we'll be counting stars (dylan)

Sujet: we'll be counting stars (dylan) Mer 12 Fév - 16:52

dylan isabelle 'bella' williams

Je m'appelle DYLAN BELLA WILLIAMS et j'ai 17 ANS, puisqu'en effet je suis né(e) le 13 JUILLET 1996 à TORONTO, AU CANADA. Ma situation sociale est actuellement MOYENNE et j'habite à Snowflake Lane depuis 2010; j'y suis LYCENNE et j'habite AVEC SES GRANDS PARENTS ET SA COUSINE. Niveau amour, je suis actuellement CELIBATAIRE et d'ailleurs, je suis HETEROSEXUELLE. Ah, j'oubliais, j'ai choisi d'incarner un UN SCENARIO? et c'est CHLOE GRACE PERFECTION MORETZ qui me prête son joli minois.

intelligente ♤ discrète ♤ passionnée ♤ naïve ♤ trop gentille ♤ généreuse ♤ désordonnée ♤ sensible ♤ maladroite ♤ jalouse ♤ timide quand elle ne connait pas ♤ gourmande ♤ simple ♤ pacifiste ♤ souriante ♤ studieuse ♤ différente (selon les autres) ♤ intravertie ♤ sportive.

THEY ARE IN LOVE	THEY LIVE TOGETHER
THEY ARE A FAMILY	THEY LIVE ON THEIR OWN

tell me your secrets

Tu n’étais pas la plus grande, la plus mince ou encore la plus jolie, pourtant tu avais longtemps espéré que ta mère se comporte avec toi comme avec ta petite sœur. Elle n’était pas beaucoup plus jeune que toi, et pendant quelques mois seulement tu avais été la petite chouchoute, la préférée. Normale, vu que tu étais la seule. Puis ta sœur a pointé le bout de son nez. Blonde comme toi. Adorable comme toi. Gentille comme toi. Mais non, il n’y en avait que pour elle. Très vite, tu t’étais demandée ce que tu faisais dans cette famille, où ta place se trouvait. Tu étais la plus grande des deux et avait pour objectif de protéger ta sœur quoiqu’il arrive. Tu devais prendre soin d’elle, l’écouter quand elle en avait besoin, bref faire tout ce que les grandes sœurs devaient faire. Seulement, tu en étais arrivée à un point de non retour. A celui de la détester plus que de ne l’aimer. Tu la haïssais. Pour le quotidien qu’elle t’offrait dans cette maison pourtant jolie de Toronto, là où tu vivais depuis toujours avec ta famille. Ta famille… tu n’arrivais même pas à employer ce mot pour parler de ta mère, ton père et elle. Tu n’arrivais plus à les supporter. Tu vivais dans l’ombre de ta sœur, cette version miniature de toi, en beaucoup plus mieux. Tu te demandais ce qui clochait chez toi. N’étais-tu pas normale ? Avais-tu un problème quelconque qui poussait les gens à te voir autrement ? Physiquement, tu n’avais rien d’anormal ou de trop moche à regarder – parce que oui, tu savais que le regard des gens pouvait être cruel – alors qu’est-ce qui n’allait pas ? Tu ne comprenais pas. Plus. Et tu ne cherchais plus non plus à savoir. Tu vivais comme ça, pour toi et uniquement pour toi. Tu allais au collège chaque jour, tu travaillais et ramenais des bonnes notes en espérant pouvoir faire la fierté de ton père, au moins une fois dans ta vie. Mais même pas. Ce que Dylan faisait n’était jamais assez bien. Tu n’étais pas assez bien pour eux, pas assez pour être digne d’être leur fille, ou sa sœur. Et tu te demandais si un jour tu le serais suffisamment. Réussirais t’il à te regarder avec joie et bonheur une seule fois dans leur vie ? Tu n’en étais pas sure. Et tu avais su que ce ne serait jamais possible, après ce jour de décembre 2009.

Tu n’avais jamais manqué de rien à vrai dire. De ce côté-là, tu ne pouvais pas te plaindre. A part de l’amour et de la reconnaissance bien sur, mais matériellement parlant, non tu n’avais jamais manqué de rien. Tu avais des fringues plutôt classes, tu savais te mettre en valeur. En fait, tu as toujours adoré ça la mode, mais tu ne l’as jamais dit à personne. Tu te disais que soit on ne te croirait pas et on te rirait au nez, soit on ne te comprendrait pas. Quoiqu’il en soit, tu gardais dans un coin de ta tête cette passion bien cachée et enfouie. Tu avais toutes les choses qu’une gamine de treize ans puisse avoir, en clair, tu avais l’impression que tes parents tentaient de te garder de cette façon : en t’achetant. Ce n’était pas très digne mais tu faisais avec. Tu avais toujours eu à manger et à boire, jamais on ne t’avait maltraité physiquement. Non c’était plutôt psychologiquement que c’était compliqué. Mais qu’importe, tu te taisais. Tu ne disais rien, te renfermais sur toi-même. Il t’arrivait de passer des heures à méditer dans ta chambre, ou à dessiner, ton autre passion. Tu avais même réussi à dessiner quelques modèles de vêtements, comme ça, pour le fun. Ta sœur était tombée dessus, évidemment, et elle s’était moquée de toi. Malgré tout, tu n’avais pas rétorqué. Puisque quoique tu fasses, tu aurais toujours tord. Vous étiez allé à l’école comme chaque jour, toutes les deux, même si là bas vous n’étiez pas considérés comme deux sœurs, mais plutôt deux filles différentes qui portaient le même nom de famille. La journée s’était bien passée. Il faisait froid dehors, il commençait même à neiger. Tu adorais la neige, souvent, elle te permettait de t’évader et de penser à une vie meilleure. Tu trouvais ça fantastique et vraiment merveilleux. Vous aviez raté le bus, une nouvelle fois, parce que ta sœur n’avait pas fini de faire son show dans la cour de l’école, et résultat, vous vous retrouviez à marcher, le long du trottoir. « Dylan, pourquoi tu me détestes autant ? » Tu l’avais regardé en soupirant. Tu la détestais vraiment ? Vous aviez pourtant le même sang. « C’est vrai que tu ne seras jamais meilleure que moi, que maman et papa ne t’aimeront jamais plus qu’ils ne m’aiment, que parfois je suis très chiante, que je devrais arrêter de me la jouer princesse de Toronto, et aussi que je devrais me dépêcher le matin pour que tu aies un temps égal à moi dans la salle de bain, que je devrais être plus compréhensive et gentille et… » « Tara attention ! » Tu n’avais pas eu le temps de faire plus que ça. Tu avais vu la voiture arrivée alors que ta sœur était en train de te faire le speech le plus long de la Terre, mais tu ne pensais pas que celle-ci déraperait sur une plaque de verglas et viendrait faucher ta sœur sur le trottoir alors que vous marchiez tranquillement. Tu t’attendais d’ailleurs à ce qu’elle s’excuse de son comportement malsain envers toi, et elle allait le faire jusqu’à ce que cette voiture déboule. « Tara non ! Tara ! Aidez-moi s’il vous plait, aidez-moi ! »

Les choses s’étaient déroulées si vite que tu n’avais pas eu le temps de réfléchir. Les ambulances étaient arrivées et avaient emmenés ta sœur à l’hôpital. Tu avais pu monter avec elle, et là-bas, vos parents vous ont retrouvé. Ils t’ont presque insulté. Ils n’ont pas fait attention à toi et au choc que tu avais pu recevoir parce qu’une nouvelle fois, la seule qui les intéressait, c’était elle. Enfin si, ils t’avaient adressés la parole une fois, dans la salle d’attente, après des heures de silence, alors que Tara était en train de se faire charcuter par les médecins. Que s’était-il passé ? Et tu n’avais pas su leur répondre. Tu avais peur qu’ils t’en veulent, bien que c’était déjà ce qu’ils étaient en train de faire. S’ils ne te détestaient pas encore, ça n’allait pas tarder. Tu comprenais leur réaction parce que toi-même tu étais en train de te haïr. Même si ce n’était pas ta faute, et que tu n’avais rien pu faire. Alors tu étais resté muette pendant tout ce temps. Et pendant plusieurs semaines après. Ta sœur n’était pas morte non, heureusement ! Elle avait eu une grave commotion cérébrale, plusieurs blessures, la jambe cassée pendant un moment. Et le pire de tout ? Elle avait perdue la mémoire. Parfois, tu te demandais si ce n’était pas une bonne chose. Ou alors tu te demandais pourquoi ce n’était pas arrivé à toi. Tes parents ne te regardaient plus, ne s’occupaient plus de toi, comme avant mais en pire. Tu savais que ce serait définitif, que leur attitude ne changerait plus. Tu t’en voulais. Même si ce n’était la faute à personne. Tu en avais assez. Tu ne supportais plus cette maison, cette ville, et tout le reste. Et tu avais pris une décision irrévocable. « J’ai appelé Papy et Mamie, et ils sont d’accord pour que j’aille vivre avec eux. Mon train part dans trente minutes. Au revoir » Valises en main, elle avait tout emporté. Ils ne t’avaient pas retenu mais de toute façon, tu t’y attendais. Et tu t’attendais aussi à démarrer une nouvelle vie, dans cette autre ville que tu connaissais surtout pour y avoir passé le plus clair de tes vacances. Tu n’avais pas eu à supplier trente fois tes grands parents pour qu’ils acceptent de t’héberger, parce qu’ils savaient très bien ce que tu ressentais depuis toujours. Tu venais de quitter tes parents, et ta petite sœur, sans grands regrets.

uc

Et sinon, moi c'est VOTRE PSEUDO, j'ai en réalité VOTRE ÂGE et j'ai connu le forum MANIERE DONT VOUS AVEZ CONNU SL. Ceci est mon PREMIER COMPTE, DEUXIEME COMPTE, TROISIEME COMPTE?. Mon petit mot de la fin? PETIT MOT DE LA FIN.

MA DYDY

Encore une fois merci, t'sais j'vais te le dire 50 000 fois laclasse

Welcome et puis bonne chance pour ta fiche, si tu as la moindre question sur le staff ou encore sur le lien itout itout, tu sais où me trouver coeur

Ohh une autre Williams gosh

(te laisses pas dévergonder aah

)

En tout cas très bon choix de scénario awn

Bienvenue et bon courage pour ta fiche (et pour supporter Sammy mdrr

)

Hannnnnnnnnnnnn la cousine de la peste we'll be counting stars (dylan) 3936144112

!!! J'espère que tu ne la laisseras pas t'emmener sur les sentiers de la perdition... Ne la laisse pas t'influencer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tout ça pour te souhaiter la bienvenue, et surtout bien du courage... Ma pauvre... Déjà que de fréquenter le lycée de Sam' est difficile, mais partager sa maison... J'ai mal pour toi...

Haha ceci étant dit, vous allez bien vous éclater en RP gosh

! (En vrai, j'adore la joueuse derrière Sam' hein, c'est juste que Harp' & Sam' ne s'entendent genre... PAS DU TOUT. we'll be counting stars (dylan) 4068556295