Nohlan & Penny

J’avais bien besoin de repos, avec tout ce qui se passe dans ma famille en ce moment, émotionnellement c’est dur. J’avais demandé mon après-midi à mes patrons, je faisais un excellent travail et il me l’avait accordé, en me disant de me reposer, que j’affichais une petite mine. C’était un peu tendu chez moi et quand je rentrais, j’appréhendais toujours de retrouver ma sœur. Si elle pleurait ou elle affichait sa mine décomposée, je me sentais coupable, j’aurais du tout lui dire, je sais mais ce qui est fait, est fait. Je sais qu’aujourd’hui, l’après-midi avec mon meilleur ami va vraiment me faire le plus grand bien. Nohlan, c’est quelqu’un que j’adore et qui a toujours su se montrer présent pour moi tout au long de cette année, on avait besoin de se retrouver entre meilleur ami, de rire, de faire les fous. Je rentre chez moi, mange un petit bout, prends une douche vite fait et je me changeais troquant mes affaires pour d’autres un peu plus chaud comme un pantalon et mon haut bustier que j’avais déjà ce matin, je n’ai pas envie d’avoir froid sur la glace, ça risque d’être drôle, je n’ai pratiquement jamais fais de patin de ma vie, la dernière fois que j’ai dû en faire, j’avais 18 ans et le moins que l’on puisse dire c’est que ça n’avait pas été brillant. J’espère vraiment que Nohlan sait mieux en faire que moi, sinon on est mal barré. Je prends ma veste, mon sac et je sors ensuite de moi, reprenant à nouveau ma voiture. Je démarre et je prends la direction de la patinoire tout en augmentant un peu le volume de la radio vu qu’il y a une chanson que j’adore. Je n’hésite pas à chanter, ne faisant pas attention à ceux qui pouvaient m’apercevoir. J’étais un peu en retard mais c’était encore correct, Nolan me connaissait aussi, je ne pouvais pas être tout à fait à l’heure. J’arrive une petite dizaine de minutes plus tard et je vois mon meilleur ami qui m’attend déjà. Je me gare rapidement, je prends mes affaires tout en sortant de la voiture et je marche assez vite et je lui saute dans les bras, comme si je ne l’avais pas vu depuis six mois. « Salut beau gosse, comment vas-tu ? » demandais-je avec un grand sourire. Je me retourne vers le grand bâtiment en disant avec un petit rire « Alors tu es prêt à manger de la glace ? Parce que moi, je te le dis, je suis pas douée » Je sentais que cette journée allait être riche en dossiers en tout genre, ainsi qu’en catastrophe.

Nohlan & Penny

Mon ami me serrait fort dans ses bras tandis que j’avais sauté, il savait toujours aussi bien me rattraper, c’est cool d’avoir un meilleur ami comme Nohlan, déjà il est beau gosse, en plus il est trop gentil et il me connait et avec lui, on rigole toujours, je me sens toujours mieux quand je passe une journée avec lui, même dans la pire des situations, il arrive à me faire rire. Là, aujourd’hui, je sens que c’est une journée qu’on pourra raconter à nos enfants, ou même à qui voudra bien l’entendre. C’était dangereux la patinoire mais apprendre à en faire, ça pourrait être drôle. « Bah écoute, moi je vais toujours bien quand je te vois belle gosse ! » je le regarde avec un sourire, même si je n’allais pas spécialement bien, je restais toujours souriante, j’ai toujours été comme ça. Je ne veux pas trop qu’on s’inquiète pour moi mais moi, le problème allait se régler, il fallait un peu de temps, c’est tout. Je veux simplement décompresser. « On devrait se voir plus souvent alors ! » je le regarde toujours avec le même sourire tout en ajoutant un clin d’œil comique. Je ne perds pas souvent ma bonne humeur, sauf que je suis devant quelqu’un qui ne m’inspire pas confiance. Nohlan me fait la bise, je fais pareil puis j’avance avec lui, le laissant passer une main sur mon épaule. J’appréhendais un peu ma relation avec la glace, Nolan me répondit qu’il était un pro’. Ah ouais ? Pourquoi il ne m’avait jamais parlé de ses talents de patinage alors. Je le regarde en disant « On verra ça sur la glace ! » répondis-je avec un sourire mutin, j’avais hâte de voir Nohlan avec des patins. Mon meilleur ami payait mon entrée alors que je protestais, la personne à la caisse devait vraiment nous prendre pour deux gamins. On nous donnait nos paires de patins et je me mis à exploser de rire quand je vis que mon meilleur ami galérait à les enfiler. Bon après quand j’ai essayé, je me suis rendu compte que c’était une véritable galère, au final, on faisait déjà travaillait nos abdos et marchait avec ces trucs sur la terre ferme, ce n’est pas facile non plus. Je fais attention à ne pas tomber, le laissant me devancer bien comme il faut. J’arrive devant la paroi pour entrer et je le vois glisser et tomber, presque à peine avoir mis un pied dedans, j’explose de rire avec lui en lui disant « Bravo le roi du patin, belle gamelle ! » dis-je pour le taquiner, il se relevait tant bien que mal et ça me donnait pas envie de me jeter à l’eau. Il me dit que c’était à mon tour, ah oui. Je foutais un pied sur la glace assez facilement, mais c’était assez problématique pour mettre l’autre, je ne voulais pas tomber tout de suite. Je le mis ensuite et m’accrochait à ce qu’il me tombait sur la main histoire de ne pas tomber. Je me tiens toujours et dis à mon meilleur ami pour le taquiner « Déjà j’ai tenu plus que toi sur la glace ! » je lui tirais ensuite la langue et je lâchais la paroi, tout en essayant de trouver mon équilibre. Je me pliais, je restais en l’air, enfin, j’avais du mal quoi, j’ai fait à peine un mouvement que mon pied part emportant ma tête et mes fesses, je me retrouvée assise sur la glace, je regardais Nohlan en explosant de rire. « Tu ne veux pas venir m’aider à me relever Nono chéri ? » J’essayais de l’amadouer. Je lui tendais mes mains, là ça risque d’être un sacré fou rire.

Nohlan & Penny

Franchement, je ne pensais pas qu’aller à la patinoire serait aussi drôle. Je riais parce que j’avais vu mon meilleur ami rire avant quand il avait chuté, en même temps, ce ne serait pas moi qui serait aller le rechercher s’il se serait fait mal, avec la chance qu’il aurait eu, je serais bien tombé sur lui et il aurait eu encore plus mal. On allait pas mal dépenser notre énergie et pas qu’en patinant, je le sens bien « Tu as vu ça un peu, personne n’est capable de faire comme moi hein ! Avoue que je suis trop fort ! » Je le regardais en riant à nouveau. Je n’avais jamais vu une aussi belle chute je crois, il était vraiment trop fort comme garçon. « Je confirme, personne ne peut faire aussi fort que toi ! » je lui fis ensuite un clin d’œil avant d’entrer à mon tour sur la glace, c’était tout un cirque. Je ne voulais pas tomber, mentalement, je me répétais de ne pas tomber, de bien faire attention à mes jambes, la chute n’était pas la pire mais j’ai peur de ne pas savoir me relever enfaites et là, ce serait la honte mais totale. A ce moment-là, le rebord, il était vraiment capital. Sinon je sentais que j’allais m’écrouler, la sensation de ne pas contrôler grand-chose me faisait bizarre. Je suis un peu coincé, j’attends de bien trouver mon équilibre, il me dit alors que je suis une tricheuse. Je le regarde en disant avec un air innocent « Tu devrais savoir que je ne triche jamais, le rebord compte pour du beurre ! Je peux réussir à me débrouiller sans, regarde ! » Je n’aurais pas dû parler si vite. La chute est venue juste après, mon meilleur ami était plié de rire, moi aussi forcément, je suis sûr que les gens autour de nous devait rire de nous, on faisait le show à nous tout seul dans la patinoire. Je lui fais les yeux doux pour qu’il m’aide à me relever, ça marche toujours normalement. Il prend ma main, je savais que ça allait fonctionner. « Bon…tu es par terre je trouve mais je suis gentil alors je ne vais pas te laisser là ! » ça c’est gentil, c’est vrai, j’acquiesce. « Oui, t’es le meilleur des meilleurs amis ! » en même temps, il essayait de me remonter, je me sentais glisser, je sentais que je n’allais pas remonter toute de suite. Nohlan avait encore de l’équilibre, il a presque failli remonter quand mes patins glissent et on finit tous les deux par terre, je me rassois très vite sur les fesses, je fus un petit peu surprise pendant quelques instants puis je regarde Nohlan et j’explose à nouveau de rire, il me demande si je suis contente. « J’en ai pas fait exprès, je te le jure mais ma foi, oui, je suis contente ! Tu peux endurer la dur froideur de la glace sur tes fesses ! » je continue de rire, c’est un joyeux bordel, je me mets sur les genoux, maintenant il fallait remonter. J’essaie de poser un pied mais je glisse, je pose ma main sur la glace, les fesses en l’air, je pose ma deuxième main et je remonte tout doucement le haut de mon corps et je me mets à crier « J’AI REUSSI, J’AI REUSSI ! » maintenant autour de Nohlan, je prends son bras pour essayer de le remonter. « Je te propose qu’on parle de cette journée patinoire à personne, ou sinon on dit qu’on a été les meilleurs patineurs de la salle ! »

Nohlan & Penny

S’amuser, sans penser à rien, mon objectif de l’après-midi était déjà atteint, je ne pensais qu’à la chute d’après pour voir si elle était pire de ce qu’on avait déjà fait ou au prochain fou rire qu’on aurait. On est déjà tombé pas mal de fois, ça fait même pas 20 minutes qu’on est à la patinoire. Ça prouve à quel point on peut être doué quand on s’y met à deux. Sa tête choquée me fit encore plus rire. « J’ai froid aux fesses maintenant, tu vas devoir te charger de les réchauffer hein ! » Je le regardais avec ma tête choqué aussi. Je le connais heureusement, ça ne me choque pas bien au contraire, je sais qu’il plaisante. C’est pour ça que je l’adore, on a pas de complexe, on peut parler de tout. On s’amuse, on a une grande complicité et ça a directement bien accroché dès notre rencontre même si je me suis clairement moqué de lui tout en lui demandant comment ça allait. Je ne pensais vraiment pas que j’allais gagner un ami a cette soirée. Je regarde mon meilleur ami en disant avec une voix un peu plus aigüe « Oh oui attends qu’on sorte se relève.. » Je plaisantais aussi, je le suivais dans son petit jeu avec un grand sourire, c’était une pause, je ne lui laissais pas le temps de répondre « Qu’on se relève et qu’on fasse des tours de patinoires, tu vas voir tes fesses vont vite se réchauffer, bon faut pas que tu tombes par contre le roi des patins ! » je lui tire ensuite la langue et j’ai réussi à me relever toute seule comme une grande, certes, c’était pas très sexy, il se foutait de moi, je devais vraiment être jolie, mais en attendant, je suis toujours debout. Nohlan est toujours par terre. Je criais de quoi ameuter la foule, il m’applaudissait en me disant bravo. Je me baisse légèrement comme pour faire une révérence, rester modeste quand même. Pourtant je ne suis pas peu fière, croyez-moi, c’est une petite victoire. Je lui tenais le bras et il était d’accord avec moi, j’étais vraiment contente parce que là, il y avait pas mal de dossiers. « Hum…je suis plutôt d’accord avec toi ! Sinon on va avoir l’air ridicule. Et…je serais toi je me laisserais me lever tout seul sinon tu vas encore te retrouver le cul sur la glace, je sais que tu aimes ça mais quand même, faut pas exagérer ! » à sa dernière phrase, mes yeux se mirent à s’agrandir comme des soucoupes, et mon nez retroussé et un air faussement choqué, je le frappais doucement là où mes mains étaient accrochés tout en enlevant mes bras au sien. « Non, c’est toi qui adore te retrouver le cul sur la glace, tu t’es trompé de personne. Allez lève-toi ! On va essayer de sauver l’honneur en faisant un tour. » Il arrivait à se lever, j’applaudissais aussi bien fort pour lui et il me prit ensuite la main pour qu’on patine ensemble, comme des enfants et puis ça fait un peu solidaire du genre, si je tombe, tu tombes. Il me dit qu’on essaie de patiner sans qu’on tombe. Je hoche la tête, puis on commence les mouvements, mon équilibre est fort bouleversé comme tout à l’heure, je malmène la main de mon meilleur ami, vraiment. Je la lève, je la redescends, mon autre main par la même occasion. « La prochaine fois, on va faire du jogging comme tout le monde hein, ou aller voir les pandas au zoo, c’est bien les pandas aussi ! » lui dis-je tout en continuant à chercher mon équilibre, j’essaie d’être raide comme un piquet ou d’être naturelle sans gigoter de partout, mais c’est vraiment pas facile.

Nohlan & Penny

Les pires patineurs que la ville a connus sans doute, nous sommes des calamités, mais malgré tout, c’est drôle. J’ai les fesses froides, mais je m’en fou. Quand mon meilleur ami me dit de me taire parce que je disais n’importe quoi, je le regardais et je lui tirais la langue avec un regard rempli de malices. Il l’avait cherché, c’est lui qui avait commencé d’abord. C’est même pas moi. « Sauver l’honneur ? C’est foutu là, on est fiché ici et tout le monde sait qu’on est que deux pauvres nuls incapables de tenir debout sur des patins ! » Je le regardais en riant légèrement. Il a raison, c’est ça le pire. Je regarde aux alentours un peu, même les petits de sept ans font mieux que nous. C’est la honte, vraiment, mon égo en prend un peu un coup mais prendre des gamelles ça vaut le coup quand je vois comment mes abdos fonctionne. Je faisais mon sport tout en m’amusant, je ne peux qu’aimer ça, plus le fait de faire du patin, je dis que c’est génial. On patinait ensuite, difficilement vu l’équilibre précaire que j’avais. Je lui serrais tellement fort la même qu’on ne pouvait même pas glisser quelque chose entre nos mains, j’avais trop peur de tomber. C’est le truc qui m’angoissait le plus, sans aucun doute. Mon meilleur ami, il était quand même adorable, il ne disait rien alors que sa main j’allais la broyer limite. Il était meilleur que moi, il n’y avait aucun doute. « Du jogging comme tout le monde ? Mais on n’est pas tout le monde nous ! Et la patinoire ça change un peu du reste. Mais en revanche le zoo…pourquoi pas ! Moi je veux aller voir tes cousins les orangs outans que tu aimes tant. » Il n’avait pas tort, la patinoire, c’était drôle quand même, pour rien au monde j’aurais voulu échanger cette journée contre une journée au parc ou autre. Ici, on se détendait pleinement. Je ne pouvais pas retirer ça. En même temps, c’était une journée avec Nohlan, c’est toujours marrant. « Tu as raison, la patinoire, c’est bien même si j’ai le cul anesthésié par le froid à cause de toi mais j’oublierais jamais ta première gamelle, j’aurais dû te prendre en photo ! » je le regardais en riant un peu. C’est vrai en plus, je ne sentais plus mes fesses, c’était horrible. On avançait un peu mieux déjà, je semblais avoir trouvé mon équilibre, je tenais normalement la main de mon meilleur ami. Il me dit ensuite que ça rimait, je boudais, je voulais croiser les bras mais ce n’est pas une bonne idée. « Essaie même pas de te rattraper, je te boude d’abord. Je veux un bisou sur la joue et même pas c’est négociable ou sur la main. Et c'est pas que mes cousins, c'est les tiens, on descend tous de king-kong. » On se débrouillait bien quand même, on arrivait à tenir par je ne sais quelle miracle, je sais que ça ne va pas durer.

Nohlan & Penny

Nohlan me remontait vraiment le moral, notre petite après-midi, ce sera que du positif même si je vais sans doute me taper des bleus sur les fesses. La glace, ça ne pardonne pas. Que de bons souvenirs en tous cas, un beau moment de complicité aussi, passer des journées avec mon meilleur ami, j’adore ça, c’est toujours.. comme ça. De véritables fous. Les gens à mon boulot ne me connaissent pas comme ça, ils me voient comme la fille calme et professionnelle, que je suis mais faire la folle avec Nohlan, c’est tellement beau. On est solidaire dans les chutes, dans la moquerie de l’autre aussi. « Tu aurais dû oui…mais tu ne l’as pas fait, tant pis pour toi. » Je lui tire la langue, j’avoue tant pis pour moi, en même temps, mon téléphone ou mon appareil photo dans la patinoire, il serait tombé et j’aurais galéré pour l’attraper après, surtout que là, grâce à Nohlan, j’avais un bon équilibre et je ne voulais pas vraiment retomber, je regarde un peu autour de nous tout en lui répondant « T’inquiète pas mon Nono chéri, tout est gravé là-dedans ! Je n’ai pas besoin d’appareil. » Je le regarde tout en riant un peu. N’empêche, il faut qu’on est un peu honte de nous, des gamins patinent largement mieux que nous. Ils doivent bien rire de nous quand même. Mais personnellement je m’en fous complètement. Il me dit ensuite qu’il allait réchauffer mes fesses, oh oui, c’est une bonne idée. Seulement le fait de ne pas me faire tomber, ça m’allait parfaitement. Je fis ensuite semblant de bouder après sa remarque. Sa réaction ne se fit pas attendre d’ailleurs. « Ooooooh non, votre Altesse je vous en supplie, ne me boudez pas… » Heureusement pour lui, je ne me vexais pas aussi facilement, il arrivait à me faire stopper devant lui, ce n’était pas gagner. Je le regardais tout en essayant de garder mon sérieux de jeune fille boudeuse. J’eus le droit à un genoux par terre comme à une demande de mariage, à ce moment-là, je regardais les gens et il y en a qui se sont arrêtés de parler, j’avais envie de rire. Il me fit un baiser sur la main et je ne pus m’empêcher de sourire. C’est trop chou, j’ai de la chance de l’avoir comme meilleur ami. Il se releve et il me prend dans ses bras, je le serre très fort et j’ai même le droit à un bisou sur la joue en prime, si c’est pas beau ça, l’amitié. « Est-ce que tu me pardonnes ? Oooooooooooooooooh KING-KONG….que je l’aime ! Bon, j’arrête vraiment de dire des conneries, promis ! » Je le regarde avec un grand sourire, sérieusement je ne peux pas ne pas lui pardonner, c’est impossible, si on vient à se disputer et à ne plus se parler du tout, je serais réellement malheureuse. Nohlan, j’ai trop l’habitude de lui parler, de rigoler avec lui. « Mais oui, je ne peux pas te bouder bien longtemps, tu le sais ! » je le serrais encore un peu avant de m’écarter de lui mais je rattrapais immédiatement sa main pour plus de sécurité, faut être honnête, j’ai trop peur de tomber. « Non continue à dire des bêtises, c’est drôle. T’es drôle, t’es le meilleur tout simplement ! Moi aussi je l’aime King-Kong, sans lui on serait pas là. » je le regardais tout en riant et on recommençait à patiner. D’un coup, une idée assez bête me traversait l’esprit, je regardais mon meilleur ami tout en disant « Dis mon chat, pour Noel, tu m’achètes un panda ? » je le regardais tout en riant, j’adore les pandas, c’est ma passion.