J. Oleia Clayne ~ Il n'y a rien de plus effrayant que la personne qu'on aime

Juliet Oleia Clayne

Je m'appelle J. Oleia Clayne et j'ai 24 ans, puisqu'en effet je suis né(e) le 24 janvier 1989 à New-York aux Etats-Unis . Ma situation sociale est actuellement AISEE et j'habite à Snowflake Lane depuis 2011; j'y suis une danseuse classique et j'habite seule. Niveau amour, je suis actuellement célibataire et d'ailleurs, je suis HETERO. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un PERSONNAGE INVENTE et c'est Astrid Berges-Frisbey qui me prête son joli minois.

Méfiante ♤ Réservée ♤ Patiente ♤ Appliquée ♤ Douce ♤ Gentille ♤ Attachante ♤ Craintive ♤ Taciturne ♤ Généreuse ♤ Discrète ♤ Passionnée ♤ Fidèle ♤ Sensible ♤ Créative ♤

THEY ARE IN LOVE	THEY LIVE TOGETHER
THEY ARE A FAMILY	THEY LIVE ON THEIR OWN

tell me your secrets

Les hivers à New-York se ressemblent tous, du moins c'était ce que pensait le couple Clayne avant que leur fille ne vienne au monde et ne change définitivement leur vision du monde. Tous deux étaient très pris par leur carrière respectives, l'un homme d'affaire hors pair et l'autre violoniste de talent, ils n'avaient pas vraiment prévu d'avoir un enfant. Ce qui ne les empêcha pas de se réjouir quand la nouvelle tomba. Même s'ils n'avaient jamais envisagé d'en avoir un, la venue de ce bébé fut accueillie comme un cadeau et la petite Juliet fut choyée par ses parents, qui l'adoraient. Cependant, gérer une vie à trois s'avéra plus compliqué qu'ils ne l'avaient d'abord cru. Chacun du faire des concessions, mais au bout de quelques mois, la petite Juliet tomba malade, pas gravement, mais suffisamment pour que ses parents se rendent compte qu'ils ne pouvaient pas la délaisser comme ils le faisaient. Après de longues discutions, la mère de Juliet décida d'abandonner sa carrière pour s'occuper pleinement de sa fille, tandis que son père s'arrangeait pour rentrer plus tôt du travail.

Bien qu'elle est abandonné sa carrière, la mère de cette petite brune n'avait pour autant pas abandonné son violon, avec lequel elle jouait tous les jours. Ce fut elle qui, la première, remarqua l'intérêt de sa fille pour la musique classique. Cependant, elle ne savait pas comment éveillé cet intérêt, alors se contentait de jouer pour elle, jusqu'au jour où Juliet, absorbée par un ballet pour lequel sa mère avait joué, ne demande à faire de la danse. Elle était tout juste âgée de cinq ans quand elle assista à son premier cours de danse. Bien qu'elle semblait adorer ça et être très douée pour la danse, ses parents furent surpris quand elle leur annonça qu'elle comptait vivre de sa passion. Si sa mère prit la nouvelle avec joie, ce ne fut pas le cas de son père qui resta sceptique, après tout vivre de la danse était très difficile, pourtant ils payèrent ses frais de scolarité quand elle entra dans la prestigieuse école de danse qu'était Julliard.

Les années qu'elle passa là-bas sont sans doutes les plus belles de sa vie. Il n'y avait rien de plus enrichissant que de partager son quotidien avec des gens aussi doués et passionnés que vous. Ce fut également dans cette école qu'elle découvrit la joie des premiers amours. Son premier petit ami fut un pianiste, avec qui elle resta quatre mois, puis il y eu quelques danseurs et même un chanteur d'opéra, mais son premier véritable amour, elle ne le rencontra pas dans cette école. Lorsqu'elle le rencontra, elle venait tout juste de se faire engager dans une troupe de danseur, et elle rentrait chez elle un jour de pluie quand elle lui rentra dedans. Une rencontre pour le moins banale pour une histoire qui ne l'est pas vraiment.

Il s'appelait James, il étudiait l'histoire des États-Unis, c'était un grand séducteur et il était de trois ans son aîné, ce qu'appris Juliet le jour-même de leur rencontre puisqu'il avait déclaré « qu'une aussi jolie jeune femme ne pouvait que se faire pardonner en acceptant de dîner avec lui ». La danseuse n'avait pas vu la soirée passer tant elle avait été agréable, quand James avait appris qu'elle s'appelait Juliet, il lui avait dit qu'elle était sûrement destiné à vivre une merveilleuse histoire d'amour, et ça l'avait fait rire. Avant même que la soirée ne soit terminé, la brune fondait déjà devant le sourire de ce beau blond et elle n'hésita même pas avant d'accepter de le revoir. Les rendez-vous se succédèrent et avec eux les sentiments de Juliet évoluèrent. Elle ne tarda pas à être atteinte de tous les symptômes significatifs, les mains moites, le cœur qui bat la chamade, l'excitation à l'idée de bientôt le revoir, le sourire niais, ridicule et tellement caractéristique qui ne quittait pas son visage. Bref, elle était tombée amoureuse de lui. Et quand il l'embrassa...jamais encore elle n'avait connu une telle sensation, c'était comme si un feu d'artifice avait éclaté dans son cœur, et elle ne voulait pas que ce baiser se termine.

Leur histoire dura deux ans, si la première année fut merveilleuse en tout point, et d'un romantisme à rendre jalouse une bonne part de la gente féminine, ce ne fut pas le cas de la deuxième. Au bout d'un an, ils décidèrent de s'installer ensembles, dans ce que James aimait appelé leur « petit nid d'amour », et ce fut à ce moment là qu'elle se rendit compte de qui il était vraiment. Elle ne mit pas longtemps à découvrir que l'homme qu'elle aimait été jaloux, colérique et possessif. Il ne supportait pas qu'elle fréquente d'autres hommes et s'énervait dès qu'elle rentrait un peu tard des représentations qu'elle donnait, allant jusqu'à la soupçonner de la tromper avec un membre de sa troupe. Puis un soir, l'inévitable arriva, il la frappa. La gifle vola et atterrit sur sa joue avant même qu'elle ne comprenne ce qui lui arrivait, et elle se contenta de le fixer, bêtement, en espérant qu'elle venait de rêver ce qui venait de se passer, mais non, il l'avait bel et bien frappée.

Elle choisit, sûrement à tort, de lui pardonner, en lui trouvant des excuses stupides, il avait sans doutes passé une mauvaise journée, il s'était inquiété et son geste avait dépassé sa pensée. Elle cru avoir bien quand, le lendemain, il vint la voir avec un bouquet de rose pour se confondre en excuses « Oh ma Juliet, ma douce Juliet, je suis tellement désolé. J'arrive pas à croire que j'ai pu faire ça, je m'en veux tellement si tu savais... ». Comment aurait-elle pu ne pas fondre devant son regard désolé et son sourire plein de sincérité ? Elle l'aimait bien trop pour le quitter à cause de ce regrettable geste. Regrettable geste qui malheureuse se reproduisit bien trop souvent. Pourquoi ne le quittait-elle pas ? Les bleus se multipliaient sur son corps, elle semblait toujours plus fatiguée, et son beau visage était parfois tâché de sang. Sa famille et ses amis s'inquiétaient pour elle, mais elle se contentait de leur donner des explications de moins en moins convaincante. « Je suis tombée pendant une répétition. » « Je me suis cognée en me levant ce matin, j'étais pas vraiment réveillée. » « Oh ça ? J'ai pas fait attention et je me suis cognée contre un placard, tu sais à quel point je suis maladroite. » La vérité étant que non, elle n'avait jamais été maladroite, et elle avait toujours été du matin, mais comment aurait-elle pu leur dire que c'était James le responsable de tout ça ?

Dans le fond, Juliet avait honte. Honte d'être tout bonnement une femme battue, et de ne pas avoir le courage – ni même ne serait-ce que l'envie – de quitter le bourreau qui lui faisait ça. Elle ne pouvait pas le quitter parce que, aussi stupide cela soit-il, elle avait peur de lui, et puis, elle était tout de même amoureuse de lui – du moins quand il n'était pas violent. Ajouté à cela le fait qu'il savait parfaitement se faire pardonner. À chaque fois qu'il levait la main sur elle, il revenait avec un cadeau, des excuses, et des promesses qu'il ne tenait jamais. « Je te promets que je recommencerais plus Juliet, je t'aime bien trop pour te perdre. Ne me quitte pas s'il-te-plaît.... ». Pourquoi craquait-elle à chaque fois ? Elle n'aurait su le dire clairement, mais toujours est-il que ça fonctionnait, et qu'elle ne partait pas. Jusqu'au jour où elle jugea qu'il était allé trop loin...

C'était juste avant son vingt-deuxième anniversaire, elle avait été invitée à un gala de danse, et James l'avait accompagnée. Là-bas, elle avait croisé l'un de ses ex, qui, heureux de le revoir, n'avait pu s'empêcher de se rappeler du bon vieux temps avec elle, sans savoir ce qu'il venait de déclencher... Si James était resté courtois et souriant toute la soirée, ce ne fut pas le cas lorsqu'ils rentrèrent chez eux. Sentant la dispute arriver, elle avait naïvement cherché à l'esquiver en allant dans la salle de bain, mais elle n'eut même pas le temps de fermer la porte de chez eux que déjà, il lui avait attrapé le poignet et l'avait plaqué contre un mur. Juliet ne se souvenait pas de ce qu'il lui avait dit ou reproché ce soir-là, tout ce dont elle se souvenait, c'était qu'il serrait de plus en plus son poignet, et qu'il le tordait aussi. Plus le ton montait, plus l'étau autour de son poignet se resserrait, et plus elle sentait la douleur se répandre en elle, jusqu'à ce qu'elle se mette à pleurer, ne supportant plus la douleur. Apparemment, la voir pleurer lui fit prendre conscience de ce qu'il venait de faire et il la lâcha avant d'aller s'enfermer dans leur chambre. Cette nuit là, Juliet ne dormit pas.

Elle ne saurait dire à quel moment exactement elle a pris sa décision, toujours est-il que le lendemain matin, quand James quitta leur appartement pour aller travailler, elle rassembla ses affaires dans un sac de voyage. Elle prit le stricte nécessaire comme vêtements, mais emporta tout de même ses affaires de danse, son passeport, son ordinateur et les rares bijoux qu'elle possédait et que lui avait offert ses parents. Suite à quoi, elle claqua la porte, en abandonnant derrière elle son téléphone portable et les clefs de son appartement. Elle alla retiré le peu d'économie qu'elle avait à la banque et disparut de New-York. Son but ? Mettre le plus de distance possible entre elle et James, et pour cela, elle se rendit à l'aéroport. Elle resta figée quelques minutes devant les tableaux des départs, regardant le nom des villes qui s'étalaient face à elle. Loin, elle devait partir loin, et le mieux était de quitter le pays. Aussi se décida-t-elle pour le Canada, ce qui ne l'éloignait pas trop de ses parents par la même occasion, et le premier vol qui partait vers là avait pour destination Winnipeg, sûrement était-ce un coup du destin qui l'envoyait là-bas.

Ce n'est qu'une fois arrivée à destination qu'elle se décida à appeler ses parents pour leur expliquer ce qui c'était passé, pour leur dire qu'elle ne pouvait plus vivre avec lui alors qu'elle avait eu peur qu'il ne la tue tant la haine s'était reflétées dans ses iris bleues. Alors qu'elle entendait sa mère pleurer à l'autre bout de la ligne, elle entendit son père lui annoncer qu'il allait lui envoyer tout l'argent nécessaire pour qu'elle reparte à zéro et commence une nouvelle vie. Après qu'il se soit longuement excusé, son père finit par raccrocher, en lui disant qu'il se rendait immédiatement à la banque tandis que Juliet partait à la recherche d'un hôtel pour la nuit, une dernière nuit dans la peau de Juliet, avant de se réveiller en Oleia. À cause de ce qu'il c'était passé à New-York, elle ne supportait plus son prénom, et en plus de cela, elle avait peur des hommes, elle n'osait pas les approcher et se méfier d'eux. Au début, ce fut handicapant pour recommencer sa vie à zéro, mais elle parvint à prendre sur elle et à persévérer. Il était hors de question qu'elle abandonne à cause d'un homme, c'était stupide.

Il fallut deux semaines pour que la douleur à son poignet disparaisse, après quoi elle commença à courir les auditions et à reprendre l'entraînement. Et au bout d'un mois d'acharnement, elle trouva une place de danseuse au sein d'une compagnie de danse, qui n'était certes pas très connues mais qui se produisait régulièrement et qui gagnait de quoi faire vivre ses danseurs. Si toutes traces physiques avaient disparues de son corps, les blessures psychologiques que lui avaient causées son traumatisme. Si elle n'avait plus peur des hommes comme à son arrivée à Winnipeg, elle n'en était pas moins méfiante pour autant, et éviter de se rapprocher plus que nécessaire de la gente masculine. En réalité, les seuls hommes qu'elle fréquentait était ceux avec qui elle dansait. C'était triste à dire, mais à 22 ans, Oleia avait tout simplement renoncé à l'amour.

Et sinon, moi c'est Aelyne, j'ai en réalité 20 ans et j'ai connu le forum grâce à un dinosaure geek fan de jeux vidéo . Ceci est mon PREMIER COMPTE. Mon petit mot de la fin? Toooooooooooooooortuuuuuuuuuuuuuuuuuue .

Astrid

Welcome
Bonne chance pour ta fiche, si tu as la moindre question, le staff est là

◗ CREDITS : ©

Astrid choupette awn

Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fichette leche

BIEEEEEEEEEEEENVENUUUUUUUUUE CHOUPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEETTE *w* Ca me fait trop plaisir que tu sois là *w* bon, tu t'étonne pas, il nous faudra un super lien toi et moi *_*

Meric vous deux leche

Puis voui, Astrid est trop choupette awn

YOSHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII waza

Mon petit dinosaure adorééééééé !!!! awn

Je m'étonne pas :albino: Forcément qu'il nous faudra un super lien ! leche

Si t'as pas pu jouer Zelda pour moi tu s'ras Peach '-'
eeh oui, je devrais me reconvertir dans la publicité moi Cool

Hé non pas Peach ! Je ressemble pas à une blondasse idiote qui passe son temps à se faire enlever ! fais gaffe

bon bin Kirby alors What a Face

de toute façon t'as pas l'choix ._.

...j'm'en fou, je vais te frapper en rp si t'essais ! fais gaffe

Je n'attends que ça Cool

ASTRIIIIIIIID bave

~~C'est décidé, je me mets aux filles~~

Bienvenuuue parmi nous et non non, n'ait pas peur de moi. Je lirais ta fiche quand je serais un peu plus motivée, mais je crois que je veux déjà un lien ballon

Bienvenue parmi nous gosh

Astrid, elle est tellement magnifique lovechou

Tu me garde un lien, dis ?

bienvenue à toi !!! Excellent choix d'avatar en tout cas I love you

comme l'a dit Sam' , si tu as la moindre question , n'hésite surtout pas !!
bonne chance pour ta fiche I love you

EDIT : Parce que je suis une débile et que je n'ai même pas vu que tu avais fini ta fiche -______-'

félicitations, ta fiche est validée!

Et voilà! Le maire te souhaite officiellement la bienvenue à Snowflake Lane! Maintenant que tu es accepté dans le quartier, il te faudra te TROUVER UN TOIT sans plus attendre. Tu pourras aussi te faire UN TAS D'AMIS et avoir un VRAI METIER. Mais que serait notre vie sans nos proches? Si les tiens te manquent, tu peux les réclamer en créant ton SCENARIO, ou même DEMANDER UN LIEN AVEC UN SCENARIO déjà existant. Oh, et pour oublier qu'on te pique ta jolie tête, viens dès maintenant RECENSER ton avatar; il sera désormais tout à toi. Une fois que toute cette paperasse sera effectuée, tu auras certainement envie de raconter ton aménagement, ou tout autre évènement de ta vie: la mairie te fournit un JOURNAL INTIME! rassure-toi, tu seras le seul à pouvoir le lire. En revanche, si tu es curieux, n'hésite pas à lire LA RUBRIQUE DE TARA, notre chère journaliste locale se fera un plaisir te tenir au courant. Une dernière chose, viens poster ton FORMSPRING et poser des questions à tout va pour encore plus de fun! Tu es perdu? Aucun problème: voici trois endroits où tu pourras demander ton chemin: LES QUESTIONS ET SUGGESTIONS sont à ta disposition, mais tu peux également demander un PARRAINAGE, de sorte que ton intégration soit facilitée. Enfin si tu en as besoin, voici un plan du quartier: LE GUIDE DU FORUM. Nous te conseillons vivement, pour une intégration très efficace, de faire une DEMANDE DE TOPIC. Amuse-toi bien parmi nous, j'espère que le maire ne te causera pas trop de troubles!