parfait qu’aujourd’hui ! Je n’offre pas de fleurs beauté, j’offre mon amitié, mon amour, quelque chose qui ne se fane pas ! Les fleurs c’est sympa mais je peux apporter bien plus que ça… j’aime faire cette petite moue, et tu me manquerais aussi ma belle . Le sourire de Jude puis le baiser qu’il était venu déposer sur son front avait eu raison d’Autumn, qui s’était mise à rougir et qui avait détourné alors le regard suite à ses mots. Elle ne pouvait pas s’empêcher de penser aux mots qu’il venait de prononcer. Il fallait qu’elle arrête de se focaliser sur des choses qui pouvaient très bien ne rien vouloir dire et elle n’avait pas envie de se faire de fausses idées. je ne fabule en rien, Jude. Tu ne t’en rends tout simplement pas compte. Hum, ça c’est toi qui le dis, tu ne vas pas dire le contraire, sinon tu pourrais effrayer celle qui devra te supporter pour tes quarante ans. Hum, c’est bien trop d’honneur, moi qui me plaignais. Ben oui, j’ai l’impression que tu m’apportes bien plus que certains. Et j’espère bien t’en apporter tout autant, si je ne le fais pas déjà. Alors ma petite moue continuera aussi longtemps que cela sera le cas également de notre colocation Elle espérait bel et bien que cela perdurerait encore longtemps. La blonde n’avait jamais autant aimé vivre avec quelqu’un, et avec le brun tout était si simple. Ils s’entendaient à merveilles et elle n’avait pas envie que cela s’arrête, parce qu’elle tenait énormément à lui, bien qu’elle ne veuille rien dire. Ensemble, ils se laissaient aller, se taquinaient, se cherchaient, avaient des gestes d’affection que beaucoup ne comprenaient pas, surtout pour deux personnes qui n’étaient pas en couple. Elle continuait de le titiller, et était même prête à se plier en quatre pour faire tout ce qu’il voulait afin qu’il ne lui tienne pas rigueur de ce qu’elle avait pu prononcer. Mais le voir lever les yeux au ciel la laissait toujours perplexe, comme à chaque fois. Bon d’accord son surnom était ridicule, mais c’était le premier qui lui était venu à l’esprit, et c’était mignon quand même, c’était une preuve qu’elle tenait à lui quand même. Tu m’en vois ravi et touché alors mon petit rouleau de printemps. Ne me dis pas ce genre de chose ma belle, car je pourrais te prendre au mot fais attention . Ben tiens, la riposte n’avait pas mis longtemps à arriver, et elle ne put que lui tirer la langue. Etre comparée à de la nourriture, heureusement, il ne la regardait pas comme si c’était vraiment le cas, ce qui la rassurait et la faisait souffler de soulagement. Dis, tu n’as quand même pas envie de me manger, vu ce surnom ? mais tu peux, mon beau, après ne pars pas trop loin, il y a certaines choses auxquelles je ne veux pas être confrontée.La jeune femme savait très bien qu’ils étaient capables du meilleur comme du pire, parce qu’ils s’adonnaient à ce petit jeu depuis un petit moment déjà, et qu’aucun des deux n’arrêterait. Toutefois, à force de trop jouer, ils ne parlaient pas des points importants, de choses qu’ils semblaient se cacher, en raison de leur fierté ou d’un autre point qui semblait rester dans l’ombre. Mais elle n’avait pas envie de dévoiler ses pensées, il y avait bien trop à perdre dans cette histoire, alors autant garder Jude dans sa vie, ainsi, plutôt que de ne plus rien partager du tout avec lui. Et voilà qu’elle avait confessé quelque chose, le fait qu’elle était limite en train de craquer pour un homme, sans rien ajouter de plus. En voyant le petit sourire en coin du brun, elle se mordit la lèvre, et s’attendait déjà à subir un véritable interrogatoire. Pourtant tu vas surement faire le bonheur de ce dernier demain matin ! Et je serai derrière la fenêtre à regarder que tu rempli bien ton défi à la lettre ! Un autre homme ? Et j’entends bien ? Tu n’as pas envie de te lancer ? Toi et pourquoi donc ? Tu es belle, intelligente et tu es un sacré bout de femme, tout le monde voudrait d’une femme comme toi Autumn. . Autumn n’était pas du tout en colère contre lui, mais elle ne pouvait pas lui en vouloir, absolument pas. Oui, ben tu ne sais pas que je n’ai pas spécialement envie de me retrouver en face de lui comme ça, pourvu que ce soit son remplaçant, au moins j’aurais de quoi rougir. Ah carrément, t’es comme ça, à regarder derrière la fenêtre. Oui, un autre homme, tu n’es pas complètement sénile et donc pas du tout sourd. Non je n’ai pas envie de me lancer, parce que d’une je n’ai pas envie de me prendre une porte, et puis je te rappelle au passage qu’on avait dit qu’on ne parlerait pas du domaine privé, surtout pas de ça, histoire qu’on ne soit pas mal à l’aise. Ben il faut croire qu’il n’est pas intéressé.... Elle s’attendait à coup sur qu’il lui poserait des questions, mais elle n’était pas prête pour le moment de dire quoique ce soit, peut-être parce que si elle lui disait, elle briserait à coup sur ce qu’ils avaient construits depuis si longtemps déjà. Et voilà qu’elle avait eu un geste d’affection avec lui, même si par la suite, elle avait eu du mal avec le fait que le brun utilise son gage contre elle, non mais gentille oui, mais pas à se faire insulter, il y avait quand même des limites. Son colocataire était alors récupéré le dictionnaire pour voir ce que signifiait le mot, et elle n’avait pu que rire. Ok effectivement, tu ne ressembles pas du tout à une mouflette, autant pour moi mais en même temps tu me donnes un mot très étrange ! Et ranges moi cette langue s’il te plait ! Je me fiche bien de la voisine, j’ai déjà assez de cette folle d’interne pour avoir en plus une voisine tarée ! Qui te dis qu’elle n’est pas attirée par toi, belle demoiselle ? Je veux dire, on ne sait jamais. Et puis tu ne pourrais pas me bouder, tu ne peux pas, ce n’est pas possible ma belle ! Qu’elle touche à un de tes cheveux et tu verras ce qu’elle va prendre ! Ce ne sera pas les flics qu’elle aura le droit, ce sera mon poing dans la figure ! . Son sourire puis sa posture avaient eu raison de l’envie qu’elle aurait pu avoir de lui faire la tête. La blondinette posa une main sur son bras, avec un sourire timide aux lèvres. ben plutôt oui, heureusement que tu le constates, sinon tu serais aveugle. Ben désolée, tu aurais voulu quoi ? Que je te lance le défi de te promener nu dehors ? Parce qu’on aurait pu le faire, mais je trouvais cela vraiment dégradant surtout pour tes petites fesses si parfaites. Oula, la folle d’interne ? il va falloir que tu me racontes tout ça, j’ai du louper un épisode, voire même une saison complète. Je peux te confirmer que le brun de la dernière fois qu’elle embrassait langoureusement ne laisse aucun doute sur ses préférences, alors hein. Et pourquoi je ne pourrais pas ? Tu n’es pas si irrésistible que ça mon chéri. Han, mince, mais j’ai déjà mon preux chevalier, dire que j’essaie de trouver le prince charmant depuis si longtemps..... Des propos ironiques ? Enfin ils l’étaient à moitié, et elle trouvait cela touchant et adorable qu’il veuille la protéger, un peu comme un garde du corps, et c’était vraiment flatteur aussi. D’ailleurs, ils abordaient à présent le sujet de leurs journées respectives. Tous les deux avaient des plannings très chargés et des métiers à l’opposé l’un de l’autre. Si tu veux je peux lui faire comprendre que tu ne veux absolument pas vendre la maison… Pas trop de blessés aujourd’hui, voilà pourquoi je suis à la maison de bonne heure ! Il n’y avait pas grand monde aujourd’hui à l’hôpital, j’étais infirmier et non secouriste aujourd’hui !» . Elle éclata de rire, avant de boire une gorgée, à son tour. Il n’en veut pas la peine, il va bien se lasser, surtout que je viens de lui trouver une maison parfaite. J’espère juste que ça lui plaira et qu’il ne viendra pas me rabâcher les oreilles avec notre maison. Hum, bonne nouvelle pour tout le monde alors. Tu sais que je préfère te savoir infirmier et pas secouriste ? j’ai trop peur qu’il t’arrive quelque chose.... Certes, il adorait son métier et elle le comprenait aisément, mais ce n’était pas pour autrement qu’elle ne se rongeait pas les sangs en imaginant le pire à chaque fois. Et voilà que le cap de Jude l’avait laissée quelque peu sans voix, parce qu’elle ne savait pas du tout ce que cela signifiait. Elle n’avait pas envie de se faire une fausse joie, elle avait besoin de savoir ce qu’il en était réellement. Simplement dormir avec moi… te savoir dans mes bras et tu gagneras trois points, ce n’est pas négligeable . Mais même en entendant sa réponse, elle n’avait qu’une seule idée, lui faire gouter sa sauce. Tu sais que si tu en avais envie avant, tu aurais pu me le demander. Et j’aurais dit oui, même sans les 3 points... Elle se montrait honnête et après lui avoir fait gouter, elle n’avait pu que constater qu’il en avait, et elle s’était rapprochée de lui en lui lançant un défi. Et voilà qu’elle n’avait rien vu arriver, et il l’avait collée à lui, et voilà qu’un baiser était échangé, et elle n’avait pu que prolonger, parce que le contact était plus qu’agréable, et en même temps, c’était un rêve qui devenait réalité. Cap. Cap ou pas cap de continuer ? . Elle posa la cuillère sur la table, et se recolla à lui, en passant ses bras derrière sa nuque, et revint prendre possession de ses lèvres pour l’embrasser fougueusement, et se recula, en lui volant un dernier baiser, et se cocoonant tout contre lui, elle blottit sa tête au creux de son cou, en murmurant cap la preuve. Cap ou pas cap de manger et de reprendre où on s’en est arrêté ?. A vrai dire, elle avait eu envie de lui demander ce que cela signifiait, mais elle n’avait pas envie de tout venir gâcher, parce qu’elle avait eu envie de tout ça, et n’avait pas envie que tout s’arrête.
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyMar 1 Oct - 20:28


 
Autumn and Jude





Cap ou pas cap.  ▬ Je ne fabule en rien, Jude. Tu ne t’en rends tout simplement pas compte. Hum, ça c’est toi qui le dis, tu ne vas pas dire le contraire, sinon tu pourrais effrayer celle qui devra te supporter pour tes quarante ans. Hum, c’est bien trop d’honneur, moi qui me plaignais. Ben oui, j’ai l’impression que tu m’apportes bien plus que certains. Et j’espère bien t’en apporter tout autant, si je ne le fais pas déjà. Alors ma petite moue continuera aussi longtemps que cela sera le cas également de notre colocation Il lui fit les gros yeux. Ils voulaient toujours avoir le dernier mot tous les deux mais à ce jeu-là ils étaient tous les deux très forts et c’était toujours par la fatigue qu’ils s’arrêtaient. Se chamailler comme ils le faisaient, faisait partie de leur quotidien et Jude en appréciait chaque instant. Et puis on disait bien que qui aime bien châtie bien alors ils ne dérogeaient pas à la règle tous les deux. Même un peu agacée, la jeune femme avait un charme fou. Il était d’ailleurs tombé sous son charme rapidement. A la première rencontre finalement, lorsqu’elle avait ouvert la porte pour lui présenter la maison et lui faire passer un petit entretien pour savoir si elle le prendrait comme colocataire ou pas. Ils s’étaient tout de suite très bien entendus et on pouvait tout de suite le remarquer lorsqu’on les voyait tous les deux. « Si si je m’en rend très bien compte mais tu te trompes sur toute la ligne, c’est tout !! Et puis ta couleur n’aide pas du tout à te remettre les idées en place ! Pas du tout je suis très sérieux à propos de mes quarante ans et puis tu vois un peu loin, ne j’ai qu’un quart de siècle contrairement à toi qui te rapproche sévèrement de la trentaine mademoiselle ! Tu es mon adorable Autumn et personne ne pourra m’enlever tout ça, je suis ravi que tu ais accepté notre colocation le jour où l’on s’est rencontré ! » Il lui fit un clin d’œil. Il était sincère, elle lui apportait beaucoup mais il n’avait pas de trop lui en dire. C’était une femme importante pour le jeune homme qui n’avait plus qu’elle et quelques amis qu’il s’était fait depuis qu’il était arrivé dans la petite ville. Il n’aimait pas trop la voir parler avec des hommes, mais il ne pouvait la retenir d’être heureuse même s’il se verrait bien être la cause de sa joie de vivre et non un autre type. Il était attachée à la jeune femme et plus les jours passaient, plus ses sentiments s’agrandissaient. Il espérait que leur colocation dure encore un très bon moment. Il se plaisait dans cette maison et la compagnie de la jeune femme était plus qu’agréable. Bien qu’elle soit un peu plus âgée que lui n’y faisait rien, ils s’entendaient à merveille et il appréciait les moindres moments passés en sa compagnie. Il n’avait plus personne, sa famille ne lui parlait plus, sa sœur essayait de prendre quelques nouvelles par moment mais sans grande importance et il ne cherchait pas à les joindre non plus. Ils l’avaient assez humilié lorsqu’il était plus jeune et il avait envie de faire sa propre vie loin de tous ces mauvais souvenirs. Pourtant son père s’évertuait à lui verser chaque mois sur l’un de ses comptes une petite somme d’argent afin peut-être qu’il change d’avis et rentre à la maison. Mais sa maison était désormais ici, auprès d’Autumn. Dis, tu n’as quand même pas envie de me manger, vu ce surnom ? mais tu peux, mon beau, après ne pars pas trop loin, il y a certaines choses auxquelles je ne veux pas être confrontée. Il haussa les épaules. Il n’avait pas pensé à cette éventualité et elle venait de lui tendre une perche assez sympathique qu’il ne pouvait résisté à l’utiliser pour l’embêter un peu plus ce soir. « Hum et bien c’est une possibilité que je n’avais pas envisagé jusqu’à ce que tu fasses cette allusion. Alors merci pour cette petite remarque, je commencerai surement par ton cou… puis ensuite surement tes oreilles… Enfin, malheureusement tu n’es pas un rouleau de printemps ! » Il lui fit un clin d’œil, amusé de voir son expression. « Je vais réfléchir ! » il sourit à la jeune femme comme il savait si bien le faire. Il aimait la laisser dans le flou pour qu’elle puisse cogiter un petit peu. Quelques révélations cachées avaient fait leur apparition dans le jeu qu’ils avaient remis sur le tapis et Jude ne savait pas trop s’il devait être jaloux où simplement un peu méfiant du jeu de la jeune femme. Il ne montrait cependant rien pour ne pas attiser son regard. Elle allait surement subir un petit interrogatoire façon Jude mais il ne ferait rien de déplaisant et ne poserait pas les questions qui fâchent, du moins, il n’irait pas trop loin. Elle pouvait avoir entièrement confiance la dessus, car Jude ne posait jamais de questions véritablement indiscrètes. Oui, ben tu ne sais pas que je n’ai pas spécialement envie de me retrouver en face de lui comme ça, pourvu que ce soit son remplaçant, au moins j’aurais de quoi rougir. Ah carrément, t’es comme ça, à regarder derrière la fenêtre. Oui, un autre homme, tu n’es pas complètement sénile et donc pas du tout sourd. Non je n’ai pas envie de me lancer, parce que d’une je n’ai pas envie de me prendre une porte, et puis je te rappelle au passage qu’on avait dit qu’on ne parlerait pas du domaine privé, surtout pas de ça, histoire qu’on ne soit pas mal à l’aise. Ben il faut croire qu’il n’est pas intéressé... Il leva les yeux au ciel. Ils avaient certes parlé de ne rien dire sur le domaine privé mais elle avait attisé la curiosité du jeune homme et elle l’avait surement fais exprès d’ailleurs. Il n’était pas très content mais essaya de ne pas le montrer. « Moi je parie sur le beau facteur d’une soixantaine d’année, le mec un peu pervers tu sais celui d’hier quoi ! Ce serait tellement drôle ! Et puis tu ne peux pas te défiler ma belle ! Alors là tu n’as pas le droit de me laisser comme ça, tu en as trop dis, ou alors pas assez !! Et puis qui a mis cette règle stupide en place ? Qui te dis qu’il n’est pas intéressé, explique moi et je te dirai si oui ou non il est intéressé, je vais t’aider avec le langage masculin » il se mordit la lèvre et attendait qu’elle le lui en dise un peu plus. Il voulait en savoir un peu plus, elle avait attisé sa curiosité, elle ne pouvait pas s’arrêter là, c’était de la torture. Il voulait savoir de qui elle pouvait bien parler et il ne la lâcherait pas jusqu’à ce qu’elle ait dis quelque chose, au moins pour le mettre sur la voie. Ben plutôt oui, heureusement que tu le constates, sinon tu serais aveugle. Ben désolée, tu aurais voulu quoi ? Que je te lance le défi de te promener nu dehors ? Parce qu’on aurait pu le faire, mais je trouvais cela vraiment dégradant surtout pour tes petites fesses si parfaites. Oula, la folle d’interne ? il va falloir que tu me racontes tout ça, j’ai du louper un épisode, voire même une saison complète. Je peux te confirmer que le brun de la dernière fois qu’elle embrassait langoureusement ne laisse aucun doute sur ses préférences, alors hein. Et pourquoi je ne pourrais pas ? Tu n’es pas si irrésistible que ça mon chéri. Han, mince, mais j’ai déjà mon preux chevalier, dire que j’essaie de trouver le prince charmant depuis si longtemps... Jude serait toujours auprès de la jeune femme, qu’elle le veuille ou non, elle aurait bien du mal à se débarrasser de lui. Maintenant qu’il était là et qu’il s’était drôlement attaché à elle, il ne pouvait faire marche arrière. Et il se voyait mal partir de cette maison. Il était très bien ici, en sa compagnie. Voilà que sa folle d’interne, Amber avait été mise sur le tapis. Il n’en avait jamais rien dis à la jeune femme mais maintenant qu’elle le titillait avec un mystérieux inconnu, il avait eu envie de lui parler de la jeune femme qui lui courrait après.  « Et bien tu as de la chance, je ne suis pas aveugle, bien au contraire ! Me promener nu dehors ? J’ai déjà donné, merci ! Une folle, Amber, une interne qui est là depuis quelques semaines. Elle me rentre dedans à chaque fois et cherche à me mettre dans son lit, mais sa blondeur, excuses moi par avance, et quand je dis blondeur c’est bel et bien au sens propre du terme, m’agace. C’est une pimbêche sans cervelle et je n’arrive pas à m’en débarrasser. Elle me suit partout, elle met tout le monde dans son lit et elle ne me plait pas ! Que ce soit physiquement ou intellectuellement parlant ! Et puis ce n’est pas elle que j’ai en vue !  » Il ne dit plus un mot de plus. Il en avait déjà trop dis. « Et pour ma part, je te trouve un peu cruel, tu sais… je pensais être irrésistible et à croquer moi ! » il lui fit un clin d’œil et la gratifia d’un sourire. Il n’en veut pas la peine, il va bien se lasser, surtout que je viens de lui trouver une maison parfaite. J’espère juste que ça lui plaira et qu’il ne viendra pas me rabâcher les oreilles avec notre maison. Hum, bonne nouvelle pour tout le monde alors. Tu sais que je préfère te savoir infirmier et pas secouriste ? j’ai trop peur qu’il t’arrive quelque chose... Il était soulagé de le savoir, il n’aurait pas voulu qu’il continue à l’embêter pour une maison qu’il n’aurait jamais. Il est vrai que cette maison était incroyable et que tout le monde pouvait tomber amoureux de celle-ci mais jamais Ô grand jamais il ne pourrait la quitter, sauf si c’était Autumn qui le lui demandait. Il ne répondit rien. Il corsa un peu le jeu en lui proposant de dormir avec lui. Il avait très envie de s’endormir auprès d’elle. Et ce, depuis un moment déjà. Il aurait aussi aimé essayé quelque chose de nouveau avec elle mais pas certain qu’elle n’accepte, alors il lui proposa simplement de dormir avec lui. Tu sais que si tu en avais envie avant, tu aurais pu me le demander. Et j’aurais dit oui, même sans les 3 points… il sourit timidement. Ce qu’elle venait de lui dire le toucha réellement « Je voulais que tu gagnes quelque points de plus… mais on peut très bien ne pas les rajouter… cap ou pas cap ? » il lui fit un clin d’œil. Ils allaient finalement dormir ensemble lorsque la jeune femme lui montra une autre facette de sa personnalité. Un baiser langoureux fut alors échangé entre les deux amis. Un baiser qui se voulait doux et sincère à la fois. Blottie contre lui, Jude caressa les cheveux de la jeune femme tout en la gardant tout contre lui. Il aimait sentir son corps collé au sien et sentir son parfum. Ses lèvres furent une nouvelle fois au contact de celles de la jeune femme et il ne put que la coller d’avantage contre lui. Il mit une main derrière la nuque de la jeune femme afin d’amplifier leur baiser. cap la preuve. Cap ou pas cap de manger et de reprendre où on s’en est arrêté ? Il acquiesça bien qu’il aurait bien esquiver le dîner pour continuer à l’embrasser et ne plus s’arrêter. « Je mets la table… et je ne pourrais après plus me passer de tes lèvres… » il sourit à la jeune femme et partit mettre la table. Il ne savait pas ce qu’ils allaient devenir tous les deux, toujours des amis, des amants, un couple, sex friends mais il avait très envie d’aller plus loin et d’essayer tout autre chose. Une fois le dîner terminé, Jude aida la jeune femme à débarrasser et à ranger la vaisselle dans le lave-vaisselle. Une fois sur le canapé, il se rapprocha de la jeune femme, doucement… et reposa ses lèvres sur les siennes. « Qu’est-ce qu’on fait… » avait-il murmuré entre deux baisers.






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyMer 2 Oct - 16:02


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. Si si je m’en rend très bien compte mais tu te trompes sur toute la ligne, c’est tout !! Et puis ta couleur n’aide pas du tout à te remettre les idées en place ! Pas du tout je suis très sérieux à propos de mes quarante ans et puis tu vois un peu loin, ne j’ai qu’un quart de siècle contrairement à toi qui te rapproche sévèrement de la trentaine mademoiselle ! Tu es mon adorable Autumn et personne ne pourra m’enlever tout ça, je suis ravi que tu ais accepté notre colocation le jour où l’on s’est rencontré ! . Les gros yeux de Jude ne lui faisaient absolument pas peur, et encore moins de ses derniers propos qui mettaient clairement en évidence un préjugé qui n’était en rien vérifié. Et il fallait bien avouer qu’elle n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, et surtout pas avec de tels mots. En plus, t’es un rabat-joie et un homme de mauvaise foi, je n’en avais jamais vu autant en une seule personne, tu bats tous les records. Ma blondeur te dit d’aller te faire voir chez les Grecs, et je suis polie. Quant à mon âge, pareil. Décidément, tu as décidé de pointer tous mes défauts du doigt, c’est ça ? Essaie de te rattraper Jude, je crois que je ne pourrais pas l’oublier si facilement. Je ne pouvais pas refuser, ne me demande pas pourquoi surtout. . Il était vrai que la première fois qu’ils s’étaient rencontrés, le contact était bien passé, et la colocation avait été envisagée, et elle ne le regrettait pas, vu tout ce qu’ils partageaient chaque jour. Cette ville avait été celle qui l’avait vu grandir mais elle se sentait bien maintenant, épanouie dans un métier et dans des amitiés qui lui correspondait à la perfection. En plus, il fallait dire que le voir débarquer dans une ville qu’il ne connaissait pas l’avait touchée et pas qu’un peu, et sans expliquer pourquoi, elle avait senti quelque chose chez lui qui lui plaisait, et maintenant, elle était heureuse, en se disant qu’elle avait fait le bon choix et qu’on pourrait bien lui offrir tout l’or du monde, elle n’y mettrait surement pas fin. Alors certes, elle était plus âgée que lui, enfin légèrement, mais elle trouvait Jude bien plus mûr que certains trentenaires qu’elle avait rencontrés. Le brun avait la tête sur les épaules et leur complicité était un véritable régale. Et puis ils étaient bien tous les deux, là à se titiller, à se chercher et à s’adorer. Mais elle n’appréciait pas le petit surnom, un peu comme s’il voulait faire d’elle son repas. Hum et bien c’est une possibilité que je n’avais pas envisagé jusqu’à ce que tu fasses cette allusion. Alors merci pour cette petite remarque, je commencerai surement par ton cou… puis ensuite surement tes oreilles… Enfin, malheureusement tu n’es pas un rouleau de printemps ! Je vais réfléchir ! . Elle lui tira la langue, comme seule réponse possible à tout ce qu’il avait pu dire. Elle s’était mise à réfléchir, observant son sourire, et elle ne put qu’enrouler une mèche de cheveux autour de son oreille avant de la placer derrière son oreille. Désolée, mais je ne dois pas être à ton gout, et tu n’es pas cannibale, sinon dans ce cas-là, je me serais trompé pendant des mois à vivre avec un psychopathe. S’il te plait, stop, tu vas m’effrayer, et je vais devoir partir, ce qui serait fort dommage, reconnais le. Hum, ne réfléchis pas trop, tu pourrais faire trop travailler ton cerveau. . Elle aurait pu rajouter quelque chose d’autre, mais elle ne tenait pas à être trop méchante ni à lui en faire voir de toutes les couleurs, après tout, cette soirée était un moyen qu’ils se retrouvent dans la joie et la bonne humeur. Ils avaient besoin de tout ça, même s’ils jouaient. Elle aurait bien aimé tout déballer, dire tout ce qu’elle avait en tête, et d’ailleurs elle avait commencé à lâcher une part du morceau. Moi je parie sur le beau facteur d’une soixantaine d’année, le mec un peu pervers tu sais celui d’hier quoi ! Ce serait tellement drôle ! Et puis tu ne peux pas te défiler ma belle ! Alors là tu n’as pas le droit de me laisser comme ça, tu en as trop dis, ou alors pas assez !! Et puis qui a mis cette règle stupide en place ? Qui te dis qu’il n’est pas intéressé, explique moi et je te dirai si oui ou non il est intéressé, je vais t’aider avec le langage masculin . La blonde avait détourné le regard, surtout en le voyant se mordre la lèvre. Elle ne tenait pas vraiment à s’étaler pendant des heures, sur ses sentiments. Elle n’avait jamais été très à l’aise avec tout ça, surtout que cela concernait un homme qui était très proche d’elle, et elle ne voulait pas tout ruiner. il m’a vue toute petite, le pauvre va sans aucun doute nous faire une crise cardiaque, et ça sera de ta faute. Quant au mec pervers, si c’est lui, je te préviens, prépare toi à venir à mon secours, et à faire tes valises aussi. Je viens de la mettre en place maintenant. Tu veux vraiment savoir ? Un homme qui me plait, mais j’ai l’impression que ce n’est pas le cas pour lui. On a nos habitudes, nos rituels, et je, je me pose pleins de questions sur lui et moi, mais ce qui est sur c’est que je ne suis pas prête à le laisser sortir de ma vie. Alors tu vas m’aider ? . Elle s’était montrée honnête, en précisant les éléments les plus importants de la situation, après en dévoiler plus aurait été une véritable catastrophe et un pur suicide également. Elle avait posé la main sur la sienne, avant de la retirer. La blonde ne tenait pas à ce qu’un certain malaise s’installe entre eux. C’était à elle à présent de savoir un peu plus de choses sur le quotidien de son colocataire, parce qu’il fallait avouer que le fait de parler d’une femme qui lui tournait autour avait éveillé sa curiosité et pas qu’un peu. Autumn tenait trop à lui, cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. Enfin, les explications n’avaient pas mis longtemps à arriver et autant dire qu’elle était restée quand même sans voix suite à ses révélations. Et bien tu as de la chance, je ne suis pas aveugle, bien au contraire ! Me promener nu dehors ? J’ai déjà donné, merci ! Une folle, Amber, une interne qui est là depuis quelques semaines. Elle me rentre dedans à chaque fois et cherche à me mettre dans son lit, mais sa blondeur, excuses moi par avance, et quand je dis blondeur c’est bel et bien au sens propre du terme, m’agace. C’est une pimbêche sans cervelle et je n’arrive pas à m’en débarrasser. Elle me suit partout, elle met tout le monde dans son lit et elle ne me plait pas ! Que ce soit physiquement ou intellectuellement parlant ! Et puis ce n’est pas elle que j’ai en vue ! Et pour ma part, je te trouve un peu cruel, tu sais… je pensais être irrésistible et à croquer moi ! . La blonde en restait sans voix, donc voilà qu’il avait une personne en vue. Et il ne lui avait rien dit, au point où elle se posait des questions, vraiment. Pourquoi tant de mystères ? Elle n’aimait pas spécialement poser des questions, mais le brun venait de lui tendre une perche qu’elle se devait de saisir, ou pas. parfois, j’arrive à me poser la question, navrée. Han ben ce n’était pas avec moi, ça. Pourquoi tu ne veux pas réitérer la chose ? Ça doit être super, surtout pour ton corps dénudé et athlétique. On va dire que j’accepte et que je comprends tout à fait que la blondeur n’est pas la même. Si tu veux d’un coup de main pour t’en débarrasser, je peux venir et t’aider. Hum, donc tu as quelqu’un en vue ? il faudrait que tu te lances, au lieu de rester les bras ballants, parce que tu dis être capable de m’aider, j’ai envie de faire de même, Jude. Je ne suis pas cruelle, je veux que tu restes le même, et non pas que tu n’aies les chevilles qui grossissent. . Autumn se montrait honnête avec lui, et elle ne voulait pas le laisser tomber, jamais. Que ce soit dans leur amitié ou dans leur colocation. Alors quand il lui avait lancé un défi, elle n’avait pu que dire ce que sa tête lui dictait, c’était elle, tout simplement elle. Parce que peut-être qu’ils passeraient une nuit dans les bras l’un de l’autre, mais elle en mourait d’envie depuis bien trop longtemps déjà, et cela ne signifiait pas du tout rejoindre les étoiles, non pas du tout. De toute manière, elle ne tenait pas à avoir ce genre de relations avec Jude, surtout pas avec lui, pour une raison bien évidemment qu’elle se refusait de dire à voix haute. Je voulais que tu gagnes quelques points de plus… mais on peut très bien ne pas les rajouter… cap ou pas cap ? . La jeune femme avait secoué la tête, il était hors de question de passer à coté de trois points si précieux sur leur tableau magique. C’est cela oui, tu me fais quoi là ? Machine arrière ? je veux mes trois points, sinon tu vas me battre à plat de couture, et ça il en est hors de question mon beau. . Et voilà qu’après ces dernières paroles, de longs baisers étaient échangés, comme s’ils franchissaient une étape dans leur relation. Elle avait eu envie de poser les bonnes questions, mais elle redoutait les réponses qui pourraient être apportées. Collée contre le brun, elle se laissait aller et elle était plus que bien. Je mets la table… et je ne pourrais après plus me passer de tes lèvres… . Elle se mit à sourire, et finit de préparer le repas, qu’ils dégustèrent, et son esprit divagua à ce qu’ils avaient fait là. Poser un nom dessus était quelque peu difficile. Une fois fini, ils avaient tout débarrassé et rangé, puis ils reprirent place sur le canapé, où Jude s’était rapproché de la blonde et avait repris possession de ses lèvres. En entendant Je mets la table… et je ne pourrais après plus me passer de tes lèvres… entre deux baisers, elle se mit à sourire avant de reprendre possession de ses lèvres brièvement Qu’est-ce qu’on fait… . La jeune femme se redressa et vint se coller à lui, posant sa tête contre son torse, en entremêlant ses doigts aux siens et en jouant avec. je te proposerai bien d’arrêter le jeu, Jude. Je ne veux plus jouer, plus avec toi. J’aime ce qu’on fait, et ça veut dire bien plus qu’un cap ou pas cap.. Se relevant légèrement, elle plongea son regard dans le sien, avant de poser une main sur sa joue et toi ? que veux-tu faire ? .
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyMer 2 Oct - 20:25


 
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Cap ou pas cap.  ▬ En plus, t’es un rabat-joie et un homme de mauvaise foi, je n’en avais jamais vu autant en une seule personne, tu bats tous les records. Ma blondeur te dit d’aller te faire voir chez les Grecs, et je suis polie. Quant à mon âge, pareil. Décidément, tu as décidé de pointer tous mes défauts du doigt, c’est ça ? Essaie de te rattraper Jude, je crois que je ne pourrais pas l’oublier si facilement. Je ne pouvais pas refuser, ne me demande pas pourquoi surtout. Tous les deux voulaient toujours avoir le dernier mot et cette petite guerre ne s’arrêterait surement jamais, à moins que l’un des deux ne se fatiguent en premier. Mais ce n’était pas gagné car ils savaient y faire et ils avaient de la ressource depuis qu’ils se connaissaient. « Rien que ça ? Et bien ce soir il semblerait que ce soit ma fête ! Je ne savais pas que c’était aujourd’hui ! Et toi tu es une femme qui veut simplement avoir le dernier mot même lorsqu’elle a tort ! Trop aimable, mais j’aurai préféré aller voir ce qu’il se passe du côté de mon pays plutôt… Et arrête de bouder, tu as des défauts mais ce n’est certainement pas ta couleur de cheveux où ton âge ma belle et tu le sais très bien. Je t’adore comme tu es et tu devrais te satisfaire des simples choses ! » Il fit un clin d’œil à la jeune femme. Mais sa curiosité avait une nouvelle fois prit le dessus et il voulut savoir ce qu’elle avait pensé de lui lorsqu’elle l’avait vu en entretien avant de l’accepter dans sa demeure. « Tu n’arrives toujours pas à apaiser ma curiosité ma chère… c’est encore pire même, tu dis un petit bout pour essayer de ne pas en dire plus mais c’est tout le contraire que tu arrives à faire… Car tu dois me dire pourquoi tu ne pouvais pas refuser, tu es même dans l’obligation de me le dire à présent… Je suis bien trop curieux et toi qui es bavarde d’habitude, je t’en prie, lâche-toi ! » Encore une fois il la cherchait mais c’était tellement amusant de pouvoir en rajouter une couche et de voir ses réactions. Elle était adorable, même lorsqu’elle boudait et il était difficile de lui faire la tête. Elle avait un charme fou et il était difficile de passer à côté d’une femme comme elle. On ne pouvait que l’aimer de toute manière. Jude en était la preuve, il avait de forts sentiments pour elle, et pas de simples sentiments amicaux. Du moins, il tombait amoureux d’elle… Elle était facile à vivre, et ils s’amusaient toujours sans tomber dans le ridicule. Ils pouvaient parfois être de vrais gamins mais c’est ça qui était le plus drôle dans tout ça. Heureusement qu’elle avait été là lors de son arrivée dans cette petite ville et qu’elle l’avait accepté comme colocataire. Il ne pourrait jamais la remercier autant qu’il ne l’avait déjà fait. Désolée, mais je ne dois pas être à ton gout, et tu n’es pas cannibale, sinon dans ce cas-là, je me serais trompé pendant des mois à vivre avec un psychopathe. S’il te plait, stop, tu vas m’effrayer, et je vais devoir partir, ce qui serait fort dommage, reconnais le. Hum, ne réfléchis pas trop, tu pourrais faire trop travailler ton cerveau. Il leva les yeux au ciel. Si seulement elle connaissait la vérité et elle voyait qu’il n’avait qu’une envie, c’est de la prendre dans ses bras et pouvoir lui montrer qu’il tenait à elle. Il n’avait pas vraiment envie de la manger toute crue, simplement être capable de lui déposer des baisers un peu partout, dans le cou, sur ses épaules, sur ses jours, sur sa délicieuse bouche. Il se mordit la lèvre prenant un air un peu boudeur « Je suis certain que tu as un goût délicieux. Et malgré tout je ne suis pas un psychopathe, quoique, fais attention, enferme-toi le soir dans ta chambre, sait-on jamais que je me faufile dans ton lit et ne te bouffe toute crue ! Tu ne me veux pas ailleurs qu’ici de toute manière, et tu le sais tout aussi bien que moi, je suis une trop bonne compagnie pour que tu me laisses franchir le seuil de cette porte » D’un petit sourire en coin, il fit le beau pour lui prouver qu’elle s’ennuierait sans lui. « Mon cerveau se porte bien, merci de t’en soucier ! Fait attention au tien en revanche » Il fit un clin d’œil à la jeune femme. Cette soirée semblait très bien commencer. Il commençait réellement à dire un peu n’importe quoi mais c’était pour ne pas lui laisser le dernier mot. C’était une sorte de rituel entre eux, qui aurait ou pas le dernier mot. Il m’a vue toute petite, le pauvre va sans aucun doute nous faire une crise cardiaque, et ça sera de ta faute. Quant au mec pervers, si c’est lui, je te préviens, prépare toi à venir à mon secours, et à faire tes valises aussi. Je viens de la mettre en place maintenant. Tu veux vraiment savoir ? Un homme qui me plait, mais j’ai l’impression que ce n’est pas le cas pour lui. On a nos habitudes, nos rituels, et je, je me pose pleins de questions sur lui et moi, mais ce qui est sur c’est que je ne suis pas prête à le laisser sortir de ma vie. Alors tu vas m’aider ? Il prit une mine outrée « Comment ça de ma faute ? Je n’ai rien fais ! Je plaide non coupable ! Vilaine. » puis les révélations commençaient à être mises sur le tapis mais il ne savait toujours pas de qui elle pouvait bien parler malheureusement. Elle avait du mal à lui révéler un peu plus d’informations et lui sortir les vers du nez était tout aussi difficile. « Pourquoi faire nos valises ? Si c’est un pervers, je prendrai toujours ta défense mais je ferais en sorte qu’il s’en aille loin, très loin ! Et puis tu es ici chez toi, alors les valises, elles n’iront nulle part ! Tu ne m’en dis jamais assez, j’espère que tu en es consciente ma chère… Oui je veux tout savoir, pour voir si je peux t’aider ou pas. Comment tu sais que ce n’est pas le cas pour lui, t’a-t-il dit quelque chose qui aurait pu te montrer que tu ne lui plaisais pas ? C’est un collègue à toi ? Des habitudes et des rituels ? Tu commences à me perdre, assez des devinettes, parle franchement ma belle » Il commençait à avoir de réelles soupçons concernant la personne dont elle parlait mais il n’avait pas envie de se faire de fausses idées. Il pensait réellement qu’elle parlait de lui, mais rien n’était sûr, surtout pas avec elle qui arrivait toujours à le mettre sur de fausses pistes. Mais il n’avait pas envie de s’avancer pour qu’elle le recale ensuite, non merci. Mais lui, en tout cas, était attaché à la jeune femme comme jamais, il la voulait toujours près de lui et son quotidien sans elle serait bien triste. Mais il se gardait de le lui dire, de peur qu’elle ne s’en aille en courant où qu’elle ne lui dise de déménager afin de ne pas briser leur amitié pour un malentendu. Ce fut au tour d’Amber d’être mise dans la conversation. Jude ne savait pas comment s’en débarrasser, c’était un vrai calvaire de l’avoir dans les pattes et Jude avait du mal à se cacher d’elle. Il essayait d’être le plus souvent possible secouristes afin de ne pas la voir et de ne pas l’entendre lui parler de ce qu’elle était capable de faire ou ne pas faire par amour. Il se fichait royalement de ses prouesses et de tout le reste. C’était une simple collègue de travail et rien d’autre. Parfois, j’arrive à me poser la question, navrée. Han ben ce n’était pas avec moi, ça. Pourquoi tu ne veux pas réitérer la chose ? Ça doit être super, surtout pour ton corps dénudé et athlétique. On va dire que j’accepte et que je comprends tout à fait que la blondeur n’est pas la même. Si tu veux d’un coup de main pour t’en débarrasser, je peux venir et t’aider. Hum, donc tu as quelqu’un en vue ? il faudrait que tu te lances, au lieu de rester les bras ballants, parce que tu dis être capable de m’aider, j’ai envie de faire de même, Jude. Je ne suis pas cruelle, je veux que tu restes le même, et non pas que tu n’aies les chevilles qui grossissent. Il avait déjà une fois couru deux fois le pâté de maison de sa résidence universitaire et il ne le referait plus jamais. Il n’était pas vraiment pudique, mais il avait tout de même tenu à tenir quelque chose devant son entrejambe afin qu’on ne voit rien. C’était une petite folie de jeunesse rien de plus. « Non merci, une fois m’a suffi ! Je n’ai pas honte de mon corps, mais quand même… Je n’ai pas envie de choquer les gens ! Attention je pourrais te prendre au mot, qu’une bonne fois pour toute elle me lâche mais même si je te présente comme étant ma petite amie, je suis certain que ça ne l’arrêterait pas ! Elle me rend dingue et pas dans le bon sens du terme. Je pourrais aussi t’envoyer un sms avec écris S.O.S pour que tu comprennes mon désarroi ! » Il s’était mis à rigoler avant de reprendre son sérieux et d’ajouter « Non, je n’ai pas envie de me faire jeter comme un mal propre ! Je ne suis pas certain que je l’intéresse autant qu’elle me plait tu sais… » Il sourit à la jeune femme tout en essayant de garder la tête haute sans lui montrer quoique ce soit. C’est cela oui, tu me fais quoi là ? Machine arrière ? je veux mes trois points, sinon tu vas me battre à plat de couture, et ça il en est hors de question mon beau. Il haussa les épaules. C’était elle qui lui avait dit qu’elle pourrait dormir dans ses bras sans avoir à gagner trois points. « C’est l’hôpital qui se fou de la charité là !! C’est toi qui viens de me dire que tu pourrais le faire sans prendre de points, alors moins j’attrape la carotte en vol c’est tout ! Mais je te les offre volontiers tes trois points, mais demain matin… Pour être sûr que tu ne vas pas me faire faux bon. » Il fit un clin d’œil à la jeune femme, lorsqu’elle le mit au défi de la laisser l’embrasser. Mais il prit les devants et l’embrassa passionnément. Il avait attendu ce moment depuis longtemps et il était content de pouvoir enfin goûter à ses douces lèvres. Ce baiser avait été délicat, et passionné, un baiser comme l’avait toujours songé Jude. C’était une toute nouvelle étape dans la relation des deux colocataires mais Jude voulait savoir ce que pensait la jeune femme de tout ça. Sa tête collée contre le torse de Jude, leurs doigts s’entremêlaient les uns aux autres. Jude ne put que sourire lorsqu’il sentit la chaleur d’Autumn. je te proposerai bien d’arrêter le jeu, Jude. Je ne veux plus jouer, plus avec toi. J’aime ce qu’on fait, et ça veut dire bien plus qu’un cap ou pas cap… Il sourit. Il avait l’impression d’être un idiot en souriant de la sorte et toi ? que veux-tu faire ? Il déposa un baiser sur le front de la jeune femme et lui sourit tendrement. « Je ne veux plus jouer non plus, j’attends ça depuis un moment tu sais. Je m’étais juré d’essayer de ne pas penser à ça, de te voir simplement comme une amie, mais c’est trop dur, ta complicité, ta joie de vivre me donne envie de rester ici, auprès de toi… En changeant de vie, je ne pensais pas tomber tout de suite sur une femme comme toi… j’ai essayé de ne pas succomber mais c’est trop dur. » Lui aussi avait envie d’arrêter tout leur petit jeu, du chat et la souris mais il aimait aussi leur cap ou pas cap malgré tout. Il la rapprocha de lui encore une fois et la coucha délicatement sur le canapé afin de pouvoir l’embrasser de nouveau et lui montrer ce qu’il voulait faire, pas forcément coucher avec elle, simplement l’embrasser et la prendre dans ses bras.






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptySam 5 Oct - 21:14


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. « Rien que ça ? Et bien ce soir il semblerait que ce soit ma fête ! Je ne savais pas que c’était aujourd’hui ! Et toi tu es une femme qui veut simplement avoir le dernier mot même lorsqu’elle a tort ! Trop aimable, mais j’aurai préféré aller voir ce qu’il se passe du côté de mon pays plutôt… Et arrête de bouder, tu as des défauts mais ce n’est certainement pas ta couleur de cheveux où ton âge ma belle et tu le sais très bien. Je t’adore comme tu es et tu devrais te satisfaire des simples choses ! Tu n’arrives toujours pas à apaiser ma curiosité ma chère… c’est encore pire même, tu dis un petit bout pour essayer de ne pas en dire plus mais c’est tout le contraire que tu arrives à faire… Car tu dois me dire pourquoi tu ne pouvais pas refuser, tu es même dans l’obligation de me le dire à présent… Je suis bien trop curieux et toi qui es bavarde d’habitude, je t’en prie, lâche-toi ! Autumn n’en revenait pas du bagout que pouvait avoir Jude, parce qu’ils n’en finissaient jamais de se tendre des perches et de se titiller sans cesse, mais il valait mieux ça que s’ils se lançaient la vaisselle en pleine figure. rien que ça ? Ben c’est déjà pas mal j’ai envie de te dire. Ce n’est pas ta fête, sinon tu verrais autre chose, mon Jude adoré. Je suis désolée, mais je ne vais pas dire que j’ai tort quand j’ai raison. Et je ne cherche pas à avoir le dernier mot, enfin presque pas, et ne commence pas à dire ‘ ah ben tu vois que j’ai raison’ sinon je te fais manger un coussin du canapé, et tu ne l’auras pas volé, honnêtement. Ben tu peux y aller également si tu le souhaites, je ne vais pas être un tyran et t’enfermer à la maison, tu pourrais me remercier voire même m’embrasser si tu le souhaites. Je ne boude pas d’un, mais se faire rappeler en permanence sa couleur de cheveux n’est pas très agréable, je peux te le jurer. Je n’ai absolument rien à dire mon mignon, d’ailleurs je ne trouve pas les mots pour t’expliquer cette curieuse sensation. . Il était vrai qu’elle avait du mal à dire pourquoi, pourquoi elle s’était sentie bien à son contact et que c’était toujours le cas aujourd’hui. La blonde avait juste l’impression d’être à sa place, dans cette maison avec lui, comme s’ils formaient une famille sans en être une, ou comme s’ils se connaissaient depuis leur plus tendre enfance alors que ce n’était pas du tout le cas. Enfin, ils se taquinaient, et elle adorait ça, mais elle ne tenait pas à être vue comme un aliment, même si beaucoup s’en sentiraient honorées, surtout si cela venait et sortait de la bouche de ce sublime brun. Je suis certain que tu as un goût délicieux. Et malgré tout je ne suis pas un psychopathe, quoique, fais attention, enferme-toi le soir dans ta chambre, sait-on jamais que je me faufile dans ton lit et ne te bouffe toute crue ! Tu ne me veux pas ailleurs qu’ici de toute manière, et tu le sais tout aussi bien que moi, je suis une trop bonne compagnie pour que tu me laisses franchir le seuil de cette porte. Mon cerveau se porte bien, merci de t’en soucier ! Fait attention au tien en revanche . La blonde commença à sourire et regarda son colocataire avec un air assez peu innocent. Après tout, il la cherchait, donc autant qu’il la trouve, et tant pis si cela ne correspondait pas à ce qu’il attendait Un de mes ex te dirait que la chantilly avait bon gout sur moi, mais bon, je suis tout à fait hors propos et hors sujet. . Bien évidemment qu’elle l’avait fait exprès, rien que pour voir l’air quasi choqué qui pourrait apparaitre sur le visage de son colocataire. Ça en était amusant, réellement. tu n’as pas besoin de me le dire, je le fais déjà. Et tu n’y parviendras pas, pas du tout. Qui t’a dit ça ? Parce qu’honnêtement, je peux très bien me passer de toi, la preuve quand tu n’es pas à la maison, je fais bien avec, que cela te plaise ou non. Le mien se porte très bien, il travaille toujours, contrairement au tien. . La blonde lui avait tiré la langue, à la fin de sa phrase, parce que franchement, vu les petits sous-entendus que le brun avait fait. Et que dire quand elle avait perçu sa petite mine et son Comment ça de ma faute ? Je n’ai rien fais ! Je plaide non coupable ! Vilaine. Pourquoi faire nos valises ? Si c’est un pervers, je prendrai toujours ta défense mais je ferais en sorte qu’il s’en aille loin, très loin ! Et puis tu es ici chez toi, alors les valises, elles n’iront nulle part ! Tu ne m’en dis jamais assez, j’espère que tu en es consciente ma chère… Oui je veux tout savoir, pour voir si je peux t’aider ou pas. Comment tu sais que ce n’est pas le cas pour lui, t’a-t-il dit quelque chose qui aurait pu te montrer que tu ne lui plaisais pas ? C’est un collègue à toi ? Des habitudes et des rituels ? Tu commences à me perdre, assez des devinettes, parle franchement ma belle avant que les révélations ne soient de sortie. Il était vrai que c’était peut-être bien une des premières fois où ils abordaient un tel sujet, mais elle n’avait pas dit son dernier mot, et qu’elle n’était pas prête non plus à dire tout ce qu’elle avait en tête. Maligne et pas bête, surtout pas bête. et pourquoi vilaine ? Arrête de toujours tout me mettre sur le dos. Et pourquoi pas j’ai envie de te dire dire ? Tu es adorable quand tu veux. Mais si je me retrouve face à ce pervers, je t’en voudrais, énormément, mais en même temps, je n’avais qu’à pas dire oui sans vraiment réfléchir. Je, je n’ai pas envie d’en parler Jude, respecte mon choix s’il te plait. Si je lui plaisais, je l’aurais remarqué, il n’y a rien qui puisse laisser transparaitre qu’il aurait envie de bien plus, lui et moi semblons être de simples amis, et ça ne changera sans doute jamais, donc oublie, s’il te plait. . Autumn avait détourné le regard, elle ne pouvait pas lui dire, dire quel était l’homme qui faisait battre son cœur plus vite. En plus, le brun avait attisé sa curiosité en mentionnant le nom d’une femme. Heureusement il lui avait apporté des réponses et cela la rassurait en quelque sorte. Cette fille n’était seulement qu’une pot de colle qui voulait juste mettre Jude dans son lit, pourquoi devrait-elle avoir peur ? Peut-être parce que cette fille devait avoir des atouts et savait s’en servir, elle ? alors que la directrice de l’agence immobilière n’était pas capable de dire quoique ce soit à l’homme qui lui plaisait réellement ? Non merci, une fois m’a suffi ! Je n’ai pas honte de mon corps, mais quand même… Je n’ai pas envie de choquer les gens ! Attention je pourrais te prendre au mot, qu’une bonne fois pour toute elle me lâche mais même si je te présente comme étant ma petite amie, je suis certain que ça ne l’arrêterait pas ! Elle me rend dingue et pas dans le bon sens du terme. Je pourrais aussi t’envoyer un sms avec écris S.O.S pour que tu comprennes mon désarroi ! Non, je n’ai pas envie de me faire jeter comme un mal propre ! Je ne suis pas certain que je l’intéresse autant qu’elle me plait tu sais… . La jeune femme ne savait plus quoi penser, pas vraiment. Elle était perdue, vu que lui à son tour faisait des mystères autour de lui, d’une certaine femme. hum, tu veux préserver mes yeux ou ton corps ? hum, pudique, mon colocataire, j’aime cet aspect de ton caractère mon beau brun. Tu peux compter sur moi, au moins elle pourra constater que tous les hommes ne sont pas à ses pieds ni dans son lit, et dire que tu sais faire preuve de discernement me fait dire que tu es encore mieux que tous les autres hommes. Envoie le moi et j’essaierai de venir, cela te prouvera bien que je ne suis pas si mauvaise que ça. A toi de faire des mystères, tu sais très bien que je peux tout entendre. . Après la minute confessions, ils étaient revenus sur leur cap ou pas cap, et si Jude comptait lui enlever des points tant promis, il pouvait se mettre le doigt dans l’œil et pas qu’un peu. Joueuse, elle l’était et ne voulait pas se faire distancer si aisément. Non mais, il lui avait promis 3 points, elle les voulait, autant joindre l’utile à l’agréable, non ? C’est l’hôpital qui se fou de la charité là !! C’est toi qui viens de me dire que tu pourrais le faire sans prendre de points, alors moins j’attrape la carotte en vol c’est tout ! Mais je te les offre volontiers tes trois points, mais demain matin… Pour être sûr que tu ne vas pas me faire faux bon. . Autumn se mordit la lèvre en le regardant. Oui elle était aussi comme ça la demoiselle, il ne fallait pas lui en vouloir. De suite. Excuse-moi de quand même vouloir accepter des points. Me priver de tes bras et de tes draps, ne compte pas sur moi pour me défiler.. Et voilà que quelques instants d’après, l’heure n’était plus à la discussion, mais à des baisers quelque peu inhabituels entre eux, mais c’était d’autant plus mignon, vu que la passion semblait être au rendez-vous, mais elle ne voulait pas qu’ils grillent toutes leurs cartes d’un coup, et qu’une gêne s’immisce entre eux par la suite. Mais la tête posée contre son torse, ses doigts entremêlés à ceux du brun. La blonde voulait juste savoir ce qu’il en était, c’était bête mais elle préférait ça à un quiproquo. [color=steelblue Je ne veux plus jouer non plus, j’attends ça depuis un moment tu sais. Je m’étais juré d’essayer de ne pas penser à ça, de te voir simplement comme une amie, mais c’est trop dur, ta complicité, ta joie de vivre me donne envie de rester ici, auprès de toi… En changeant de vie, je ne pensais pas tomber tout de suite sur une femme comme toi… j’ai essayé de ne pas succomber mais c’est trop dur. [/color]. Elle sourit, avant de finalement se retrouver allongée sur le canapé, sous lui, ses lèvres à nouveau sur les siennes. Donc je suis la fameuse personne dont tu parlais ? Et si c’est le cas, ça tombe bien, parce que je parlais de toi. Mais c’est pour ça, pour notre amitié, pour tout ce qu’on partage, je ne veux pas qu’on le perde, je ne le supporterai pas. Tu es un homme exceptionnel, un peu que toutes les femmes souhaiteraient, et tu es dans ma vie, on vit ensemble, on s’entend très bien. Chut, ne dis plus rien.. Elle vint l’embrasser tendrement, avant de venir lui murmurer à l’oreille j’en ai marre de me retenir en ta présence. Par contre, on avait dit ensemble, pas sur le canapé, mais dormir ensemble, alors peu importe si on prend mon lit ou ton lit, j’ai envie de t’embrasser, d’être contre toi, dans tes bras, et éviter de me retrouver par terre si je fais un mauvais geste. Je ne dis pas qu’on va.. enfin tu me comprends, mais juste regarder un film, comme ce qu’on est maintenant.. Elle ne voulait pas venir briser leur instant ni mettre un nom sur ce qu’ils étaient, parce que c’était peut-être prématuré, ce qui était sur, c’était qu’elle ne s’attendait pas du tout à ce que la soirée prenne cette tournure. Passant une main derrière la nuque de Jude, elle vint l’embrasser langoureusement, avant de plonger son regard dans le sien et de sourire timidement.
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyDim 6 Oct - 19:28


 
Autumn and Jude





Cap ou pas cap.  ▬ rien que ça ? Ben c’est déjà pas mal j’ai envie de te dire. Ce n’est pas ta fête, sinon tu verrais autre chose, mon Jude adoré. Je suis désolée, mais je ne vais pas dire que j’ai tort quand j’ai raison. Et je ne cherche pas à avoir le dernier mot, enfin presque pas, et ne commence pas à dire ‘ ah ben tu vois que j’ai raison’ sinon je te fais manger un coussin du canapé, et tu ne l’auras pas volé, honnêtement. Ben tu peux y aller également si tu le souhaites, je ne vais pas être un tyran et t’enfermer à la maison, tu pourrais me remercier voire même m’embrasser si tu le souhaites. Je ne boude pas d’un, mais se faire rappeler en permanence sa couleur de cheveux n’est pas très agréable, je peux te le jurer. Je n’ai absolument rien à dire mon mignon, d’ailleurs je ne trouve pas les mots pour t’expliquer cette curieuse sensation. Jude sourit à la jeune femme. Ils se cherchaient constamment que beaucoup les voyait comme un couple et non comme deux colocataires ordinaires. Il leva les yeux au ciel, elle voulait toujours avoir le dernier mot, mais manque de bol ma petite cocotte, Jude aussi avait toujours très envie d’avoir le dernier mot et il comptait bien y arriver. « Hum alors arrête de me contre dire s’il te plait ! Car à ce petit jeu-là, tu finiras bonne dernière ma belle ! Et je sais que tu es une mauvaise perdante en plus ! Et bien si tu as tort ma petite mais ce n’est pas grave je ne t’en veux absolument pas ! Mais cap ou pas cap d’une fois dans ta vie, dire à ton Jude adoré que tu as tort ? » Il fit un clin d’œil à la jeune femme avant d’ajouter « Ha tout de suite les grands mots ma belle ! Tu ne pourras pas me faire manger un seul coussin et tu sais pourquoi ? Parce que tu es beaucoup plus petite que moi et que j’ai plus de force que toi… Donc pour le coup, le coussin se battra avec toi et pas avec moi ! T’embrasser rien que ça ? Et ou voudrais-tu que je t’embrasse, si jamais je devais le faire bien évidemment ? Si tu boudes, regarde-moi cette petite moue que tu me fais ! Je te connais maintenant, je sais ce que tes mimiques représentent tu sais ! Pardonne moi pour ta couleur de cheveux, mais tu sais, je préfère les blondes alors tout ce que je dis sur les blondes, tu peux le prendre pour un compliment, je te le jure ! » Il sourit à la jeune femme. Il n’avait jamais eu de types de femmes mais il est vrai que les dernières petites amies qu’il avait eues avaient toujours été blondes. Et il craquait pour Autumn qui elle aussi était blonde et même parfaite. Il n’avait pas envie de lui faire de la peine, bien au contraire, il voulait qu’elle soit toujours heureuse, souriante, il n’aimait pas la voir triste où déboussolée. Elle était son rayon de soleil et il fallait qu’elle le reste. Un de mes ex te dirait que la chantilly avait bon gout sur moi, mais bon, je suis tout à fait hors propos et hors sujet. Il lui fit les gros yeux. Il n’avait pas envie de parler de ses ex petits amis, ni de connaître ses anciennes histoires avec eux, il allait devenir bien trop jaloux et il n’avait pas envie de se faire prendre la main dans le sac. Il s’en voulait aussi de n’avoir jamais eu l’idée d’essayer quelques petits jeux sympa avec ses anciennes petites amies incluant la chantilly, lui qui était gourmand et qui adorait manger de la chantilly à toutes les sauces ! Il haussa les épaules, faisant mine de s’en fiche un peu mais au fond il n’avait pas envie qu’elle lui dise quoique ce soit sur ce sujet sensible ! « Tu es très loin effectivement, mais bon, je n’ai pas besoin de demander à l’un de tes ex, j’essaierai bien moi-même lorsque j’aurai envie de faire un petit cap ou pas cap ! »Il fit un clin d’œil à la jeune femme. Il ne lui montra rien, il avait envie qu’elle cherche à savoir s’il était sérieux ou s’il rigolait. Mais il pouvait être très sérieux. Il le lui dirait en temps voulu. Tu n’as pas besoin de me le dire, je le fais déjà. Et tu n’y parviendras pas, pas du tout. Qui t’a dit ça ? Parce qu’honnêtement, je peux très bien me passer de toi, la preuve quand tu n’es pas à la maison, je fais bien avec, que cela te plaise ou non. Le mien se porte très bien, il travaille toujours, contrairement au tien. Il lui fit les gros yeux lorsqu’elle lui tira la langue. Tous les deux n’étaient pas croyables, ils se titillaient sans cesse et allaient surement se brûler rapidement les ailes à continuer de la sorte. « Ranges moi cette langue ! Ha bon tu pourrais te passer de moi ? Pour plus qu’une journée ? Et bien, si tu veux je peux aussi faire tout de suite mes valises et partir chez la voisine si tu veux !! »Il commença à se lever pour faire semblant d’aller faire ses valises. Il n’était bien sûr pas du tout sérieux, s’il devait partir d’ici, il irait chez un ami et non chez la voisine qu’il ne trouvait pas du tout à son avantage. Il commença à faire une petite moue tristounette et essaya de faire les yeux de chat botté à la jeune femme. Et pourquoi vilaine ? Arrête de toujours tout me mettre sur le dos. Et pourquoi pas j’ai envie de te dire dire ? Tu es adorable quand tu veux. Mais si je me retrouve face à ce pervers, je t’en voudrais, énormément, mais en même temps, je n’avais qu’à pas dire oui sans vraiment réfléchir. Je, je n’ai pas envie d’en parler Jude, respecte mon choix s’il te plait. Si je lui plaisais, je l’aurais remarqué, il n’y a rien qui puisse laisser transparaitre qu’il aurait envie de bien plus, lui et moi semblons être de simples amis, et ça ne changera sans doute jamais, donc oublie, s’il te plait Les révélations étaient de sorties mais Jude n’était pas prêt de dire un mot. Il n’avait pas envie de lui dire que c’était elle pour qui il craquait et il n’avait pas envie de peut-être bousiller leur amitié et leur colocation pour quelque chose qui ne serait surement pas réciproque. La jeune femme était belle, adorable et elle avait toutes les qualités pour attirer n’importe quels hommes, alors pourquoi choisir Jude, qui avait quitté New-York pour avoir une nouvelle vie. « Je ne te met jamais rien sur le dos ! Non mais ! Et puis si tu étais un peu plus sage, peut-être que j’arrêterai de dire de telles choses hein ! M’en vouloir ? Et pourquoi ? Je n’ai rien fait moi ! Ce n’est pas de ma faute si tu attires parfois de gens un peu bizarres ma belle ! Très bien mais si tu souhaites m’en parler, ma porte est toujours ouverte, j’espère que tu le sais choupinette » Il lui déposa un baiser sur la joue avant de la prendre dans ses bras. Il ne savait pas de qui elle pouvait bien parler, il n’avait jamais été très doué pour voir ce genre de chose mais il espérait que tout aille bien pour elle. Elle se devait d’être heureuse, elle méritait quelqu’un de bien, d’affectueux et quelqu’un qui serait toujours là pour elle tout en lui laissant sa liberté et son indépendance. Peut-être espérait-il pouvoir être cet homme un jour… Si seulement. Hum, tu veux préserver mes yeux ou ton corps ? hum, pudique, mon colocataire, j’aime cet aspect de ton caractère mon beau brun. Tu peux compter sur moi, au moins elle pourra constater que tous les hommes ne sont pas à ses pieds ni dans son lit, et dire que tu sais faire preuve de discernement me fait dire que tu es encore mieux que tous les autres hommes. Envoie le moi et j’essaierai de venir, cela te prouvera bien que je ne suis pas si mauvaise que ça. A toi de faire des mystères, tu sais très bien que je peux tout entendre. Ils commençaient réellement à jouer avec le feu et se cherchaient bien plus qu’avec un simple cap ou pas cap. Certaines allusions pouvaient paraître plus qu’une simple amitié. C’était même plus qu’une simple amitié, c’était du flirt pur et dur. « Tes yeux, car mon corps, je peux te le montrer y’a pas de soucis, enfin certaines parties de mon corps ne sont réservés qu’à la personne qui partagera ma vie… Désolée ma belle ! A moins que tu veuilles signer pour me voir … Mais oui j’aime préserver mon petit jardin secret… Elle ne comprend pas, j’ai beau lui dire non mainte et mainte fois, elle revient à la charge et aujourd’hui j’ai réussi à l’esquiver. Mais j’ai bien peur qu’elle ne revienne à la charge ! Elle m’a même dit qu’elle n’était pas jalouse et qu’elle pouvait me partager… Oui je le sais ma belle, mais je préfère ne pas continuer sur cette pente si tu le veux bien. » Il sourit à la jeune femme. Il n’allait pas lui dire que c’était elle qu’il voulait et pas une autre femme. Ce n’était pas le bon moment et il ne voulait pas que leur amitié ne s’achève brusquement si elle n’était pas du même avis. De suite. Excuse-moi de quand même vouloir accepter des points. Me priver de tes bras et de tes draps, ne compte pas sur moi pour me défiler. Il était bon joueur et lui donnerait donc ses points mais le lendemain matin pour ne pas qu’elle s’esquive. « Je te les donnerai mais comme je te l’ai dit, tu les auras demain matin, pour ne pas que tu t’esquives entre temps !! Et puis rien ne me dis que tu resteras avec moi toute la nuit… » Il fit un clin d’œil à la jeune femme avant d’ajouter « Alors, si je comprends bien, mademoiselle aime mes bras et mes draps ? C’est bon à savoir… » Il lui fit un petit sourire coquin. Finalement, l’heure n’était plus aux confidences mais bel et bien aux gestes. Ils commencèrent alors à s’embrasser et la passion prit le dessus sur le jeu. Jude se sentit pousser des ailes et vraiment soulagé de voir que la jeune femme ressentait la même chose que lui. Leur amitié ? Tant pis, vu leur caractère, elle n’allait surement pas en pâtir si jamais ils décidaient de ne pas continuer mais il était certain qu’ils allaient faire un bout de chemin ensembles. Il tenait beaucoup trop à la jeune femme. Une fois installés tous les deux, l’un contre l’autre, Jude profitait de ce moment pour la toucher et déposer ses mains sur sa peau douce. Il laissa ensuite ses doigts rencontrer ceux de la jeune femme. Il aimait déjà cette sensation et n’avait pas envie que ce moment s’arrête. Donc je suis la fameuse personne dont tu parlais ? Et si c’est le cas, ça tombe bien, parce que je parlais de toi. Mais c’est pour ça, pour notre amitié, pour tout ce qu’on partage, je ne veux pas qu’on le perde, je ne le supporterai pas. Tu es un homme exceptionnel, un peu que toutes les femmes souhaiteraient, et tu es dans ma vie, on vit ensemble, on s’entend très bien. Chut, ne dis plus rien... Au-dessus de la jeune femme, il n’avait pas envie d’aller plus loin. Du moins pas pour le moment. Il avait simplement envie de l’embrasser et de la sentir contre lui. « Oui tu l’es… Je ne voulais pas te le dire parce que je ne savais pas ce que tu pouvais ressentir et je ne voulais pas mettre en péril notre amitié et cette colocation que j’aime tant. Mais tu es attirante, tu es mon type de femme et ton caractère correspond parfaitement au mien. J’aime ta compagnie, nos petits jeux et même si je ne veux plus jouer, je veux que notre complicité continue de la sorte. Alors tu parlais aussi de moi ? Et bien tu m’en vois ravie ma belle, je suis content de savoir que nous partageons la même pensée… On ne perdra rien, je te le promets, mais je n’ai plus envie de me retenir, c’est bien trop dur et maintenant que je sais ce que tu éprouves, je ne peux pas te laisser comme ça… » Il lui sourit et l’embrassa de nouveau. Il n’ajouta rien j’en ai marre de me retenir en ta présence. Par contre, on avait dit ensemble, pas sur le canapé, mais dormir ensemble, alors peu importe si on prend mon lit ou ton lit, j’ai envie de t’embrasser, d’être contre toi, dans tes bras, et éviter de me retrouver par terre si je fais un mauvais geste. Je ne dis pas qu’on va.. enfin tu me comprends, mais juste regarder un film, comme ce qu’on est maintenant… Sans rien dire, il se leva et prit la main de la jeune femme. Il passa par la cuisine pour récupérer les deux verres de vins, prit la bouteille et entraîna la jeune femme au premier étage afin d’aller dans sa chambre. Il sourit de nouveau, posa bouteilles et verres sur la table de nuit, embrassa Autumn délicatement sur les lèvres et alluma la télé. Toujours torse nu, il se plaça correctement sur le lit « Mes bras t’attendent, et tu choisi ce que tu veux regarder, je ne suis pas difficile, tu le sais et puis tant que tu es dans mes bras, je n’ai pas besoin de regarder quoique ce soit. » Il sourit à la jeune femme et l’accueilli dans ses bras. Il déposa un baiser sur sa tête. Un nouveau baiser échangé, Jude était le plus heureux. Il donna la télécommande à la jeune femme pour qu’elle choisisse son programme, mais lui avait simplement envie de pouvoir l’embrasser tout le reste de la soirée.






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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyLun 7 Oct - 18:38


Jude & Autumn

L'amour est le seul jeu auquel , quand on refuse d'y jouer, on risque de tout perdre. Hum alors arrête de me contre dire s’il te plait ! Car à ce petit jeu-là, tu finiras bonne dernière ma belle ! Et je sais que tu es une mauvaise perdante en plus ! Et bien si tu as tort ma petite mais ce n’est pas grave je ne t’en veux absolument pas ! Mais cap ou pas cap d’une fois dans ta vie, dire à ton Jude adoré que tu as tort ? Ha tout de suite les grands mots ma belle ! Tu ne pourras pas me faire manger un seul coussin et tu sais pourquoi ? Parce que tu es beaucoup plus petite que moi et que j’ai plus de force que toi… Donc pour le coup, le coussin se battra avec toi et pas avec moi ! T’embrasser rien que ça ? Et ou voudrais-tu que je t’embrasse, si jamais je devais le faire bien évidemment ? Si tu boudes, regarde-moi cette petite moue que tu me fais ! Je te connais maintenant, je sais ce que tes mimiques représentent tu sais ! Pardonne moi pour ta couleur de cheveux, mais tu sais, je préfère les blondes alors tout ce que je dis sur les blondes, tu peux le prendre pour un compliment, je te le jure ! . Le sourire de Jude était un véritable trésor, auquel la blonde qu’était Autumn ne pouvait résister. Certes ses mots ne pouvaient pas lui donner envie de lui sauter au cou, ou d’éclater de rire, mais il fallait bien avouer qu’elle ne pouvait pas du tout lui en vouloir. C’était tout bonnement impossible. ça jamais, sinon cela voudrait dire que tu as gagné, et ça, crois moi, ce n’est pas prêt d’arriver de si tôt, parce que je suis coriace, et que je ne laisse rien passer. Alors prépare-toi à te faire laminer mon beau, et je ne serais surement pas dernière. Non pas cap, vu que je n’ai jamais tort ahah. Petite veut dire plus rapide, que ça te plaise ou non. Alors monsieur le râleur, il va falloir que tu te calmes. Où je voudrais que tu m’embrasses ? C’est une bonne question. J’aurais bien dit où tu veux, mais j’ai un peu peur, du coup,, je dirai sur la joue, ou sur le nez. Ça te va ? Ce n’est pas trop te demander ? Oui et ben mes mimiques hein. Han donc je serais dans ton genre de femmes ? Enfin si on était autre que des coloc’ ? Blonde pour Jude, à noter dans le calepin. Merci pour le compliment alors.. . Elle l’avait alors gratifié d’un sourire, avant de venir l’embrasser tendrement sur la joue pour ce compliment qui lui faisait chaud au cœur. Elle n’avait jamais cherché à réfléchir au type d’hommes qui lui plaisait, peu lui importait si c’était un brun, un blond, il y avait d’autres critères qui entraient en compte, et c’étaient ceux là que privilégiait la blonde, un esprit et non pas un physique. Elle n’était pas ce genre de jeunes femmes qui ne pensaient qu’à l’apparence. Non, elle était beaucoup moins superficielle que ça quand même. mais comme toutes les femmes, elle lui avait fait part d’un petit point de détail de sa vie privée, rien que pour le faire réagir, et à en croire Tu es très loin effectivement, mais bon, je n’ai pas besoin de demander à l’un de tes ex, j’essaierai bien moi-même lorsque j’aurai envie de faire un petit cap ou pas cap ! , ainsi que les gros yeux qu’il avait pu faire, cela avait fonctionné. La preuve qu’il était tout à fait prévisible. Lui lançant un regard courroucé, elle ne put que répondre Désolée, mais tu m’as trop tentée là. Ah oui, donc un cap pas cap à manger sur moi ? Hum, tu en es capable, je le sais à présent, donc qui sait, je pourrais te le lancer prochainement . A vrai dire, elle se sentait quelque peu mal à l’aise en se disant que les lèvres du brun pourraient se poser sur son corps, et elle était à la limite de frissonner en imaginant la scène, mais bon elle avait de sérieux doutes quant à la véracité de ses propos, donc une porte pouvait toujours se présenter. Enfin pour le moment, il fallait bien qu’ils passent à autre chose. Ranges moi cette langue ! Ha bon tu pourrais te passer de moi ? Pour plus qu’une journée ? Et bien, si tu veux je peux aussi faire tout de suite mes valises et partir chez la voisine si tu veux !! . Autum le provoqua un peu plus, et tira une nouvelle fois la langue. Qu’est ce qu’il pourrait bien lui faire ? Rien du tout, alors autant le taquiner et pousser le bouchon encore plus loin. non, je ne la rangerai pas. Tu veux qu’on fasse un cap pas cap pour voir si je peux me passer de toi ? Mais vas-y je ne te retiens pas, je suis sure qu’elle te fera ton lit, et qu’elle se mettra même dedans si tu le souhaites. . Elle n’avait pas pu s’empêcher de faire ce petit commentaire, vu qu’il avait fait semblant de partir. Non mais, elle aurait presque pu lui tenir la porte, mais elle était persuadée qu’elle l’aurait retenu. Jude était trop important à ses yeux, et il était hors de question qu’il disparaisse de sa vie si aisément. C’était tout simplement inconcevable d’ailleurs. Je ne te met jamais rien sur le dos ! Non mais ! Et puis si tu étais un peu plus sage, peut-être que j’arrêterai de dire de telles choses hein ! M’en vouloir ? Et pourquoi ? Je n’ai rien fait moi ! Ce n’est pas de ma faute si tu attires parfois de gens un peu bizarres ma belle ! Très bien mais si tu souhaites m’en parler, ma porte est toujours ouverte, j’espère que tu le sais choupinette . Autumn se mit à rougir. A chaque fois qu’il y avait un petit surnom, elle avait les joues qui s’empourpraient. Ce n’était pas nouveau, mais là, cela la touchait d’autant plus. oui, ben on ne dirait pas. Genre je ne suis pas sage ? tu es sérieux là ? Je suis persuadée qu’il y aurait des colocataires pire que moi, alors si tu ne me trouves pas assez gentille…. Je t’en voudrais si le pervers me saute dessus, ou me voit dans cette tenue, parce qu’il me fait bien assez flipper sans rajouter ce petit détail. Vas-y, dis moi quelle personne étrange j’ai déjà attirée, et après on parlera des tiennes mon bichon. T’es adorable, mais toi, tu vis avec moi, et imagine si je te parle de ça et que tu te sens du coup mal à l’aise ? je n’ai pas envie de tout gâcher mon Jude. . A présent dans ses bras, elle avait brièvement fermé les yeux en se demandant comment on pouvait dire à un homme qu’il nous plaisait sans vraiment le lui dire. Complexe ? À peine. Mais elle était bien là, et elle se disait qu’il était vraiment un homme parfait, qui se devait de tomber sur une fille bien et pas sur une comme celle qu’il avait décrit et qui lui courait après. Et si elle se retrouvait en face de cette Amber, elle était capable de lui en coller une pour éviter qu’elle ne s’approche de lui. Tes yeux, car mon corps, je peux te le montrer y’a pas de soucis, enfin certaines parties de mon corps ne sont réservés qu’à la personne qui partagera ma vie… Désolée ma belle ! A moins que tu veuilles signer pour me voir … Mais oui j’aime préserver mon petit jardin secret… Elle ne comprend pas, j’ai beau lui dire non mainte et mainte fois, elle revient à la charge et aujourd’hui j’ai réussi à l’esquiver. Mais j’ai bien peur qu’elle ne revienne à la charge ! Elle m’a même dit qu’elle n’était pas jalouse et qu’elle pouvait me partager… Oui je le sais ma belle, mais je préfère ne pas continuer sur cette pente si tu le veux bien. . Autumn s’était mise à sourire, même si elle se sentait défaillir. Oui, parce qu’il y avait donc une femme qui lui plaisait et c’était comme si elle le sentait partir, donc autant dire que c’était quelque peu difficile. .han mais tu es trop chou dis moi. Mais mes yeux vont très bien, ne t’en fais pas pour ça, même si c’est touchant que tu t’en soucies. Hum, mais je n’ai pas demandé à tout voir non plus, je te rassure. Elle aura juste de la chance, c’est tout. Signer ? Où ? Tu sais que je demanderai un contrat d’exclusivité, parce qu’il est hors de question que je te partage. Mais tu n’as pas besoin de moi, alors préserve ton jardin, je t’en supplie. Il faudrait que tu lui dises autre chose, je ne sais pas. Oui, et ben si je lui fais voir mes crocs, tu vois qu’elle voudra s’approcher et te tenter ? D’accord, ne dis rien alors, je comprends aisément. . C’était la première fois qu’elle se montrait féroce, et le défendre. Même si pour ça, elle devait faire semblait d’être sa petite amie. Non mais pour qui se prenait cette Amber à vouloir absolument mettre son brun dans son lit. Non mais ça n’allait pas le faire longtemps. Alors bien évidemment quand ils avaient parlé de gagner des points, la blonde avait bien évidemment mis en avant le fait qu’il n’y avait pas besoin de point pour qu’elle dorme avec lui, mais il ne fallait pas abuser quand même. Le brun la lui jouait à l’envers, et il était hors de question qu’elle renonce à ses points. Je te les donnerai mais comme je te l’ai dit, tu les auras demain matin, pour ne pas que tu t’esquives entre temps !! Et puis rien ne me dis que tu resteras avec moi toute la nuit… Alors, si je comprends bien, mademoiselle aime mes bras et mes draps ? C’est bon à savoir… . Son sourire lui fit mordre la lèvre, et elle passa instinctivement une main dans ses cheveux. .tu crois vraiment que j’en serais capable ? Ma parole ne semble plus rien valoir alors. Si je resterai toute la nuit, je peux te le garantir. Tes bras, je les adore, tes draps, je ne les ai pas testés, pas encore…. Lui adressant un clin d’œil, elle avait éclaté de rire. C’était la stricte vérité après tout, non ? ils adoraient se prendre dans les bras mais ils n’avaient pas essayé de dormir ensemble, en tout bien tout honneur bien évidemment. Sauf que maintenant, les baisers étaient loin d’être chastes, ils avaient changé du tout au tout. Et Autumn se sentait à son aise et extrêmement bien, en sentant les lèvres du plus que sexy sur les siennes. C’était un peu comme si c’était naturel entre eux. Elle était à son aise dans ses bras, dans leurs baisers. Seulement, elle avait peur et besoin de savoir en même temps où ils en étaient et où ils allaient surtout. Oui tu l’es… Je ne voulais pas te le dire parce que je ne savais pas ce que tu pouvais ressentir et je ne voulais pas mettre en péril notre amitié et cette colocation que j’aime tant. Mais tu es attirante, tu es mon type de femme et ton caractère correspond parfaitement au mien. J’aime ta compagnie, nos petits jeux et même si je ne veux plus jouer, je veux que notre complicité continue de la sorte. Alors tu parlais aussi de moi ? Et bien tu m’en vois ravie ma belle, je suis content de savoir que nous partageons la même pensée… On ne perdra rien, je te le promets, mais je n’ai plus envie de me retenir, c’est bien trop dur et maintenant que je sais ce que tu éprouves, je ne peux pas te laisser comme ça… . Les doigts entremêlés, échangeant encore des baisers. .Pourquoi tu ne m’en parlais pas, Jude ? Moi qui avais tant peur de te le dire… c’est justement pour ces mêmes raisons que je ne voulais rien te dire, parce que je tiens trop à toi, pour tout effacer justement. Hum, donc comme les deux pièces d’un puzzle alors ? Genre en mieux, c’est ça, ou comme les doigts de nos mains, entremêlés. Jude, elle continuera, enfin je peux te garantir que je ne vais pas changer du tout au tout, parce que je tiens à toi, que ça, c’est peut-être ce qui nous attendait depuis le début. Alors laisse-toi aller, parce que j’aime ça… . Elle avait repris possession de ses lèvres, avant de lui suggérer d’aller ailleurs dans sa chambre, où ils s’étaient rendus. Mes bras t’attendent, et tu choisi ce que tu veux regarder, je ne suis pas difficile, tu le sais et puis tant que tu es dans mes bras, je n’ai pas besoin de regarder quoique ce soit. . Ils étaient dans les bras l’un de l’autre, et il avait même allumé la télé. Elle l’avait enlacé avant de se reculer. Tu me permets d’aller me changer ? Histoire que je sois plus à l’aise ?… . Elle l’avait embrassé, en laissant promener son doigt sur son torse, et se dépêcha d’aller prendre ses affaires et de se diriger vers la salle de bains où elle se doucha rapidement, avant d’enfiler ses sous-vêtements sexys et de prendre sa nuisette préférée par-dessus. Retournant dans la chambre, elle prit la pose, en lui dévoilant ce qu’elle portait et de murmurer, en se rapprochant de lui. .J’espère que je n’ai pas été trop longue quand même. Bon alors, que dis tu de ma tenue pour demain matin ? . Elle avait levé doucement sa nuisette, rien que pour voir sa tête. Venant s’installer sur le lit dans ses bras, elle posa sa tête sur le torse de Jude, après l’avoir embrassé tendrement. Alors, qu’est ce que tu nous as mis pour ce soir ?… . Un sourire s’était dessiné sur ses lèvres, tout était normal et cela leur faisait du bien d’être ainsi.
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MessageSujet: Re: Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude   Cap ou pas cap, encore et toujours ► Jude EmptyMer 9 Oct - 14:51


 
Autumn and Jude





Cap ou pas cap.  ▬ La première fois que Jude avait vu Autumn, avait été le jour de son entretien pour devenir son colocataire. Il y’avait déjà deux autres personnes avec elle, un couple et la jeune femme recherchait une quatrième personne afin de ne pas devoir tenir la chandelle. Il avait tout de suite remarqué la beauté de la jeune femme et avait tout fait pour être à la hauteur de ses espérances. Il était nouveau en ville, sans attaches ici, pas même à New-York puisqu’il ne parlait plus à sa famille et avait tout simplement envie de changer complètement de paysage. Alors, il avait espéré qu’elle lui laisse sa chance et effectivement, c’est ce qu’elle fit. Ravi de pouvoir emménager tout de suite dans cette magnifique demeure, le jeune homme s’était tout de suite lié d’amitié avec la jeune femme et ils avaient très vite commencé leur petit jeu. Autant dire que ce petit jeu avait très fortement augmenté lorsque les deux colocataires les avaient laissés tomber pour se prendre un appartement. Ca jamais, sinon cela voudrait dire que tu as gagné, et ça, crois moi, ce n’est pas prêt d’arriver de si tôt, parce que je suis coriace, et que je ne laisse rien passer. Alors prépare-toi à te faire laminer mon beau, et je ne serais surement pas dernière. Non pas cap, vu que je n’ai jamais tort ahah. Petite veut dire plus rapide, que ça te plaise ou non. Alors monsieur le râleur, il va falloir que tu te calmes. Où je voudrais que tu m’embrasses ? C’est une bonne question. J’aurais bien dit où tu veux, mais j’ai un peu peur, du coup,, je dirai sur la joue, ou sur le nez. Ça te va ? Ce n’est pas trop te demander ? Oui et ben mes mimiques hein. Han donc je serais dans ton genre de femmes ? Enfin si on était autre que des coloc’ ? Blonde pour Jude, à noter dans le calepin. Merci pour le compliment alors… Il l’aurait parié ça qu’elle n’accepterai pas de dire qu’il avait raison et qu’elle avait tort. Tant pis elle manquait un petit point et elle était encore un peu à la traine. Il haussa les épaules, c’était très facile de l’embrasser sur la joue même s’il aurait aimé qu’elle mette un peu de piquant et qu’elle lui dise de le faire sur la bouche. Mais il lui sourit et lui déposa un doux baiser sur la joue puis un sur le nez avant de lui faire un clin d’œil. « Je vois bien que tu es coriace ! Mais des fois tu sais il faut admettre sa défaite, ça ne fait pas de mal tu sais. D’un coup je tremble comme une feuille face à tes petites menaces. » il se mit à rire avant d’ajouter « Non finalement, je n’ai pas peur d’un petit être comme toi Autumn ! Je ne suis pas un râleur, et je vais vraiment finir par te bouder si tu continues comme ça ! Et puis petite veut bien dire ce que ça veut dire hein… petite quoi ! J’espère que tu as apprécié mes deux baisers, ils ont été déposés avec amitié sur ton joli minois ma belle ! Je n’ai pas dit ça, tu as mal entendu ! » Il lui fit un sourire, il ne voulait pas trop en dire, déjà qu’elle savait qu’il aimait les blondes… enfin pas toutes les blondes car Amber, s’il pouvait s’en débarrasser, ce serait vraiment un pur bonheur. Jude n’était de toute manière pas un homme difficile, si une femme lui plaisait, que ce soit brune ou blonde, alors il ferait un pas, sauf dans le cas présent car l’amitié qu’il entretenait avec Autumn était vraiment particulière et il y tenait plus que tout. Sa dernière petite amie avait été blonde, son type de fille était blonde, mais il était déjà sorti avec des brunes et pourtant aujourd’hui encore, c’était une blonde qu’il appréciait, une blonde avec qui il avait envie d’aller plus loin… Il se fichait un peu de l’apparence, même s’il elle devait tout de même être à son goût. Par exemple, prenons Autumn, c’était une très belle femme certes mais il était tombé avant tout sous le charme de sa personnalité, de ses délires. Oui oui, vous pouvez penser que c’est du n’importe quoi, que les hommes sont tous pareils, des machos, des pervers qui ne veulent que des corps bien fait et pourtant Jude n’était pas comme ça, il ne l’avait jamais été. Bien évidemment, il aime le sexe, il aime les relations amoureuses mais il veut quelqu’un qui le comprenne, quelqu’un avec qui il n’est pas prêt de s’ennuyer. Quand on vous disait que c’était un nounours avec un cœur tendre comme dans la pub enigma, c’était bel et bien la vérité ! Désolée, mais tu m’as trop tentée là. Ah oui, donc un cap pas cap à manger sur moi ? Hum, tu en es capable, je le sais à présent, donc qui sait, je pourrais te le lancer prochainement Il eut un petit sourire en coin. C’était intéressant ce qu’elle venait de lui dire et il serait capable de relever le défi haut la main ! Pas sûr en revanche de résister ensuite au corps de la jeune femme… Mais il serait capable de relever le défi sans une once d’hésitation. « Je pourrai relever le défi sois en certaine ! Mais ne dis pas des choses que tu ne feras pas, ne me met pas l’eau à la bouche avec des caps ou pas caps que tu n’arriveras pas à me lancer ! » Il lui fit un clin d’œil accompagné d’un large sourire. Il essayait de voir si la jeune femme aurait assez de cran pour lui lancer ce défi ou si elle allait se résigner. Il arrivait fortement à s’imaginer poser ses lèvres sur son corps et à la titiller fortement. Il aimait jouer tout en se montrant toujours honnête. non, je ne la rangerai pas. Tu veux qu’on fasse un cap pas cap pour voir si je peux me passer de toi ? Mais vas-y je ne te retiens pas, je suis sure qu’elle te fera ton lit, et qu’elle se mettra même dedans si tu le souhaites. Elle venait de lui tirer la langue une seconde, il aurait pu la lui faire manger mais il préféra simplement lever les yeux au ciel. « Je pense que si nous faisons un cap ou pas cap afin de voir tout ça, tu serais bien incapable de résister une heure… et tu le sais très bien ! Je le sais, c’est tout et tu sais que j’ai toujours raison. Serait-ce une petite pointe de jalousie que je vois ici ? » Il fit un clin d’œil à la jeune femme. Il avait toujours pensé qu’Autumn n’aimait pas la voisine mais il ne savait pas pourquoi. Ok, elle jouait un peu les desperate housewife alors qu’elle était toujours avec un homme différent. Beaucoup ne l’aimait pas parce qu’elle avait des allures de prostituée et qu’elle cherchait toujours à finir avec un homme le soir, mais au fond, personne ne la connaissait, pas même Jude. Oui, ben on ne dirait pas. Genre je ne suis pas sage ? tu es sérieux là ? Je suis persuadée qu’il y aurait des colocataires pire que moi, alors si tu ne me trouves pas assez gentille…. Je t’en voudrais si le pervers me saute dessus, ou me voit dans cette tenue, parce qu’il me fait bien assez flipper sans rajouter ce petit détail. Vas-y, dis moi quelle personne étrange j’ai déjà attirée, et après on parlera des tiennes mon bichon. T’es adorable, mais toi, tu vis avec moi, et imagine si je te parle de ça et que tu te sens du coup mal à l’aise ? je n’ai pas envie de tout gâcher mon Jude. Il se mit à rigoler face aux mimiques de la jeune femme. Elle ne marchait pas, elle courait et c’était plutôt adorable à voir. Il l’avait prise un peu dans ses bras pour la rassurer et lui montrer combien il l’appréciait et appréciait sa compagnie. Tout le temps. Elle était devenue très importante pour lui le jour où elle avait accepté cette colocation. Il avait tout de suite compris qu’ils allaient s’entendre à merveille tous les deux et qu’ils allaient bien s’amuser aussi. Il n’y avait pas d’âge pour s’amuser et ils le prouvaient tous les jours un peu plus même si parfois leur petit jeu se transformait rapidement en flirt. « Hum, non tu n’es pas toujours sage et je vais peut-être devoir être un peu plus ferme … te bouder un petit peu, ou bien jouer au roi du silence… je ne sais pas, peut-être même t’attacher au sous-sol… enfin à voir quoi ! Awww voyons, il ne t’arrivera rien, je te le promets, je serai juste derrière la fenêtre à regarder ce qu’il se passe, si jamais il s’approche un peu trop, il aura affaire à moi ! Non merci, je n’ai pas besoin qu’on me rappelle les personnes bizarres que j’ai déjà attirée, il m’en reste une à l’hôpital ça ira très bien ! » Il n’ajouta rien d’autre ne voulant pas qu’un malaise supplémentaire ne s’installe entre eux alors qu’ils avaient bien commencé la soirée. Han mais tu es trop chou dis moi. Mais mes yeux vont très bien, ne t’en fais pas pour ça, même si c’est touchant que tu t’en soucies. Hum, mais je n’ai pas demandé à tout voir non plus, je te rassure. Elle aura juste de la chance, c’est tout. Signer ? Où ? Tu sais que je demanderai un contrat d’exclusivité, parce qu’il est hors de question que je te partage. Mais tu n’as pas besoin de moi, alors préserve ton jardin, je t’en supplie. Il faudrait que tu lui dises autre chose, je ne sais pas. Oui, et ben si je lui fais voir mes crocs, tu vois qu’elle voudra s’approcher et te tenter ? D’accord, ne dis rien alors, je comprends aisément. Amber avait été mise sur le tapis, car Jude ne supportait plus de la voir lui tourner autour alors qu’il lui avait expressément dis qu’il n’avait pas envie d’elle, qu’il ne la voudrait jamais et qu’elle devait s’arrêter là. Rien n’y faisait, c’était une tête à claque et il n’en pouvait décidément plus. Travailler avec elle était vraiment insupportable. La seule fois ou Jude l’avait vu autrement avait été la première fois qu’il lui avait parlé. Elle était en train de pleurer dans les vestiaires, seule et il lui avait demandé pourquoi un tel chagrin. Depuis elle semblait faire une fixette sur lui. « Sait-on jamais pour tes yeux, nous ne sommes pas à l’abris d’un effet de lumière important tu comprends ! Amber est assez particulière, il faut lui répéter les choses vraiment beaucoup de fois pour qu’elle comprenne… ou pas ! Pas besoin de signer, je t’emmène avec moi à ma prochaine garde et tu la verras de tes propres yeux ! Elle peut aussi bien jouer les garces que les pouffes en puissance… Enfin tu vois le genre ! Ce n’est vraiment pas mon type de femme celle-ci… Tu peux lui montrer tes crocs, mais attention, elle en a aussi ! » Il se mit à rire. Il ne plaisantait pas tant cette femme était une accro aux hommes. Il ne comprenait pas comment elle avait pu être acceptée dans un établissement hospitalier. Elle devait surement avoir plusieurs facettes … Il aimait voir Autumn attentive et prête à l’aider. Il trouvait ça adorable de sa part même si elle n’était absolument pas obligée de le faire. Il ne voulait pas qu’elle s’embête avec ça. C’était son problème, pas le sien. Tu crois vraiment que j’en serais capable ? Ma parole ne semble plus rien valoir alors. Si je resterai toute la nuit, je peux te le garantir. Tes bras, je les adore, tes draps, je ne les ai pas testés, pas encore… Il n’en savait rien du tout mais elle pourrait très bien le faire. Alors il devait se préparer à toutes éventualités avant de lui accorder les 3 points qu’il lui avait promis. Il avait confiance en Autumn, il cherchait juste un peu à la titiller voilà tout, mais elle courrait toujours, c’était vraiment marrant. « Pas du tout !! Mais tu sais ce qui est drôle ma chérie ? C’est que tu ne marches pas, tu cours et je t’adore pour ça ! Ta parole est la chose la plus sûr que je puisse avoir alors arrête de bouder un petit peu ! Alors vivement qu’on puisse se retrouver dans mon lit… que je puisse te serrer fort … » Il sourit à la jeune femme et ne dis plus un mot. Il en avait déjà trop dit et la jeune femme allait voir qu’il parlait d’elle et non d’une autre s’il continuait ses insinuations. Mais cette conversation fut vite remplacer par une tonne de baisers qui avaient commencé à être distribués. Il l’avait prise contre lui pour y déposer une tonne de baisers sur ses lèvres. Il avait attendu ça depuis un moment et aujourd’hui il était content de pouvoir l’embrasser. Pourquoi tu ne m’en parlais pas, Jude ? Moi qui avais tant peur de te le dire… c’est justement pour ces mêmes raisons que je ne voulais rien te dire, parce que je tiens trop à toi, pour tout effacer justement. Hum, donc comme les deux pièces d’un puzzle alors ? Genre en mieux, c’est ça, ou comme les doigts de nos mains, entremêlés. Jude, elle continuera, enfin je peux te garantir que je ne vais pas changer du tout au tout, parce que je tiens à toi, que ça, c’est peut-être ce qui nous attendait depuis le début. Alors laisse-toi aller, parce que j’aime ça… Il sourit tout en jouant avec les doigts de la jeune femme. Pourquoi ? Il ne savait pas trop mais il avait peur de perdre la jeune femme. Il avait entièrement besoin d’elle… dans tous les sens du terme. « J’avais tout aussi peur que toi ma belle… Parce que notre amitié est importante mais qu’en même temps mon affection et mon attirance pour toi sont encore plus imposantes de jour en jour. Tu aurai du m’en parler tu sais… je ne t’aurai jamais repousser, toi et moi, c’est important, nos jeux, notre amitié, cet équilibre que j’ai depuis que j’ai changé de vie. Tu aimes ça ? Ne me dis pas ça deux fois, car si tu me le redis, je vais surement vraiment me laisser aller… » Il eut un sourire en coin mais n’en dis pas plus. Il désirait la jeune femme, vraiment. Et comment passer à côté d’une beauté comme elle ? Elle était tout simplement magnifique et elle avait un caractère qui correspondait parfaitement à celui de Jude. Une fois dans la chambre de Jude, il invita la jeune femme à venir contre lui. Ce soir, son grand lit n’allait plus être froid… Tu me permets d’aller me changer ? Histoire que je sois plus à l’aise ?… Il lui fit un signe de la tête et la laissa aller se changer. Il avait déjà du mal à être loin de ses lèvres, loin d’elle et leur histoire ne faisait que commencer… Lorsqu’elle revint, il n’en croyait pas ses yeux. Si elle continuait comme ça, il n’allait pas resté impassible comme avait pu le faire Edward, vous savez le vampire dans Twilight qui essaie de résister à sa jolie femme qui se montre en petits dessous sympathiques… Une chose était sûre, Jude n’étais pas assez fort… « Woow » avait-il soufflé avant qu’elle lui face un petit défilé et qu’elle ne lui montre ce qu’il y’avait en dessous. J’espère que je n’ai pas été trop longue quand même. Bon alors, que dis tu de ma tenue pour demain matin ? Il sourit à la jeune femme, il avait plusieurs idées en tête mais n’avait pas envie d’aller trop vite. Pas avec elle car leur histoire, il y’a croyait dur comme fer. « L’attente en valait la peine… Mais pas sûr que j’apprécie le fait que tu te pavanes comme ça demain matin… je veux dire, tu as pris les plus beaux dessous sexy que tu avais ? Tu souhaites me rendre fou ? » Elle posa alors sa tête sur le torse de Jude qui vint lui passer la main dans les cheveux. On pouvait voir qu’ils commençaient à former un couple. Leur couple. Alors, qu’est ce que tu nous as mis pour ce soir ?… Il haussa les épaules, elle venait de foirer tous les plans du jeune homme en se montrant de la sorte. « Je ne sais plus ! Tu viens de bouleverser tous mes plans !! » Il s’était mis à rigoler un petit peu avant de se reprendre. « Tu sais que je vais avoir du mal à me retenir… » lui avait-il murmuré avant de la serrer un peu plus fort contre lui et de la place ensuite au-dessus de lui. « Choisi » avait-il fini par lui dire.  






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